Dans la matinée du Lundi 07 janvier 2013, un corps baignant dans une mare de sang a été retrouvé
Elle se prénommait Marie. Elle a été violée, puis lâchement assassinée dans la nuit du Dimanche 06 janvier 2013 dans les chambres de passe du Nigth club «Aire fore One» situé à Bonadibong. Le présumé assassin, très connu sous le nom de Mermoz, lui, continue d’exercer au Night club Air force, non loin du lieu du crime. Selon des sources concordantes, le dénommé Mermoz est un repris de justice et violeur multirécidiviste. Plus exactement, il serait à son cinquième forfait. Sauf que cette fois, le viol a tourné au drame. Les faits révèlent que dans la nuit du dimanche 07 janvier 2013, la jeune Marie était en service au Snack Bar «Frotambo», contigu au night club Air Force One.
Les deux structures appartiennent au même propriétaire. C’est alors qu’elle est abordée par Mermoz, également en service au night club Air Force One. Ce dernier va inviter la jeune serveuse à boire un verre. On soupçonne qu’il aurait profité pour droguer la fille. Puisqu’il va ensuite entrainer la jeune fille saoule, dans l’une des chambres de cette auberge située au-dessus du même immeuble.
C’est après s’être rassuré que la jeune dame était complètement endormie, que Mermoz va passer à l’acte. Ce n’est que quelques heures plus tard, que Marie va reprendre conscience et pour constater la forfaiture. Indignée, qu’elle ait été lâchement violée, il va s’en suivre une altercation entre la victime et son bourreau. Ce dernier va se servir d’une bouteille cassée lors de la dispute pour poignarder sa victime à plusieurs endroits du corps, avant de l’abandonné. Elle va rendre l’âme. Le crime ne sera constaté qu’aux premières lueurs de la matinée du lundi 07 janvier 2013 par la femme de ménage de ladite auberge.
Selon des témoignages glanés à bonne source, l’incriminé a été plusieurs fois dénoncé par l’un de ses chefs hiérarchiques, à la suite des dénonciations faite par les serveuses, victimes du même bourreau. Mais à chacune de ces forfaitures, ce dernier a toujours été couvert par le propriétaire du Night club qui aura choisi de faire fi des écarts de son employé. La dignité et l’image de ses serveuses étant le cadet de ses soucis.
La dépouille de Marie a été remise à sa famille, qui est repassée voir le propriétaire en vain. Mais on ne comprend toujours pas le mutisme des autorités compétentes qui ont pourtant été saisies par les parents de la défunte. Il faudrait également noter que le décès de la serveuse Marie, n’entrave en rien les activités de ce snack bar, très couru, qui continue de fonctionner normalement. Approchée, la responsable des serveuses du Sanck Bar, «Frotambo» dit ne pas être au courant du meurtre de sa collègue. Pourtant, sous cape, les langues se délient.