Presidence de la Republique - Une autre tension dans l'air: Le Général Ivo Desancio menacé de mort
Yaoundé, 17 Juillet 2013
© E.K | L'Epervier
La sécurité du Chef de l'Etat une fois de plus menacée.
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La sécurité du Chef de l'Etat une fois de plus menacée.
On avait pensé que les grandes
décisions prises par le Président de la République au mois de Janvier
dernier dont, une relevait le Commandant de la garde présidentielle le
Colonel Etoundi Nsoe Raymond devraient ramener la confiance et la
fidélité au sein des services qui garantissent la protection de Paul
Biya. S'il est certain que les choses ont changé positivement à la garde
présidentielle depuis l'arrivée du cher de bataillon Beko’o Abondo, il
va sans dire qu'à la Direction de la Sécurité Présidentielle (DSP) que
dirige le Général Ivo Desancio, les choses tourneraient très mal et
pourtant, c'est la garde rapprochée du Chef de l'Etat.
En effet, tout part d'une correspondance anonyme déposée devant les bureaux des grands responsables civils et militaires de la présidence de la République, dont le contenu révèle les promesses de mort dans les prochains jour contre le Général Ivo Desancio Directeur de la sécurité présidentielle. Le cas semble ne pas être similaire avec les deux Correspondances des soldats qui ont occasionné le limogeage du Colonel Etoundi Nsoe de la garde présidentielle. Quant à ce qui se passerait à la Direction de la sécurité présidentielle, c'est le même son de cloche mais les tracts et les lettres anonymes étalant seulement le caractère tragique seraient la résultante du mauvais traitement dont les éléments de la Direction de la sécurité présidentielle seraient victimes.
QUE SE PASSE-T-IL À LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ PRÉSIDENTIELLE?
D’après les sources cohérentes provenant du Palais, depuis 6 ans, les éléments de la DSP n'auraient pas reçu des gratifications comme cela se passait avant, mais par crainte de représailles, beaucoup sont restés calme. Cependant il y a un an, 200 commandos, formés par le Bataillent d'Intervention Rapide (BIR) ont été recruté pour renforcer les effectifs de la garde rapprochée du Chef de l'Etat. Ces nouveaux esprits et nouvelles forces n’accepteraient pas le traitement qu'ils vivraient au quotidien par rapport à leurs camarades de la garde présidentielle qui semblent soulagés. Selon ces derniers, la formation acquise et l'énergie accumulée ne leur permettent pas de vivre mal jusqu'à se partager un pain entier ou un bâton de manioc comme repas. Le rendement étant considérable, le déploiement ces derniers temps des éléments de la DSP chaque sortie officielle du Président de la République devrait aussi répondre à une prise en charge proportionnelle au travail abattu.
L'on se souvient du voyage de Paul Biya à Lom Pangar, Memve’éle, la fête nationale du 20 Mai et dernièrement lors du sommet sur le Golfe de Guinée où 12 Chefs de l'Etat et gouvernements ont pris part. Les éléments de la DSP n'ont pas failli, nuit et jour ils étaient sur le qui-vive avec en contrepartie, des primes qui ne seraient pus reversées, les costumes achetées à l'Avenue Kennedy par eux-mêmes avant d'être renvoyés au pressing. Et pourtant. Ils poursuivent en affirmant qu’il est prévu un budget pour l’habillement et leur traitement sans faille.
800 MILLIONS DE FCFA DE PRIMES SERAIENT DÉTOURNÉS.
D'autres précisions révèlent un montant de 800 millions de FCFA mensuellement prévu pour la gestion des éléments de la DSP. Habillement, ration et primes compris... Aux derniers nouvelles, chaque élément de la DSP gagnerait 1000 frs pour deux semaines de missions à Mvomeka 'a (ironie du sort).
MENACE DE MORT
Depuis le sommet sur la sûreté et la sécurité maritime sur le Golf de Guinée les 24 et 25 Juin 2013, les éléments de la DSP sans exception ne s'accorderaient plus avec le Général lvo Desancio et certains responsables au sujet de leur traitement inacceptable et non proportionnel au travail qu'ils abattent. Leur famille, et leurs enfants seraient en pâture avec une éducation en péril à cause d'une garde infime et sans rendement significatif. La situation devient plus flagrante et touchante avec la nouvelle ère de la garde présidentielle dont les éléments seraient à l'aise.
LES FAITS
Dans la journée du 06 Juillet 2013 alors que le Président Paul Biya et Madame se rendent à Mvomeka'a pour un bref séjour. La Première Dame toujours préoccupée par le traitement des soldats de la garde perchés sur la pluie et le soleil pour travailler, voulait se rassurer si les primes de ces derniers leur ont été reversées. Elle va s'enquérir de la situation auprès du Général Ivo Desancio avant d'entrer dans le véhicule, les mêmes sources affirment que le Général aurait fait savoir à la Première Dame que cela sera fait dans les prochaines heures. Malheureusement jusqu'à cette date aucune prime n'aurait été versée aux éléments qui réclament à cors et à cris leur dû. Le Général Ivo mépriserait-il la Première Dame?
