Positionnement politique: Fritz Ngo sollicite un poste ministériel
Douala - 02 Novembre 2011
© Joseph OLINGA | Le Messager
«Refus de la violence postélectorale au Cameroun». C'est sous ce credo que Pierre Fritz Ngo, président du Mouvement des écologistes camerounais (Mec) a orienté sa communication politique hier mardi 1er novembre 2011 à Douala. Le candidat du Mouvement écologiste camerounais à la présidentielle du 9 octobre 2011 entonne lui aussi le chant de la paix.
«Refus de la violence postélectorale au Cameroun». C'est sous ce credo que Pierre Fritz Ngo, président du Mouvement des écologistes camerounais (Mec) a orienté sa communication politique hier mardi 1er novembre 2011 à Douala. Au cours du point de presse organisé au siège de ce parti à Akwa, Pierre Fritz Ngo a rendu publique la position officielle de cette formation politique sur l'ensemble du processus électoral.
Au terme de «l'élection présidentielle dont les résultats ont été proclamés en toute transparence par le Conseil constitutionnel, considérant que les résultats sont connus de tous, considérant que le peuple a voté librement dans le calme et la sérénité, considérant l'évolution graduelle de notre démocratie et le sens élevé de responsabilité que prône le président Paul Biya pour garantir la paix, la stabilité et l'épanouissement de tous les citoyens, il faut respecter le verdict des urnes». C'est pourquoi le Mec appelle au refus de la violence postélectorale pour que «le Cameroun, terre d'espoir, soit préservé par le comportement républicain qui rend possible la survie, et une coexistence pacifique de toutes les composantes de la nation. La paix, gage du développement, n'a pas de prix».
Le président des verts invite les Camerounais à s'interroger sur les cas de la Libye, de la Somalie, de la Côte d'Ivoire ou du Liberia. «Les conséquences d'une guerre ont un impact négatif sur la psychologie de plusieurs générations, sur l'environnement, sur la biodiversité ainsi que la détérioration des ressources naturelles». Interrogé sur ses ambitions politiques, Pierre Fritz Ngo avoue lorgner un poste ministériel. «Le gouvernement doit être d'union nationale avec toutes les sensibilités en son sein. Je suis prêt à servir la nation comme tout autre digne fils si je suis appelé aux affaires, car je suis solidaire de la politique menée par l'actuel chef de l'État».
Une attitude qui ne surprend guère, car lors de la célébration du 12è anniversaire du Mec, le président des écologistes avait jeté son dévolu sur la 4è place de la présidentielles 2011. «Je n'ai pas voulu être 4è, mais figurer parmi les quatre premiers. L'élection est comme les jeux olympiques, l'essentiel étant de participer et de s'en sortir avec un score honorable. Nous connaissons nos forces et faiblesses. Tous les autres candidats qui se sont bombés le torse en disant qu'ils vont gagner ont mordu la poussière. Il faut être réaliste. Si je peux apporter un plus dans la gestion de mon pays, je serai toujours disponible. Dans tous les pays du monde, les partis écologistes accompagnent l'action gouvernementale et assistent le chef de l'Etat dans l'implémentation de la politique environnementale. Pourquoi pas le Cameroun?».
En attendant, les regards des acteurs politiques qui rêvent tous d'un destin ministériel sont orientés vers la prestation de serment de Paul Biya jeudi 3 novembre 2011.
© Joseph OLINGA | Le Messager
«Refus de la violence postélectorale au Cameroun». C'est sous ce credo que Pierre Fritz Ngo, président du Mouvement des écologistes camerounais (Mec) a orienté sa communication politique hier mardi 1er novembre 2011 à Douala. Le candidat du Mouvement écologiste camerounais à la présidentielle du 9 octobre 2011 entonne lui aussi le chant de la paix.
«Refus de la violence postélectorale au Cameroun». C'est sous ce credo que Pierre Fritz Ngo, président du Mouvement des écologistes camerounais (Mec) a orienté sa communication politique hier mardi 1er novembre 2011 à Douala. Au cours du point de presse organisé au siège de ce parti à Akwa, Pierre Fritz Ngo a rendu publique la position officielle de cette formation politique sur l'ensemble du processus électoral.
Au terme de «l'élection présidentielle dont les résultats ont été proclamés en toute transparence par le Conseil constitutionnel, considérant que les résultats sont connus de tous, considérant que le peuple a voté librement dans le calme et la sérénité, considérant l'évolution graduelle de notre démocratie et le sens élevé de responsabilité que prône le président Paul Biya pour garantir la paix, la stabilité et l'épanouissement de tous les citoyens, il faut respecter le verdict des urnes». C'est pourquoi le Mec appelle au refus de la violence postélectorale pour que «le Cameroun, terre d'espoir, soit préservé par le comportement républicain qui rend possible la survie, et une coexistence pacifique de toutes les composantes de la nation. La paix, gage du développement, n'a pas de prix».
Le président des verts invite les Camerounais à s'interroger sur les cas de la Libye, de la Somalie, de la Côte d'Ivoire ou du Liberia. «Les conséquences d'une guerre ont un impact négatif sur la psychologie de plusieurs générations, sur l'environnement, sur la biodiversité ainsi que la détérioration des ressources naturelles». Interrogé sur ses ambitions politiques, Pierre Fritz Ngo avoue lorgner un poste ministériel. «Le gouvernement doit être d'union nationale avec toutes les sensibilités en son sein. Je suis prêt à servir la nation comme tout autre digne fils si je suis appelé aux affaires, car je suis solidaire de la politique menée par l'actuel chef de l'État».
Une attitude qui ne surprend guère, car lors de la célébration du 12è anniversaire du Mec, le président des écologistes avait jeté son dévolu sur la 4è place de la présidentielles 2011. «Je n'ai pas voulu être 4è, mais figurer parmi les quatre premiers. L'élection est comme les jeux olympiques, l'essentiel étant de participer et de s'en sortir avec un score honorable. Nous connaissons nos forces et faiblesses. Tous les autres candidats qui se sont bombés le torse en disant qu'ils vont gagner ont mordu la poussière. Il faut être réaliste. Si je peux apporter un plus dans la gestion de mon pays, je serai toujours disponible. Dans tous les pays du monde, les partis écologistes accompagnent l'action gouvernementale et assistent le chef de l'Etat dans l'implémentation de la politique environnementale. Pourquoi pas le Cameroun?».
En attendant, les regards des acteurs politiques qui rêvent tous d'un destin ministériel sont orientés vers la prestation de serment de Paul Biya jeudi 3 novembre 2011.