Sonara: Le poste de Charles Metouck ciblé par les Bakweri et les Bétis
DOUALA - 03 Juillet 2012
© Muna Dimbambe | Aurore Plus
Alors que le projet d'extension de la raffinerie qui constitue son socle opératoire entame sa seconde phase, Charles Metouck essuie toutes sortes de blocages sibyllins instrumentalisés par les réseaux Bakweri et Bétis qui voudraient voir commettre à la tête de l'entreprise, l'un des leurs.
Alors que le projet d'extension de la raffinerie qui constitue son socle opératoire entame sa seconde phase, Charles Metouck essuie toutes sortes de blocages sibyllins instrumentalisés par les réseaux Bakweri et Bétis qui voudraient voir commettre à la tête de l'entreprise, l'un des leurs.
Celebration en demi-teinte
Depuis quelques temps, Charles Metouck est littéralement dans le viseur des lobbies Bakweri et Bétis visant sa mise à mal et partant, son éviction de la Sonara pour y commettre des hommes téléguidés par ceux-là même qui ont littéralement mis sa tête à prix. Pourtant, quand il accède à la Sonara en 2002, l'entreprise connaît une régression de ses performances globales. Toutes choses qui dicteront à Charles Metouck, d'y implémenter une nouvelle approche managériale en vue de restructurer et de moderniser celle-ci afin de la repositionner dans l'optique d'une extension devant en assurer la restauration de ses performances. Et c'est à ce titre qu'il commettra un audit préalable, Suivi d'une contre-expertise du projet d'extension élaboré par le groupe Total, alors partenaire technique de la raffinerie nationale.
Mais au vu des conclusions de l'audit et de la contre-expertise, il comprit très tôt que le partenaire technique entendait en réalité maintenir ladite raffinerie dans une dépendance de fait, non sans alimenter de fortes velléités de contrôle de l'entreprise aux travers d'hommes-lige recrutés au sein des communautés Bakweri et Bétis qui s'activaient déjà, pour le contrôle des juteux marchés participant du programme d'extension de la raffinerie nationale. Et comme son intégrité morale ne le prédispose guère aux tripatouillages en tous genres utilisés à dessein par ses détracteurs et adversaires comme opératoire par essence, il devint très vite leur cible, dans une bataille successorale à la tête de la Sonara.
A preuve, il fut contraint à élaborer un plan de financement de l'extension et surtout à en lever les premiers financements en mobilisant pour ce faire, un syndicat d'établissements bancaires et financiers locaux qui allouèrent ainsi à la Sonara des financements conséquents. Mais loin d'assimiler son action à quelque avancée, ses adversaires et détracteurs y virent plutôt quelque manœuvre pour définitivement annuler leur ambition de contrôle de la Sonara au travers des marchés de l'extension évoqués supra. Mais comme par ailleurs, il continue de bénéficier de la confiance de l'Etat, on n'hésita pas à lui imputer l'affairisme de certains de ses collaborateurs dans le trafic illicite des produits pétroliers et surtout les carences techniques de son business dans le cadre de l'extension de la raffinerie.
Fort heureusement, les manœuvres pernicieuses à plus d'un titre de ses adversaires et détracteurs resteront lettre morte, notamment les contrôles itératifs effectués par le contrôle supérieur de l'Etat pour déceler de plausibles errements de gestion ou pire, des détournements de deniers publics qui lui seraient imputables. En fait, le directeur général de la Sonara paie un lourd tribut à sa non adhésion aux rentes viagères de fait qu'entendaient ainsi recevoir certains hauts responsables de la république, englués dans la bataille de contrôle sous jacent des marchés de l'extension de la raffinerie nationale. A preuve, les basses considérations attachées à la proposition de plausibles successeurs de Charles Metouck à la tête de la Sonara sont révélatrices du sombre dessein que nourrissent Bakweri et Béti à son encontre.
© Muna Dimbambe | Aurore Plus
Alors que le projet d'extension de la raffinerie qui constitue son socle opératoire entame sa seconde phase, Charles Metouck essuie toutes sortes de blocages sibyllins instrumentalisés par les réseaux Bakweri et Bétis qui voudraient voir commettre à la tête de l'entreprise, l'un des leurs.
Alors que le projet d'extension de la raffinerie qui constitue son socle opératoire entame sa seconde phase, Charles Metouck essuie toutes sortes de blocages sibyllins instrumentalisés par les réseaux Bakweri et Bétis qui voudraient voir commettre à la tête de l'entreprise, l'un des leurs.
Celebration en demi-teinte
Depuis quelques temps, Charles Metouck est littéralement dans le viseur des lobbies Bakweri et Bétis visant sa mise à mal et partant, son éviction de la Sonara pour y commettre des hommes téléguidés par ceux-là même qui ont littéralement mis sa tête à prix. Pourtant, quand il accède à la Sonara en 2002, l'entreprise connaît une régression de ses performances globales. Toutes choses qui dicteront à Charles Metouck, d'y implémenter une nouvelle approche managériale en vue de restructurer et de moderniser celle-ci afin de la repositionner dans l'optique d'une extension devant en assurer la restauration de ses performances. Et c'est à ce titre qu'il commettra un audit préalable, Suivi d'une contre-expertise du projet d'extension élaboré par le groupe Total, alors partenaire technique de la raffinerie nationale.
Mais au vu des conclusions de l'audit et de la contre-expertise, il comprit très tôt que le partenaire technique entendait en réalité maintenir ladite raffinerie dans une dépendance de fait, non sans alimenter de fortes velléités de contrôle de l'entreprise aux travers d'hommes-lige recrutés au sein des communautés Bakweri et Bétis qui s'activaient déjà, pour le contrôle des juteux marchés participant du programme d'extension de la raffinerie nationale. Et comme son intégrité morale ne le prédispose guère aux tripatouillages en tous genres utilisés à dessein par ses détracteurs et adversaires comme opératoire par essence, il devint très vite leur cible, dans une bataille successorale à la tête de la Sonara.
A preuve, il fut contraint à élaborer un plan de financement de l'extension et surtout à en lever les premiers financements en mobilisant pour ce faire, un syndicat d'établissements bancaires et financiers locaux qui allouèrent ainsi à la Sonara des financements conséquents. Mais loin d'assimiler son action à quelque avancée, ses adversaires et détracteurs y virent plutôt quelque manœuvre pour définitivement annuler leur ambition de contrôle de la Sonara au travers des marchés de l'extension évoqués supra. Mais comme par ailleurs, il continue de bénéficier de la confiance de l'Etat, on n'hésita pas à lui imputer l'affairisme de certains de ses collaborateurs dans le trafic illicite des produits pétroliers et surtout les carences techniques de son business dans le cadre de l'extension de la raffinerie.
Fort heureusement, les manœuvres pernicieuses à plus d'un titre de ses adversaires et détracteurs resteront lettre morte, notamment les contrôles itératifs effectués par le contrôle supérieur de l'Etat pour déceler de plausibles errements de gestion ou pire, des détournements de deniers publics qui lui seraient imputables. En fait, le directeur général de la Sonara paie un lourd tribut à sa non adhésion aux rentes viagères de fait qu'entendaient ainsi recevoir certains hauts responsables de la république, englués dans la bataille de contrôle sous jacent des marchés de l'extension de la raffinerie nationale. A preuve, les basses considérations attachées à la proposition de plausibles successeurs de Charles Metouck à la tête de la Sonara sont révélatrices du sombre dessein que nourrissent Bakweri et Béti à son encontre.