Voici les différents grades au sein de la gendarmerie nationale du Cameroun
• C'est un indice qui d'une manière générale fait référence à un niveau dans une hiérarchie
• Au sein de la Gendarmerie Nationale sont répartis en deux grandes catégories
• Portrait atypique du Col Bamkoui, l’homme aux grandes oreilles
Beaucoup sont ceux qui se perdent dans les grades que portent les éléments de la gendarmerie nationale du Cameroun. Si au niveau des civils, la méconnaissance de ces grades est tolérée, du côté des corps habillés, elle est généralement punissable.
Dans ses recherches en vue d’apporter plus d’éclaircissement sur les différentes sortes de grades qui existent dans ce corps, la rédaction de CamerounWeb a découvert que les grades au sein de la Gendarmerie Nationale sont répartis en deux grandes catégories/corps. Il s’agit de :
- les Personnels Non Officiers
- les Personnels Officiers
PERSONNELS NON OFFICIERS
Dans cette catégorie on distingue les Militaires Du Rang et les Sous-Officiers.
Les grades des Militaires Du Rang comprennent les grades d’Élève-Gendarme, Gendarme et Gendarme-Major.
Dans le cadre des Sous-Officiers, on distingue les grades de Maréchal Des Logis, Maréchal Des Logis-Chef, Adjudant, Adjudant-Chef et Adjudant-Chef Major.
PERSONNELS OFFICIERS
Dans la catégorie des Personnels Officiers on distingue les Officiers Subalternes, les Officiers Supérieurs et les Officiers Généraux.
Pour les Officiers Subalternes, on a les grades de Sous-Lieutenant, Lieutenant et Capitaine.
Les grades d’Officiers Supérieurs comprennent les grades de Chef d'Escadron, Lieutenant-Colonel et Colonel.
Dans le cadre des Officiers généraux, on distingue les grades de Général de Brigade, Général de Division, Général de Corps d'Armée et Général d'Armée.
Cameroun : portrait atypique du Col Bamkoui, l’homme aux grandes oreilles
Des quidams aux objectifs inavoués tentent, sans le connaître depuis quelques temps de jeter du discrédit sur cet officier supérieur qui fait pourtant partie du cercle très fermé des militaires sur qui la hiérarchie militaire et le Chef suprême des armées compte pour protéger le pays.
Patriote, courageux, professionnel, aguerri, rompu à la tâche , prompt à prendre des décisions difficiles pour des questions relatives à la Sûreté de l’état et en rapport direct avec l’armée voilà non exhaustivement quelques adjectifs par lesquels on peut qualifier le Colonel Émile Joël Bamkoui, Chef de la Division (SEMIL) au Ministère de La Défense. Un homme qui ne craint pas le péril et l’affronte de bonne volonté, de bon gré et surtout de bon cœur. Suffisamment discret, beaucoup ne le connaissent que par les opérations militaires qu’il mène et les enquêtes niveau Everest qu’il conduit depuis des décennies. Cet homme dont la forte réputation a précédé bien des années avant ses fonctions au Mindef, alors même qu’il n’était encore qu’un jeune officier dans l’armée camerounaise, sorti avec brio de l’école militaire interarmées (EMIA), avec le grade de lieutenant.
On le connait comme l’un des hommes forts de la Gendarmerie Nationale du Cameroun qui après avoir mis fin au phénomène de « coupeurs de route dans le Grand Nord, a fait reculer le grand banditisme à Douala dans le littoral. En bref, ses états de service sur l’étendue du territoire, lui ont donné très bonne réputation que ce soit à Bafoussam dans le chef-lieu de la région de l’Ouest, à Nkonsamba ou même à Yaoundé, au Secrétariat d’état à La Défense ( SED) et commandement opérationnel, il a servi le pays. Contrairement à la caricature qui est faite de l’homme sur les réseaux sociaux et autres médias dans le but de le discréditer, le colonel Bamkoui, habitué des critiques acerbes et habitué à vivre en milieu hostile, est un homme de principe qui a un grand cœur, un homme respectueux qui a le sens de l’humanisme et qui sait vivre en société.
Même ses pires ennemis reconnaissent sa grandeur et sa valeur. Encore que le C/DSM ne cherche pas à plaire aux gens mais à faire ce qui est juste . Les jugements de valeurs qui comptent pour lui sont ceux de sa hiérarchie au sommet de laquelle, le Chef Suprême des Forces Armées, le Président Paul Biya et le Ministre Délégué en Charge de La Défense, Joseph Beti Assomo qui le notent. Le Colonel Bamkoui est un officier supérieur qualifié et légitime qui travail avec honneur, fidélité et un sens très profond de la perspicacité. Sa fonction et ses responsabilités militaires sont compatibles avec son sens de l’honneur, de la justice et de la morale. La seule évocation de son nom crée une grande frayeur, de la terreur, de l’épouvante au sein des pourfendeurs de la République du Cameroun tant dans la Diaspora, qu’ à l’intérieur de nos frontières.
Un soldat à la tête bien faite
Emile Joël Bamkoui, officier supérieur de la gendarmerie, Chef de Division de la Sécurité Militaire est enseignant associé au Centre de recherche stratégie-défense de l’Université de Yaoundé II. En sa qualité de Spécialiste en renseignement et stratégie-défense, cet officier pétri d’expérience et donc de connaissances, pense à la postérité. C’est la raison pour laquelle il a publié en 2020 l’ouvrage intitulé « La corruption en Afrique subsaharienne : enjeux géopolitique et sécuritaire d’une économie transnationale. Crime organisé et menace globale », dans lequel il livre les enjeux géopolitique et sécuritaire. Et comme le Colonel Émile Joël Bamkoui est un homme de théories des méthodes et des procédés d’instruction et d’éducation, son livre est une source de connaissances autant pour les étudiants et chercheurs que pour les amoureux de la lecture, car les constructions intellectuelles qui s’y trouvent sont adossées sur des faits ayant valeur heuristique et herméneutique. L’ouvrage édité par L’Harmattan Cameroun et préfacé par le Ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, Joseph Beti Assomo, expose clairement dans un style à la fois réaliste et digeste, la lutte et la cligne-musette qui opposent les entités politiques formelles aux autres acteurs de la scène internationale, notamment les entités criminelles et les Etats.
L’auteur s’appuie sur les cinq dimensions de la sécurité énoncées par Barry Buzan pour prescrire une action d’envergure, multiacteur, multiniveau et multiplexe à l’intérieur des Etats comme à l’échelle continentale et même mondiale. Une telle réalité met l’ouvrage à mi-parcours entre la science fondamentale et la science appliquée où il élabore d’ailleurs une théorie de l’action publique contre le crime en ressuscitant la « loi de la variété indispensable », qui prescrit de combattre une menace complexe par l’augmentation de sa propre complexité, développée dans les années 1950 par le systémisme de William Ross Ashby. C’est donc un militaire exemplaire, qui bénéficie de la confiance de la hiérarchie pour son dynamisme et son efficacité dans les missions qui lui sont confiées que quelques illuminés, ennemis et jaloux de la stabilité du Cameroun tentent de salir par des allégations puériles.