C'est ainsi que quelques jours après, le DSP convoque plutôt une réunion pour menacer les éléments, leur retirant les armes, même à ceux qui prennent la garde dans sa résidence. Cette réaction a aussitôt suscité une Interrogation: Se reprochait-t-il de quelque chose? Difficile de le savoir.
Toujours est-il qu'en retirant les armes aux soldats, était-ce la solution au problème et aux lettres anonymes dont il serait visé? Serions-nous entrain d'assister petit à petit à la descente aux enfers de l'ancien Commandant de légion de gendarmerie de la province du Sud dont l'issue de cette affaire ne serait pas différente du limogeage de l'ex Commandant de la garde présidentielle le Colonel Etoundi Nsoé Raymond car connaissant le sérieux avec lequel Paul Biya accorde à tous les services qui assurent sa protection et sa garde.
CHASSE À L'HOMME ET TRIBALISME
D'autres sources évoquent que le DSP ne serait pas aimé et apprécié au niveau du Palais à cause d'une attitude qui consisterait pour lui de chasser tous les officiers haut gradés aux côtés du Chef de l’Etat et rester le seul maître de la protection du prince. Dans sa gibecière de réversion, on pourrait retrouver le Colonel SEME Andong Pierre, et le Lieutenant-colonel Bidoung Josué Noel qui serait un neveu de Paul Biya, le Colonel Melingui ne serait pas du reste, le Colonel Engolo Begang sur sa ligne de mire avec la complicité du MINDEF Alain Edgard Mette Ngo’o dont la sympathie envers le DSP ne souffrirait d'aucune contestation. Le Général Amougou chef d'Etat-major particulier du PRC serait-il un caillou dans leurs chaussures?
Au moment où l'on parle, le Général Ivo Desancio aurait désolidarisé Paul Biya de tous les officiers Bulu de la DSP en dehors du Colonel Engolo. Ce qui pourrait être un gros risque pour le Chef de l’Etat. Sa tactique de réversion consisterait à vous commissionner hors du Palais tout en restant avec votre badge. Après que vous ayez franchi le portail du Palais, il passe un coup de fil aux éléments postés au portail pour interdire toute entrée des personnes non détentrice de leur badge quelque soit le grade. Beaucoup de personnels de la présidence auront perdu leur poste de cette manière, nous pensons à un certain Ottou Jean Louis en service au cabinet civil mais qui a perdu son travail dans les mêmes conditions. Ceux des officiers retenus par le Générai Ivo pour rester aux côtés du Chef de l'Etat n'auraient pas de diplômes militaire et contempleraient et le Général Ivo Desancio dans la naïveté et ses détournements de derniers publics à la DSP.
En effet, tout part d'une correspondance anonyme déposée devant les bureaux des grands responsables civils et militaires de la présidence de la République, dont le contenu révèle les promesses de mort dans les prochains jour contre le Général Ivo Desancio Directeur de la sécurité présidentielle. Le cas semble ne pas être similaire avec les deux Correspondances des soldats qui ont occasionné le limogeage du Colonel Etoundi Nsoe de la garde présidentielle. Quant à ce qui se passerait à la Direction de la sécurité présidentielle, c'est le même son de cloche mais les tracts et les lettres anonymes étalant seulement le caractère tragique seraient la résultante du mauvais traitement dont les éléments de la Direction de la sécurité présidentielle seraient victimes.
QUE SE PASSE-T-IL À LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ PRÉSIDENTIELLE?
D’après les sources cohérentes provenant du Palais, depuis 6 ans, les éléments de la DSP n'auraient pas reçu des gratifications comme cela se passait avant, mais par crainte de représailles, beaucoup sont restés calme. Cependant il y a un an, 200 commandos, formés par le Bataillent d'Intervention Rapide (BIR) ont été recruté pour renforcer les effectifs de la garde rapprochée du Chef de l'Etat. Ces nouveaux esprits et nouvelles forces n’accepteraient pas le traitement qu'ils vivraient au quotidien par rapport à leurs camarades de la garde présidentielle qui semblent soulagés. Selon ces derniers, la formation acquise et l'énergie accumulée ne leur permettent pas de vivre mal jusqu'à se partager un pain entier ou un bâton de manioc comme repas. Le rendement étant considérable, le déploiement ces derniers temps des éléments de la DSP chaque sortie officielle du Président de la République devrait aussi répondre à une prise en charge proportionnelle au travail abattu.
