Siarc: nous y sommes ! Le Salon international de l’artisanat du Cameroun, edition 2012, s'ouvre ce jour.
YAOUNDE - 24 JAN. 2012
© Cameroon Tribune
C’est aujourd’hui que les portes du salon s’ouvrent aux visiteurs, après l’installation des exposants qui s’est achevée hier dans le calme.
© Cameroon Tribune
C’est aujourd’hui que les portes du salon s’ouvrent aux visiteurs, après l’installation des exposants qui s’est achevée hier dans le calme.
Parcourir le site du Salon
international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) ne sera pas chose aisée
pour les visiteurs. Pas que l’esplanade de l’Hôtel de ville de Yaoundé
soit si vaste. Mais, devant la beauté des œuvres d’art exposées, il y
aura à voir et à admirer : des pots de fleurs conçus à base de feuilles
de bananiers et de maïs, des salons en bois sculptés dans des formes
inattendues, des lits fabriqués avec des cornes de bœuf … les visiteurs
devront donc bien se donner la peine s’ils veulent tout admirer. Hier,
alors que les artisans occupaient chacun son stand, on pouvait déjà
apercevoir quelques sculptures par-ci, des peintures par-là, dénotant de
la qualité du show qui s’ouvre aujourd’hui.
L’installation des exposants sur le site du salon s’est déroulée hier dans un véritable capharnaüm. Le va-et-vient des artisans, le ronflement des voitures chargées d’ouvrages d’art, le bruit d’une scie et celui des marteaux enfonçant des clous, des hommes qui nettoient et cette odeur de paille présente dans l’air, etc. Au milieu de ce brouhaha, certains artisans ont terminé de s’installer. C’est le cas de Sadrack Nganmane. Le garçon de 13 ans qui se présente comme « le plus jeune artisan de l’Est » est à sa première participation au Siarc. Les œuvres d’art qu’il produit (pots de fleurs, tableaux et vêtements), sont fabriquées à base des feuilles de bananiers et de maïs. « Il y a deux ans que j’exerce dans l’artisanat. Aujourd’hui, je suis venu au Siarc pour vendre et nouer des contacts », déclare l’adolescent.
Un autre acteur très présent sur le site hier, c’est Malet ma Njami Mal Njam, Commissaire du salon. Il s’assure que tout est prêt pour le Jour-J. « A 24 h de l’événement, nous prenons toutes les précautions pour nous assurer que les commodités sont effectives et que la compréhension avec les exposants sur l’occupation des stands est-là. Les toilettes mobiles et le cadrage électrique sont réglés. La tribune est prête, les délégations régionales sont déjà arrivées », confie le commissaire qui met un point d’honneur à l’occupation rationnelle de l’espace. « La cohue c’était hier (Ndlr : dimanche), tout se met en place et tout sera prêt », rassure Mal Njam. Toutefois, il n’hésite pas à soulever quelques difficultés liées au fait que tous les artisans n’arrivent pas au même moment. Des problèmes qu’il faudra gérer en temps opportun. Pour le moment, place au show.
L’installation des exposants sur le site du salon s’est déroulée hier dans un véritable capharnaüm. Le va-et-vient des artisans, le ronflement des voitures chargées d’ouvrages d’art, le bruit d’une scie et celui des marteaux enfonçant des clous, des hommes qui nettoient et cette odeur de paille présente dans l’air, etc. Au milieu de ce brouhaha, certains artisans ont terminé de s’installer. C’est le cas de Sadrack Nganmane. Le garçon de 13 ans qui se présente comme « le plus jeune artisan de l’Est » est à sa première participation au Siarc. Les œuvres d’art qu’il produit (pots de fleurs, tableaux et vêtements), sont fabriquées à base des feuilles de bananiers et de maïs. « Il y a deux ans que j’exerce dans l’artisanat. Aujourd’hui, je suis venu au Siarc pour vendre et nouer des contacts », déclare l’adolescent.
Un autre acteur très présent sur le site hier, c’est Malet ma Njami Mal Njam, Commissaire du salon. Il s’assure que tout est prêt pour le Jour-J. « A 24 h de l’événement, nous prenons toutes les précautions pour nous assurer que les commodités sont effectives et que la compréhension avec les exposants sur l’occupation des stands est-là. Les toilettes mobiles et le cadrage électrique sont réglés. La tribune est prête, les délégations régionales sont déjà arrivées », confie le commissaire qui met un point d’honneur à l’occupation rationnelle de l’espace. « La cohue c’était hier (Ndlr : dimanche), tout se met en place et tout sera prêt », rassure Mal Njam. Toutefois, il n’hésite pas à soulever quelques difficultés liées au fait que tous les artisans n’arrivent pas au même moment. Des problèmes qu’il faudra gérer en temps opportun. Pour le moment, place au show.