Yaoundé: Un coup de feu sème la panique au Qg de la Police
YAOUNDÉ, 10 avril 2012
© E. M | Mutations
Un coup de feu tiré d'une kalachnikov d'un policier membre des Equipes spéciales d'intervention rapide (Esir) a mis en émoi tout le gotha de la Division régionale de la police judiciaire pour le Centre.
Un coup de feu tiré d'une kalachnikov d'un policier membre des Equipes spéciales d'intervention rapide (Esir) a mis en émoi tout le gotha de la Division régionale de la police judiciaire pour le Centre. C'était hier, lundi 09 avril 2012, aux environs de 14h15mn.
Les faits? Des policiers, armes au poing, membres des Esir devisent tranquillement sous la devanture du bâtiment abritant les services de la Division régionale de la police judiciaire pour le Centre. Lorsqu'une déflagration sourde se fait entendre. Par instinct de conservation et le réflexe d'homme en tenue aidant, des policiers dégainent aussitôt et de concert. Histoire de donner une réplique au coup de feu qui a pris le chemin des airs, mais qu'on a tôt fait d'assimiler à une attaque, alors même qu'ils ne s'étaient pas concertés au préalable. Grande sera leur déception lorsqu'ils se rendent à l'évidence: le coup de feu est parti d'une arme détenue par une nouvelle recrue, membre des Esir. Qui, dans sa naïveté de novice, s'échinait à s'assurer du bon fonctionnement de son arme, sans s'être assuré que la sûreté de son arme était fermée.
Une belle frayeur qui na pas laissé de marbre des responsables de la Drpjc qui ont demandé que le policier imprudent soit sanctionné.
© E. M | Mutations
Un coup de feu tiré d'une kalachnikov d'un policier membre des Equipes spéciales d'intervention rapide (Esir) a mis en émoi tout le gotha de la Division régionale de la police judiciaire pour le Centre.
Un coup de feu tiré d'une kalachnikov d'un policier membre des Equipes spéciales d'intervention rapide (Esir) a mis en émoi tout le gotha de la Division régionale de la police judiciaire pour le Centre. C'était hier, lundi 09 avril 2012, aux environs de 14h15mn.
Les faits? Des policiers, armes au poing, membres des Esir devisent tranquillement sous la devanture du bâtiment abritant les services de la Division régionale de la police judiciaire pour le Centre. Lorsqu'une déflagration sourde se fait entendre. Par instinct de conservation et le réflexe d'homme en tenue aidant, des policiers dégainent aussitôt et de concert. Histoire de donner une réplique au coup de feu qui a pris le chemin des airs, mais qu'on a tôt fait d'assimiler à une attaque, alors même qu'ils ne s'étaient pas concertés au préalable. Grande sera leur déception lorsqu'ils se rendent à l'évidence: le coup de feu est parti d'une arme détenue par une nouvelle recrue, membre des Esir. Qui, dans sa naïveté de novice, s'échinait à s'assurer du bon fonctionnement de son arme, sans s'être assuré que la sûreté de son arme était fermée.
Une belle frayeur qui na pas laissé de marbre des responsables de la Drpjc qui ont demandé que le policier imprudent soit sanctionné.