Pédophilie: Un instituteur viole une élève de 9 ans
Yaoundé, 19 Novembre 2012
© JEAN EMMANUEL MANGA | L'Anecdote
Le film macabre s'est déroulé à Afan-oyoa, petite bourgade de l'arrondissement de Yaoundé 3ème. La petite Amombo Etong Jeanne Ivana élève en classe au CMII à l'école catholique St François d'Assise dudit village a subi 2 années durant les viols à répétition de Abomo Ngono Materne Rameau son ex-enseignant de C E II.
© JEAN EMMANUEL MANGA | L'Anecdote
Le film macabre s'est déroulé à Afan-oyoa, petite bourgade de l'arrondissement de Yaoundé 3ème. La petite Amombo Etong Jeanne Ivana élève en classe au CMII à l'école catholique St François d'Assise dudit village a subi 2 années durant les viols à répétition de Abomo Ngono Materne Rameau son ex-enseignant de C E II.
C’est presque tout un village qui
s'est retrouvé dans la consternation et la stupéfaction jeudi dernier à
Afan-oyoa. Les raisons de cet atermoiement étaient bien précises. La
petite Amombo Etong Jeanne Ivana venait de lâcher le morceau comme un
couperet: «Oui monsieur Abomo m'enferme souvent dans sa maison et comme
ça je ne pars pas à l'école.» Des sources proches de la direction de
l'école catholique St François D'Assise, le stratagème qui a duré 2
années est découvert de ce que la petite élève avait déjà passé 2
journées sans se présenter en classe. Une absence non justifiée qui va
commencer à inquiéter le Directeur et non moins enseignant de l'
«illustre» absente. Au sortir des classes du 2ème jour, Monsieur le
Directeur se rendra au domicile des parents de sa meilleure élève pour
s'enquérir de la situation de cette dernière.
Il l'a retrouvera assise auprès de sa maman qu’il réprimandera sans ménagement. «Comment pouvez-vous empêcher un enfant de classe d'examen de venir à l'école pendant 2 jours sans même aviser les enseignants?». La maman d'abord éperdue, va expliquer au Directeur que sa fille «sort de la maison tous les jours pour aller à l'école.» Avant de préciser qu'elle en sort d'ailleurs, elle «vient juste d'enlever son uniforme.» La petite, témoin de la discussion, va fondre en sanglots et révéler après une bonne heure de menaces qu'elle était plutôt «dans la maison de monsieur Abomo, c'est lui qui a refusé que je vienne à l'école depuis hier. Il a commencé ça quand il m'enseignait au CEP». La famille de la victime qu'accompagnait le Directeur va se rendre chez le maître pédophile qui sans résistance va passer aux aveux en expliquant que cette fille est son «amante depuis 2 ans» sous le regard hagard de la foule qui commençait à s'amasser devant son domicile. Les villageois en colère se sont instantanément saisis de cet imposteur pour lui régler son compte. Il n'aura la vie sauve que grâce à la subtilité et le respect que les populations vouent au Directeur qui est de surcroît son oncle. Dans la foulée, l'instituteur violeur va fondre dans la nature avant même que sa radiation de l'école ne soit prononcée.
On dit aussi que l'homme ne serait pas à son premier forfait, la fille de son oncle de Directeur avait aussi subit ses affres, mais le directeur avait tu le problème en se limitant simplement à l'exclure de sa maison. Ce énième cas de viol revient mettre au goût du jour la qualité des recrutements des personnels enseignants dans les établissements concessionnaires au Cameroun.
En attendant l'affaire qui est désormais confiée à la justice, le maître violeur a envoyé ses frères déménager nuitamment ses effets à Afan-oyoa, mais c'était sans compter sur la vivacité et la vigilance des populations de ce coin de la cité capitale. Ils ont été arrêtés, copieusement tabassés et conduits à la brigade de gendarmerie d'Efoulan où l'enquête suit son cours. Une plainte a été déposé contre cet enseignant en fuite et la famille de la victime entend aller jusqu'au bout pour livrer ce psychopathe entre les mailles de la Justice. La petite quant à elle a été conduite dans un centre hospitalier de la place pour y subir des examens médicaux.
s'enquérir de la situation de cette dernière.
Il l'a retrouvera assise auprès de sa maman qu’il réprimandera sans ménagement. «Comment pouvez-vous empêcher un enfant de classe d'examen de venir à l'école pendant 2 jours sans même aviser les enseignants?». La maman d'abord éperdue, va expliquer au Directeur que sa fille «sort de la maison tous les jours pour aller à l'école.» Avant de préciser qu'elle en sort d'ailleurs, elle «vient juste d'enlever son uniforme.» La petite, témoin de la discussion, va fondre en sanglots et révéler après une bonne heure de menaces qu'elle était plutôt «dans la maison de monsieur Abomo, c'est lui qui a refusé que je vienne à l'école depuis hier. Il a commencé ça quand il m'enseignait au CEP». La famille de la victime qu'accompagnait le Directeur va se rendre chez le maître pédophile qui sans résistance va passer aux aveux en expliquant que cette fille est son «amante depuis 2 ans» sous le regard hagard de la foule qui commençait à s'amasser devant son domicile. Les villageois en colère se sont instantanément saisis de cet imposteur pour lui régler son compte. Il n'aura la vie sauve que grâce à la subtilité et le respect que les populations vouent au Directeur qui est de surcroît son oncle. Dans la foulée, l'instituteur violeur va fondre dans la nature avant même que sa radiation de l'école ne soit prononcée.
On dit aussi que l'homme ne serait pas à son premier forfait, la fille de son oncle de Directeur avait aussi subit ses affres, mais le directeur avait tu le problème en se limitant simplement à l'exclure de sa maison. Ce énième cas de viol revient mettre au goût du jour la qualité des recrutements des personnels enseignants dans les établissements concessionnaires au Cameroun.
En attendant l'affaire qui est désormais confiée à la justice, le maître violeur a envoyé ses frères déménager nuitamment ses effets à Afan-oyoa, mais c'était sans compter sur la vivacité et la vigilance des populations de ce coin de la cité capitale. Ils ont été arrêtés, copieusement tabassés et conduits à la brigade de gendarmerie d'Efoulan où l'enquête suit son cours. Une plainte a été déposé contre cet enseignant en fuite et la famille de la victime entend aller jusqu'au bout pour livrer ce psychopathe entre les mailles de la Justice. La petite quant à elle a été conduite dans un centre hospitalier de la place pour y subir des examens médicaux.