Présidence de la République: Ferdinand Ngoh Ngoh dans la ligne de mire des «Marafistes»
Yaoundé, 22 Juillet 2013
© La Nouvelle
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Ferdinand Ngoh Ngoh, ci-devant Secrétaire Général de la présidence de la République, est depuis un certain temps, mangé dans toutes les sauces épicées d'une certaine presse.
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Le moins que l'on puisse dire, c'est que Ferdinand Ngoh Ngoh, ci-devant Secrétaire Général de la présidence de la République, est depuis un certain temps, mangé dans toutes les sauces épicées d'une certaine presse.
Le moins que l'on puisse dire, c'est
que Ferdinand Ngoh Ngoh, ci-devant Secrétaire Général de la présidence
de la République, est depuis un certain temps, mangé dans toutes les
sauces épicées d'une certaine presse. Depuis qu'il est en poste depuis
le 9 décembre 2011 alors qu'il n'était qu'un jeune commis de l'Etat
discret, il n'a jamais autant fait l'objet de tant d'attaques au point
où pour cette presse là, il est devenu un «caillou dans la chaussure de
Paul Biya». Un temps, c'est lui qui, de par sa position, placerait ses
«frères du village», la Haute Sanaga, aux hautes fonctions de
l'administration, - allusion faite aux nominations du Dg de l'Armp
(Joseph Ngo): du Dg de l'Enam (Linus Toussaint Mendjana; du Dg du Budget
(Antoine Félix Samba). C'est encore lui qui est accusé de bloquer le
démarrage des travaux de l'autoroute Douala-Yaoundé.
Toujours selon les mêmes médias, c'est Ferdinand Ngoh Ngoh qui est derrière la mise sous mandat de dépôt de Iya Mohammed dans le sombre dessein de le voir évincé de la Fécafoot. En tout cas, cela commence à faire beaucoup de bruit au point où on voit sa main derrière chaque acte du Chef de l'Etat, subitement comme si ce dernier était frappé d'amnésie au point d'abandonner ses prérogatives à son proche collaborateur. Et pourtant, Ferdinand Ngoh Ngoh, sans faire dans du tape-à-l'œil, privilégie les résultats à toute autre chose, en suivant à la lettre les instructions du Président de la République. On a pu le constater dans la gestion de l'affaire des 9 étudiants de Master professionnel en relations publiques de l’Iric où l'éthique et la transparence ont prévalu au détriment du népotisme qui transparaissait derrière cette affaire.
En tout cas, sauf mauvaise foi, Ferdinand Ngoh Ngoh tient la barque et à cet effet, continue de bénéficier de la confiance du Chef de l'Etat. Ceci s'est fait remarquer dans la gestion de la libération des otages français de la famille Moulin Fournier où, aux côtés du Chef de l'Etat et dans la discrétion totale, l'opération a été conduite jusqu'à son dénouement heureux, sans triomphalisme aucun. C'est d'ailleurs avec la même discrétion qu'il aura géré la triste affaire des crimes rituels de Mimboman jusqu'à son terme, avec une présence motivante des forces de l'ordre sur le terrain.
Enfin, sans être exhaustif, l'on devrait lui reconnaître la reprise en main du dossier Camair-Co grâce à la bonne information portée au Président de la République, qui a décidé de la nomination des nouveaux hommes au Conseil d'administration et à la Direction générale adjointe. Ce qui laisse profiler à l'horizon, des lendemains pour une compagnie subitement devenue un gouffre à sous pour les caisses de l'Etat. Est-ce pour ses faits d'armes remarquables et bien d'autres que le Sg se trouve aujourd'hui dans la ligne de mire des francs-tireurs à la solde des lobbies que certains observateurs disent appartenir à la «Marafa Connexion», décidée à déstabiliser le magistère de Paul Biya après les arrestations de leurs gourous Marafa Hamidou Yaya et celle plus récente de Iya Mohammed? Beaucoup n'hésitent pas de répondre par l'affirmative. Nous y reviendrons.
Toujours selon les mêmes médias, c'est Ferdinand Ngoh Ngoh qui est derrière la mise sous mandat de dépôt de Iya Mohammed dans le sombre dessein de le voir évincé de la Fécafoot. En tout cas, cela commence à faire beaucoup de bruit au point où on voit sa main derrière chaque acte du Chef de l'Etat, subitement comme si ce dernier était frappé d'amnésie au point d'abandonner ses prérogatives à son proche collaborateur. Et pourtant, Ferdinand Ngoh Ngoh, sans faire dans du tape-à-l'œil, privilégie les résultats à toute autre chose, en suivant à la lettre les instructions du Président de la République. On a pu le constater dans la gestion de l'affaire des 9 étudiants de Master professionnel en relations publiques de l’Iric où l'éthique et la transparence ont prévalu au détriment du népotisme qui transparaissait derrière cette affaire.
En tout cas, sauf mauvaise foi, Ferdinand Ngoh Ngoh tient la barque et à cet effet, continue de bénéficier de la confiance du Chef de l'Etat. Ceci s'est fait remarquer dans la gestion de la libération des otages français de la famille Moulin Fournier où, aux côtés du Chef de l'Etat et dans la discrétion totale, l'opération a été conduite jusqu'à son dénouement heureux, sans triomphalisme aucun. C'est d'ailleurs avec la même discrétion qu'il aura géré la triste affaire des crimes rituels de Mimboman jusqu'à son terme, avec une présence motivante des forces de l'ordre sur le terrain.
Enfin, sans être exhaustif, l'on devrait lui reconnaître la reprise en main du dossier Camair-Co grâce à la bonne information portée au Président de la République, qui a décidé de la nomination des nouveaux hommes au Conseil d'administration et à la Direction générale adjointe. Ce qui laisse profiler à l'horizon, des lendemains pour une compagnie subitement devenue un gouffre à sous pour les caisses de l'Etat. Est-ce pour ses faits d'armes remarquables et bien d'autres que le Sg se trouve aujourd'hui dans la ligne de mire des francs-tireurs à la solde des lobbies que certains observateurs disent appartenir à la «Marafa Connexion», décidée à déstabiliser le magistère de Paul Biya après les arrestations de leurs gourous Marafa Hamidou Yaya et celle plus récente de Iya Mohammed? Beaucoup n'hésitent pas de répondre par l'affirmative. Nous y reviendrons.