Primes d'excellence académique: Le paiement a commencé à Yaoundé I
Yaoundé, 28 Août 2013
© Jeannine FANKAM | Cameroon Tribune
Les vérifications d’usage et certaines contraintes liées au décaissement expliquent les lenteurs et le retard.
A Douala, à Bamenda et à Yaoundé II, les étudiants ont manifesté sur les campus des universités d’Etat au sujet de leurs primes d’excellence octroyées par le Président de la République. A Bamenda, ils s’insurgeaient contre les lenteurs administratives et le retard dans le paiement. A Douala et à Yaoundé II, les étudiants protestaient contre les interruptions intervenues au cours du paiement. Dans l’édition de CT de jeudi dernier, Oumarou Bouba, recteur de l’Université de Yaoundé II, avouait que les tensions de trésorerie sont la cause principale de la perturbation que connaissent les paiements dans son Université. «Il ne se passe rien d’incongru», rassure Jacques Fame Ndongo, Ministre de l’Enseignement supérieur. Ici et là, ce sont les procédures de vérification et certaines contraintes liées au décaissement qui imposent des lenteurs ou des interruptions dans les paiements. Ces procédures sont pourtant impératives pour éviter les erreurs. Dans l’interview qui suit, Jacques Fame Ndongo, affirme qu’à l’Université de Yaoundé I, les étudiants passent à la caisse depuis lundi dernier.
© Jeannine FANKAM | Cameroon Tribune
Les vérifications d’usage et certaines contraintes liées au décaissement expliquent les lenteurs et le retard.
A Douala, à Bamenda et à Yaoundé II, les étudiants ont manifesté sur les campus des universités d’Etat au sujet de leurs primes d’excellence octroyées par le Président de la République. A Bamenda, ils s’insurgeaient contre les lenteurs administratives et le retard dans le paiement. A Douala et à Yaoundé II, les étudiants protestaient contre les interruptions intervenues au cours du paiement. Dans l’édition de CT de jeudi dernier, Oumarou Bouba, recteur de l’Université de Yaoundé II, avouait que les tensions de trésorerie sont la cause principale de la perturbation que connaissent les paiements dans son Université. «Il ne se passe rien d’incongru», rassure Jacques Fame Ndongo, Ministre de l’Enseignement supérieur. Ici et là, ce sont les procédures de vérification et certaines contraintes liées au décaissement qui imposent des lenteurs ou des interruptions dans les paiements. Ces procédures sont pourtant impératives pour éviter les erreurs. Dans l’interview qui suit, Jacques Fame Ndongo, affirme qu’à l’Université de Yaoundé I, les étudiants passent à la caisse depuis lundi dernier.