renvoi dans l'affaire Atangana pour cause d'extinction de voix du juge
YAOUNDE - 26 NOV. 2013
© Georges Dougueli (Jeune Afrique) | Correspondance
En raison d'une extinction de voix, mardi 26 novembre, le juge de la Cour suprême qui devait se prononcer dans l'affaire Atangana a dû renvoyer la lecture de sa décision au lendemain.
La Cour suprême du Cameroun a renvoyé au 27 novembre la lecture de sa décision dans l'affaire Michel Thierry Atangana. Explication : aphone, le président de la Cour a n'a pas été capable de prendre la parole. Les juges devaient se prononcer sur la demande en annulation et, donc, sur la remise en liberté de l'homme d’affaires franco-camerounais détenu depuis 17 ans dans une cellule du Secrétariat d’État à la Défense (SED). En effet, après avoir purgé une première peine de 15 ans d’emprisonnement, Atangana avait de nouveau été condamné à 20 ans fermes dans la même affaire par un tribunal de Yaoundé. Ses avocats ont donc introduit une requête en annulation, tandis que, sur le plan diplomatique, la France s’active pour obtenir sa libération. Rendez-vous est donc pris pour le 27 novembre, à 10 heures.
Source: Jeune Afrique
© Georges Dougueli (Jeune Afrique) | Correspondance
En raison d'une extinction de voix, mardi 26 novembre, le juge de la Cour suprême qui devait se prononcer dans l'affaire Atangana a dû renvoyer la lecture de sa décision au lendemain.
La Cour suprême du Cameroun a renvoyé au 27 novembre la lecture de sa décision dans l'affaire Michel Thierry Atangana. Explication : aphone, le président de la Cour a n'a pas été capable de prendre la parole. Les juges devaient se prononcer sur la demande en annulation et, donc, sur la remise en liberté de l'homme d’affaires franco-camerounais détenu depuis 17 ans dans une cellule du Secrétariat d’État à la Défense (SED). En effet, après avoir purgé une première peine de 15 ans d’emprisonnement, Atangana avait de nouveau été condamné à 20 ans fermes dans la même affaire par un tribunal de Yaoundé. Ses avocats ont donc introduit une requête en annulation, tandis que, sur le plan diplomatique, la France s’active pour obtenir sa libération. Rendez-vous est donc pris pour le 27 novembre, à 10 heures.
Source: Jeune Afrique