Sécurité routière: Le téléphone au volant réprimé
Douala, 28 Mars 2013
© Georges SEMEY | Ouest Littoral
© Georges SEMEY | Ouest Littoral
Un communiqué du Ministre des transports annonce pour ce 1er avril, le passage à la phase répressive.
La campagne contrôle et répression en
cours depuis quelques mois sur les axes routiers de notre pays monte
d'un cran. Dans un communiqué rendu public ce mardi 26 mars, le Ministre
des Transports annonce pour ce 1er avril, la poursuite des opérations
en zone urbaine.
Une infraction banale mais accidentogène
Pour cette phase, une série d'infraction a été répertoriée. Le communiqué cite entre autres le défaut de permis de conduire, de plaque d'immatriculation, de permis de conduire ou encore, l'excès de vitesse, l'état défectueux du véhicule et le défaut de port de ceinture de sécurité.
Une autre infraction banale pour certains mais hautement accidentogène pour d'autres, tombent également sous le coup de la répression. Il est prohibé depuis un récent arrêté du Ministre des Transports, l'usage du téléphone portable au volant. Des scènes montrant des chauffeurs de véhicules en pleine conversation téléphonique deviennent récurrentes dans les axes routiers de nos grandes agglomérations. Les pouvoirs publics en ont fait une cause potentielle de l'accident, même si son impact sur le taux de mortalité suite aux accidents de la route est encore faible.
Le coupable sera-t-il dépossédé de son portable?
Des équipes du Ministère des Transports, appuyées par celles du Secrétariat d'Etat à la Défense chargées de la Gendarmerie seront ainsi à pied d'œuvre dès ce 1er avril. Il est à noter que cette phase est plus répressive que sensibilisatrice. Les coupables seront ainsi passibles du paiement de fortes sommes d'amendes évaluées quelques fois jusqu'à de centaines de milliers de FCFA, selon le degré des infractions.
Concernant l'infraction particulière d'usage du téléphone au volant, son utilisateur en sera-t-il purement et simplement dépossédé?
Une infraction banale mais accidentogène
Pour cette phase, une série d'infraction a été répertoriée. Le communiqué cite entre autres le défaut de permis de conduire, de plaque d'immatriculation, de permis de conduire ou encore, l'excès de vitesse, l'état défectueux du véhicule et le défaut de port de ceinture de sécurité.
Une autre infraction banale pour certains mais hautement accidentogène pour d'autres, tombent également sous le coup de la répression. Il est prohibé depuis un récent arrêté du Ministre des Transports, l'usage du téléphone portable au volant. Des scènes montrant des chauffeurs de véhicules en pleine conversation téléphonique deviennent récurrentes dans les axes routiers de nos grandes agglomérations. Les pouvoirs publics en ont fait une cause potentielle de l'accident, même si son impact sur le taux de mortalité suite aux accidents de la route est encore faible.
Le coupable sera-t-il dépossédé de son portable?
Des équipes du Ministère des Transports, appuyées par celles du Secrétariat d'Etat à la Défense chargées de la Gendarmerie seront ainsi à pied d'œuvre dès ce 1er avril. Il est à noter que cette phase est plus répressive que sensibilisatrice. Les coupables seront ainsi passibles du paiement de fortes sommes d'amendes évaluées quelques fois jusqu'à de centaines de milliers de FCFA, selon le degré des infractions.
Concernant l'infraction particulière d'usage du téléphone au volant, son utilisateur en sera-t-il purement et simplement dépossédé?