Retraite de Charles Ndongo: La Phobie de l’inconnu
YAOUNDÉ - 23 Mai 2012
© EKWÔ Bilé | L'Epervier
L'éditorialiste tribaliste sollicite-t-il l'aide des Camerounais pour son maintien dans les effectifs de la CRTV?
© EKWÔ Bilé | L'Epervier
L'éditorialiste tribaliste sollicite-t-il l'aide des Camerounais pour son maintien dans les effectifs de la CRTV?
Les voyages présidentiels, les
missions taillées sur mesure hors du pays, des passe-droits et autres
traitements de prince sont des privilèges dont bénéficie Charles Ndongo
depuis plus de deux décennies. La peur du journaliste d'être sevré de ce
qui collait à sa peau, lui donne manifestement des insomnies. Mais la
dure réalité de la vie professionnelle est implacable et exige que
l’élégant lapin accepte comme plusieurs autres avant lui de laisser la
place aux plus jeunes. Quitter la tour d'aluminium de Mballa II sans se
hisser au sommet de la CRTV ou se voir confier un autre poste comme ses
rivaux que sont Amadou Vamoulké ou Joseph LE ressemble à une sortie par
la petite porte pour cet homme à la fois intriguant, tribaliste et
jaloux du succès des autres qui caresse le rêve de devenir le prochain
Directeur Général de la CRTV.
Moins élégant et digne que le talentueux Patrick Poivre d'Arvor de TFI qui avait annoncé avec détachement son divorce avec la chaine de télévision, Ndongo Charles a entonné par des lamentations en plein reportage de la cérémonie de célébration de la 40e fête de l'unité au boulevard du 20 Mai. Une manière de faire parvenir leurs échos au Chef de l'Etat, en espérant que l'annonce en direct de sa mise à la retraite qui n'est pas une punition arbitraire, déchainerait une vague de témoignages de sympathie pouvant contraindre sa haute hiérarchie à lui accorder quelques piges...
Mais Charles Ndongo ne doit pas se faire d'illusions car, il n'est pas l'homme le plus aimé des Camerounais qui reconnaissent tout de même son art de la mauvaise interprétation des faits et une lecture outrageusement partisane des événements.
Spécialiste des refrains grivois à la CRTV, ce fin calculateur qui croit à son gigantisme, est parfois imbu de lui même au point d'incarner la pluralité de l'égo. Avant Charles Ndongo, des journalistes aussi appréciés que talentueux sont partis de la CRTV sans tambours ni trompettes. On pense à Anne Marthe Mvotto, à Abel Mbengue et bien d'autres. Charles Ndongo qui a peur de son ombre redoute-t-il de s'éloigner de son abri anti atomique qu'est la CRTV? Ne s'est-il pas ressaisi de ses mésaventures pour mieux préparer sa retraite? Les questions que l'on peut se poser sont nombreuses après cette sortie insipide de cet adepte des coups bas et des coups de poignards dans le dos.
Des soucis à la pelle
Charles Ndongo, de l'avis de certaines sources introduites à la CRTV, n'a pas seulement peur de perdre ses énormes privilèges. Il serait aussi profondément perturbé par l'idée d'abandonner ces belles femmes dont il s'est constitué un harem à la CRTV. Ses enfants avec certaines que nous voulons taire les noms par charité chrétienne, mais qui se reconnaitront en remerciant le Seigneur de nous avoir inspiré, sont incomptables. Le tribun a peur de sa jeune relève qui ne manquera pas, une fois son départ constaté, de s'engouffrer avec fracas dans les trousses de sa chasse gardée. Si dans près 130 jours à partir du 20 Mai, Charles Ndongo n'est pas sauvé de cette retraite qu'il redoute, on pourra alors dire qu'il a célébré sa dernière fête nationale en qualité de commentateur de l'événement et qu'il devra désormais regarder les autres faire, en écoutant les commentaires d'un autre genre en se rongeant les ongles dans un coin du feu au village...
Est-ce la fin des illusions?
