RICHARD MALONG /INFIRMIER SOCATUR: "L’assurance maladie est opérationnelle depuis quelques mois"
RICHARD MALONG /INFIRMIER SOCATUR: "L’assurance maladie est opérationnelle depuis quelques mois"
En quoi consiste votre travail à la Socatur ?
Mon travail dans cette entreprise consiste donner les premiers soins aux employés de la Socatur en cas d’accidents ou de maladies. Mais aussi d’apporter des soins personnes victimes d’accidents dans lesquels les bus de la structure sont impliqués. Cela signifie qu’il y a donc deux volets. Des cas d’accidents ou de maladie dans la société, et des cas d’accidents de la route. Quand je peux les soigner sur place, je le fais. Mais lorsque c’est des cas grave, on les fait transporter soit à l’hôpital de Nylon soit à l’hôpital Laquintinie pour des soins intensifs.
Vous êtes salarié. Avez-vous connu des arriérés de salaire ?
Je suis arrivé ici en 2008. Mais je n’ai pas eu d’arriérés de salaire. Il peut y avoir eu des décalages de trois ou quatre jours.
On apprend qu’il n’y a ni infirmerie, ni l’assurance maladie pour les employés de la Socatur . Qu’en dites-vous ?
Quand je suis arrivé ici, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup plus de maladies hydriques (liées à la consommation de l’eau). Il s’agit des maladies telles la typhoïde, la diarrhée, etc. J’ai compris là où se situait le mal en terme de santé ici. Et la direction a entrepris de fournir l’infirmerie en médicaments de premiers soins. Tout comme elle m’a aidé à construire un forage qui aliment, depuis lors, toute la structure. Ce n’est plus de l’eau avec des particules solides. J’ai été énormément soulagé au niveau de l’eau potable. En plus, il y a de l’eau potable livrée par Aqua Vita. S’agissant de l’assurance maladie, elle fonctionne depuis plusieurs mois. Et la société prend sur elle 80% des frais de soins sanitaires, tandis que l’employer doit assumer les 20 autres pourcent. De surcroît, la société avait eu à distribué des fiches à remplir pour pouvoir bénéficier de l’assurance maladie. Mais un problème demeure : certains jeunes employés ne comprennent pas toujours son importance. Toutefois, une grande majorité des employés s’est déjà faite enregistrée et elle bénéficie du soutien de la société en cas de maladie. Il y a un cas patent qui se faire opérer d’une hernie inguinale droite et qui a reçu son bon de prise en charge. Il s’appelle Monsieur François ESSOMBE, l’un des Contrôleur de la Socatur. Il y a aussi des malades atteints du Vih/Sida qui sont accompagnés et soutenus par la direction générale.
Qu’en est-il de la cantine ? Vous en avez une par ici ?
Ah, oui. Au niveau de la cantine, il faut dire qu’elle est opérationnelle depuis 5 mois. Le médecin du travail, le Docteur Boileau, et moi, y faisons régulièrement des trous pour évaluer l’état des lieux. Et nous n’avons pas jusqu’ici été déçu par l’état de salubrité de ces lieux. Tout est toujours propre. D’ailleurs, vous pourrez y faire un tour tout à l’heure si vous le souhaitez.
Propos recueillis
Par Joseph Roland Djotié
Camerounlink.net 23-12-2010
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Mon travail dans cette entreprise consiste donner les premiers soins aux employés de la Socatur en cas d’accidents ou de maladies. Mais aussi d’apporter des soins personnes victimes d’accidents dans lesquels les bus de la structure sont impliqués. Cela signifie qu’il y a donc deux volets. Des cas d’accidents ou de maladie dans la société, et des cas d’accidents de la route. Quand je peux les soigner sur place, je le fais. Mais lorsque c’est des cas grave, on les fait transporter soit à l’hôpital de Nylon soit à l’hôpital Laquintinie pour des soins intensifs.
Vous êtes salarié. Avez-vous connu des arriérés de salaire ?
Je suis arrivé ici en 2008. Mais je n’ai pas eu d’arriérés de salaire. Il peut y avoir eu des décalages de trois ou quatre jours.
On apprend qu’il n’y a ni infirmerie, ni l’assurance maladie pour les employés de la Socatur . Qu’en dites-vous ?
Quand je suis arrivé ici, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup plus de maladies hydriques (liées à la consommation de l’eau). Il s’agit des maladies telles la typhoïde, la diarrhée, etc. J’ai compris là où se situait le mal en terme de santé ici. Et la direction a entrepris de fournir l’infirmerie en médicaments de premiers soins. Tout comme elle m’a aidé à construire un forage qui aliment, depuis lors, toute la structure. Ce n’est plus de l’eau avec des particules solides. J’ai été énormément soulagé au niveau de l’eau potable. En plus, il y a de l’eau potable livrée par Aqua Vita. S’agissant de l’assurance maladie, elle fonctionne depuis plusieurs mois. Et la société prend sur elle 80% des frais de soins sanitaires, tandis que l’employer doit assumer les 20 autres pourcent. De surcroît, la société avait eu à distribué des fiches à remplir pour pouvoir bénéficier de l’assurance maladie. Mais un problème demeure : certains jeunes employés ne comprennent pas toujours son importance. Toutefois, une grande majorité des employés s’est déjà faite enregistrée et elle bénéficie du soutien de la société en cas de maladie. Il y a un cas patent qui se faire opérer d’une hernie inguinale droite et qui a reçu son bon de prise en charge. Il s’appelle Monsieur François ESSOMBE, l’un des Contrôleur de la Socatur. Il y a aussi des malades atteints du Vih/Sida qui sont accompagnés et soutenus par la direction générale.
Qu’en est-il de la cantine ? Vous en avez une par ici ?
Ah, oui. Au niveau de la cantine, il faut dire qu’elle est opérationnelle depuis 5 mois. Le médecin du travail, le Docteur Boileau, et moi, y faisons régulièrement des trous pour évaluer l’état des lieux. Et nous n’avons pas jusqu’ici été déçu par l’état de salubrité de ces lieux. Tout est toujours propre. D’ailleurs, vous pourrez y faire un tour tout à l’heure si vous le souhaitez.
Propos recueillis
Par Joseph Roland Djotié
Camerounlink.net 23-12-2010