L'on se souvient du voyage de Paul Biya à Lom Pangar, Memve’éle, la fête nationale du 20 Mai et dernièrement lors du sommet sur le Golfe de Guinée où 12 Chefs de l'Etat et gouvernements ont pris part. Les éléments de la DSP n'ont pas failli, nuit et jour ils étaient sur le qui-vive avec en contrepartie, des primes qui ne seraient pus reversées, les costumes achetées à l'Avenue Kennedy par eux-mêmes avant d'être renvoyés au pressing. Et pourtant. Ils poursuivent en affirmant qu’il est prévu un budget pour l’habillement et leur traitement sans faille.
800 MILLIONS DE FCFA DE PRIMES SERAIENT DÉTOURNÉS.
D'autres précisions révèlent un montant de 800 millions de FCFA mensuellement prévu pour la gestion des éléments de la DSP. Habillement, ration et primes compris... Aux derniers nouvelles, chaque élément de la DSP gagnerait 1000 frs pour deux semaines de missions à Mvomeka 'a (ironie du sort).
MENACE DE MORT
Depuis le sommet sur la sûreté et la sécurité maritime sur le Golf de Guinée les 24 et 25 Juin 2013, les éléments de la DSP sans exception ne s'accorderaient plus avec le Général lvo Desancio et certains responsables au sujet de leur traitement inacceptable et non proportionnel au travail qu'ils abattent. Leur famille, et leurs enfants seraient en pâture avec une éducation en péril à cause d'une garde infime et sans rendement significatif. La situation devient plus flagrante et touchante avec la nouvelle ère de la garde présidentielle dont les éléments seraient à l'aise.
LES FAITS
Dans la journée du 06 Juillet 2013 alors que le Président Paul Biya et Madame se rendent à Mvomeka'a pour un bref séjour. La Première Dame toujours préoccupée par le traitement des soldats de la garde perchés sur la pluie et le soleil pour travailler, voulait se rassurer si les primes de ces derniers leur ont été reversées. Elle va s'enquérir de la situation auprès du Général Ivo Desancio avant d'entrer dans le véhicule, les mêmes sources affirment que le Général aurait fait savoir à la Première Dame que cela sera fait dans les prochaines heures. Malheureusement jusqu'à cette date aucune prime n'aurait été versée aux éléments qui réclament à cors et à cris leur dû. Le Général Ivo mépriserait-il la Première Dame?
C'est ainsi que quelques jours après, le DSP convoque plutôt une réunion pour menacer les éléments, leur retirant les armes, même à ceux qui prennent la garde dans sa résidence. Cette réaction a aussitôt suscité une Interrogation: Se reprochait-t-il de quelque chose? Difficile de le savoir.
Toujours est-il qu'en retirant les armes aux soldats, était-ce la solution au problème et aux lettres anonymes dont il serait visé? Serions-nous entrain d'assister petit à petit à la descente aux enfers de l'ancien Commandant de légion de gendarmerie de la province du Sud dont l'issue de cette affaire ne serait pas différente du limogeage de l'ex Commandant de la garde présidentielle le Colonel Etoundi Nsoé Raymond car connaissant le sérieux avec lequel Paul Biya accorde à tous les services qui assurent sa protection et sa garde.
CHASSE À L'HOMME ET TRIBALISME
D'autres sources évoquent que le DSP ne serait pas aimé et apprécié au niveau du Palais à cause d'une attitude qui consisterait pour lui de chasser tous les officiers haut gradés aux côtés du Chef de l’Etat et rester le seul maître de la protection du prince. Dans sa gibecière de réversion, on pourrait retrouver le Colonel SEME Andong Pierre, et le Lieutenant-colonel Bidoung Josué Noel qui serait un neveu de Paul Biya, le Colonel Melingui ne serait pas du reste, le Colonel Engolo Begang sur sa ligne de mire avec la complicité du MINDEF Alain Edgard Mette Ngo’o dont la sympathie envers le DSP ne souffrirait d'aucune contestation. Le Général Amougou chef d'Etat-major particulier du PRC serait-il un caillou dans leurs chaussures?
Au moment où l'on parle, le Général Ivo Desancio aurait désolidarisé Paul Biya de tous les officiers Bulu de la DSP en dehors du Colonel Engolo. Ce qui pourrait être un gros risque pour le Chef de l’Etat. Sa tactique de réversion consisterait à vous commissionner hors du Palais tout en restant avec votre badge. Après que vous ayez franchi le portail du Palais, il passe un coup de fil aux éléments postés au portail pour interdire toute entrée des personnes non détentrice de leur badge quelque soit le grade. Beaucoup de personnels de la présidence auront perdu leur poste de cette manière, nous pensons à un certain Ottou Jean Louis en service au cabinet civil mais qui a perdu son travail dans les mêmes conditions. Ceux des officiers retenus par le Générai Ivo pour rester aux côtés du Chef de l'Etat n'auraient pas de diplômes militaire et contempleraient et le Général Ivo Desancio dans la naïveté et ses détournements de derniers publics à la DSP.