Tant avec Mendo Zé qu'avec Vamoulké, Charles Ndongo a fait étalage de ses talents de déstabilisateur. Malgré un traitement de faveur, il n'a jamais cessé de planifier en sourdine l'étouffement de la CRTV dont il voulait prendre les commandes. L'arrivée de Vamoulké a été un dernier coup de poignard, même s'il y a encore quelques mois, il caressait le malicieux rêve de prendre le poste de Joseph LE à la présidence de la République.
Comme dans notre pays les retraités ne vont jamais en retraite, Charles Ndongo espère qu'une fois son départ officialisé à la CRTV, il briguera un grand poste avant fin 2012. L'espoir fait vivre mais attention aux illusions car, ce qui arrive aux autres n'est pas forcement un acquis pour lui.
Moins élégant et digne que le talentueux Patrick Poivre d'Arvor de TFI qui avait annoncé avec détachement son divorce avec la chaine de télévision, Ndongo Charles a entonné par des lamentations en plein reportage de la cérémonie de célébration de la 40e fête de l'unité au boulevard du 20 Mai. Une manière de faire parvenir leurs échos au Chef de l'Etat, en espérant que l'annonce en direct de sa mise à la retraite qui n'est pas une punition arbitraire, déchainerait une vague de témoignages de sympathie pouvant contraindre sa haute hiérarchie à lui accorder quelques piges...
Mais Charles Ndongo ne doit pas se faire d'illusions car, il n'est pas l'homme le plus aimé des Camerounais qui reconnaissent tout de même son art de la mauvaise interprétation des faits et une lecture outrageusement partisane des événements.
Spécialiste des refrains grivois à la CRTV, ce fin calculateur qui croit à son gigantisme, est parfois imbu de lui même au point d'incarner la pluralité de l'égo. Avant Charles Ndongo, des journalistes aussi appréciés que talentueux sont partis de la CRTV sans tambours ni trompettes. On pense à Anne Marthe Mvotto, à Abel Mbengue et bien d'autres. Charles Ndongo qui a peur de son ombre redoute-t-il de s'éloigner de son abri anti atomique qu'est la CRTV? Ne s'est-il pas ressaisi de ses mésaventures pour mieux préparer sa retraite? Les questions que l'on peut se poser sont nombreuses après cette sortie insipide de cet adepte des coups bas et des coups de poignards dans le dos.
Des soucis à la pelle
Charles Ndongo, de l'avis de certaines sources introduites à la CRTV, n'a pas seulement peur de perdre ses énormes privilèges. Il serait aussi profondément perturbé par l'idée d'abandonner ces belles femmes dont il s'est constitué un harem à la CRTV. Ses enfants avec certaines que nous voulons taire les noms par charité chrétienne, mais qui se reconnaitront en remerciant le Seigneur de nous avoir inspiré, sont incomptables. Le tribun a peur de sa jeune relève qui ne manquera pas, une fois son départ constaté, de s'engouffrer avec fracas dans les trousses de sa chasse gardée. Si dans près 130 jours à partir du 20 Mai, Charles Ndongo n'est pas sauvé de cette retraite qu'il redoute, on pourra alors dire qu'il a célébré sa dernière fête nationale en qualité de commentateur de l'événement et qu'il devra désormais regarder les autres faire, en écoutant les commentaires d'un autre genre en se rongeant les ongles dans un coin du feu au village...
Est-ce la fin des illusions?
Tant avec Mendo Zé qu'avec Vamoulké, Charles Ndongo a fait étalage de ses talents de déstabilisateur. Malgré un traitement de faveur, il n'a jamais cessé de planifier en sourdine l'étouffement de la CRTV dont il voulait prendre les commandes. L'arrivée de Vamoulké a été un dernier coup de poignard, même s'il y a encore quelques mois, il caressait le malicieux rêve de prendre le poste de Joseph LE à la présidence de la République.
Comme dans notre pays les retraités ne vont jamais en retraite, Charles Ndongo espère qu'une fois son départ officialisé à la CRTV, il briguera un grand poste avant fin 2012. L'espoir fait vivre mais attention aux illusions car, ce qui arrive aux autres n'est pas forcement un acquis pour lui.