Yaoundé: Une cité amoureuse de l’obscurité
Yaoundé, 05 Février 2013
© Lucien EMBOM | Cameroon-Info.Net
Depuis de longs mois certains quartiers de la capitale, notamment Emombo, Ekoumdoum et Mimboman passent des nuits sans électricité.
Les habitants seraient-ils soumis comme ceux de l’arrière-pays au délestage? Nous pensons que c’est le cas. Les coupures intempestives du courant électrique sont devenues les mets les plus consommés par les ménages. C’est la zone de Mimboman village qui subit le plus ces désagréments, qui en principe devraient être d’un autre âge. Comment comprendre qu’en pleine capitale politique, des abonnés AES SONEL se retrouvent sans énergie électrique? Du côté de l’entreprise chargée de distribuer l’électricité, on refuse catégoriquement de communiquer sur cette situation désastreuse qui non seulement est conséquente des pertes économiques lourdes, mais renforce également l’insécurité dans la ville de Yaoundé.
Des informations qui circulent font état de ce que, pour des raisons d’entretien à un moment, des turbines des centrales hydroélectriques sont mises au repos dans l’optique de les laisser refroidir. Pendant ce temps, les agglomérations sont soumises au rationnement, parce que la quantité d’énergie produite est insuffisante. Le déficit en électricité au Cameroun, n’est plus à démontrer et il faut que le gouvernement camerounais prenne des mesures urgentes pour satisfaire la demande.
© Lucien EMBOM | Cameroon-Info.Net
Depuis de longs mois certains quartiers de la capitale, notamment Emombo, Ekoumdoum et Mimboman passent des nuits sans électricité.
Les habitants seraient-ils soumis comme ceux de l’arrière-pays au délestage? Nous pensons que c’est le cas. Les coupures intempestives du courant électrique sont devenues les mets les plus consommés par les ménages. C’est la zone de Mimboman village qui subit le plus ces désagréments, qui en principe devraient être d’un autre âge. Comment comprendre qu’en pleine capitale politique, des abonnés AES SONEL se retrouvent sans énergie électrique? Du côté de l’entreprise chargée de distribuer l’électricité, on refuse catégoriquement de communiquer sur cette situation désastreuse qui non seulement est conséquente des pertes économiques lourdes, mais renforce également l’insécurité dans la ville de Yaoundé.
Des informations qui circulent font état de ce que, pour des raisons d’entretien à un moment, des turbines des centrales hydroélectriques sont mises au repos dans l’optique de les laisser refroidir. Pendant ce temps, les agglomérations sont soumises au rationnement, parce que la quantité d’énergie produite est insuffisante. Le déficit en électricité au Cameroun, n’est plus à démontrer et il faut que le gouvernement camerounais prenne des mesures urgentes pour satisfaire la demande.