A l'analyse des faits et vu son caractère indescriptible sur tout ce qui se passe en Afrique et même dans son pays, le Chef de l'État Camerounais risque d'être une victime politique, de François Hollande.Des inquiétudes taraudent les esprits des Camerounais sur les actions de la secte Boko Haram qui traverse désormais les frontières. Ceci non sans raison dans la mesure où les touristes français arrêtés par les membres de cette secte se trouvaient sur le Sol camerounais. Certains observateurs voient derrière ces actes, une attaque montée de toute pièce par les pays Occidentaux qui digéraient mal la longévité de Paul Biya au pouvoir. D'où la grande interrogation pour tenter de comprendre si le Président de la République longtemps resté au pouvoir, ne serait pas la cible visée par les uns et les autres tapis dans l'ombre? Telles sont les inquiétudes des Camerounais quant à la menace qui pèse sur leur stabilité. Parmi tous les pays frontaliers au Nigeria, le Cameroun est celui qui l'entoure sur tous les fronts. Au Nord, à l'Extrême-nord, dans l'Adamaoua, au Sud-ouest, et dans le Nord-ouest.
A y regarder de plus près, aucune synergie véritable n'existerait dans les actions des trois Chefs de l'Etats, français, nigérian et camerounais. En plus une certaine complicité existerait entre les deux premiers pour faire partir le troisième de son pouvoir vieux de 31 ans. Le Chef de l'Etat devrait multiplier un maximum de ruse dans cette affaire d'otages français qui risquerait de lui coûter son poste.
VOICI POURQUOI
ET SI LA SECTE BOKO HARAM ÉTAIT UN MERCENAIRE POUR FAIRE PARTIR BIYA DU POUVOIR?
Vraisemblablement l'hypothèse peut être vraie si l'on s'en tient aux mouvements diplomatiques et internationaux de ces derniers temps. En effet, pendant que la guerre se déroule au Mali entre la France, les forces maliennes et les soldats venus de certains pays africains, contre l'AQMI un groupe terroriste, les forces terroristes nigérianes se préparent à déstabiliser le Cameroun en comptant sur la France et certains citoyens Camerounais à la solde des organisations internationales. Des situations qui n'augurent pas des lendemains meilleurs pour le Cameroun si des mesures drastiques ne sont pas prises dès cet instant.