Société: Pourquoi les étrangers torturent les Camerounais au Cameroun ?
Yaoundé, 28 Février 2013
© Ernest Kouo | L'Epervier
Le citoyen Camerounais vit des misères insupportables même dans son pays, comme s'il se trouvait à l'étranger.
© Ernest Kouo | L'Epervier
Le citoyen Camerounais vit des misères insupportables même dans son pays, comme s'il se trouvait à l'étranger.
L’hospitalité qu’incarne le
camerounais vis-à-vis des étrangers est telle qu'on se demande parfois
si ce qui arrive à nos compatriotes ailleurs nous fait tirer des leçons
d'une xénophobie exagérée. L'étranger qui arrive dans notre pays pour la
première fois a toujours été marqué, par l'accueil chaleureux et
rassurant qui lui ait réservé. Ce qui est le contraire des différents
traitements inhumains dont nos citoyens rencontrent que ce soit en
Guinée Equatoriale au Gabon, ou en République Centrafricaine.
Et le cas le plus écœurant est la torture subie par les citoyens Camerounais dans leur propre pays. S'il faut prendre certains exemples qui ont défrayés la chronique dans notre pays il y a quelques mois, les Maliens qui ont frappé à mort un citoyen Camerounais à Tsinga Elobi. Cette affaire est restée lettre morte, un français qui fusille sa femme à Douala. Tous ces cas démontrent à suffisance la misère que vivent des Camerounais chez eux. Dans certaines entreprises basées au Cameroun et gérées par les expatriés, on impose à nos jeunes compatriotes des pratiques homosexuelles pour les propulser aux postes avantageux sans compter nos jeunes filles qui sont abusées sexuellement par les Nigérians, Gabonais, Sénégalais, Libanais et même les européens.
Face donc à ces misères insupportables, on avait pensé que les pouvoirs publics allaient jeter un regard particulier sur cette façon de faire, mais le paradoxe serait que notre gouvernement garanti plus de sécurité aux étrangers qu'à ses citoyens. Dans les pays voisins nous connaissons les traitements infligés aux camerounais particulièrement emprisonnement, violence, tortures, blessures jusqu'à ce que morts s'en suivent. On se souvient de la jeune camerounaise dont les deux jambes ont été amputées par les militaires Equato-Guinéens à Bata. L'image était insoutenable et l'acte cruel.
Que faire? Où partir?
Quelle est la position de notre Chef de l'Etat qui semble toujours ménager des efforts de paix face à tous ces abus dont ses citoyens sont victimes? A l'heure où notre pays se retourne vers les grands projets structurants pour les grandes réalisations, nos compatriotes recherchent vainement les jobs dans les différents chantiers à l'instar du Port en Eau Profonde de Kribi où les Vietnamiens, Indonésiens, Malaisiens et Chinois ont arraché la vedette dans la masse ouvrière.
Tous les Camerounais d'horizon divers vivants que ce soit à l'étranger où à l'intérieur du pays, en ont ras le bol et disent que la recréation est terminée.
Et le cas le plus écœurant est la torture subie par les citoyens Camerounais dans leur propre pays. S'il faut prendre certains exemples qui ont défrayés la chronique dans notre pays il y a quelques mois, les Maliens qui ont frappé à mort un citoyen Camerounais à Tsinga Elobi. Cette affaire est restée lettre morte, un français qui fusille sa femme à Douala. Tous ces cas démontrent à suffisance la misère que vivent des Camerounais chez eux. Dans certaines entreprises basées au Cameroun et gérées par les expatriés, on impose à nos jeunes compatriotes des pratiques homosexuelles pour les propulser aux postes avantageux sans compter nos jeunes filles qui sont abusées sexuellement par les Nigérians, Gabonais, Sénégalais, Libanais et même les européens.
Face donc à ces misères insupportables, on avait pensé que les pouvoirs publics allaient jeter un regard particulier sur cette façon de faire, mais le paradoxe serait que notre gouvernement garanti plus de sécurité aux étrangers qu'à ses citoyens. Dans les pays voisins nous connaissons les traitements infligés aux camerounais particulièrement emprisonnement, violence, tortures, blessures jusqu'à ce que morts s'en suivent. On se souvient de la jeune camerounaise dont les deux jambes ont été amputées par les militaires Equato-Guinéens à Bata. L'image était insoutenable et l'acte cruel.
Que faire? Où partir?
Quelle est la position de notre Chef de l'Etat qui semble toujours ménager des efforts de paix face à tous ces abus dont ses citoyens sont victimes? A l'heure où notre pays se retourne vers les grands projets structurants pour les grandes réalisations, nos compatriotes recherchent vainement les jobs dans les différents chantiers à l'instar du Port en Eau Profonde de Kribi où les Vietnamiens, Indonésiens, Malaisiens et Chinois ont arraché la vedette dans la masse ouvrière.
Tous les Camerounais d'horizon divers vivants que ce soit à l'étranger où à l'intérieur du pays, en ont ras le bol et disent que la recréation est terminée.