Nouvelle réaction du Pr. Chief Pierre Mila Assouté sur le crash du boeing de la Camair avec en pièces jointes tous les jutificatifs y afférents

Cameroun : Nouvelle réaction du Pr. Chief Pierre Mila Assouté sur le crash du boeing de la Camair avec en pièces jointes tous les jutificatifs y afférentsQU’ILS ARRETENT DE SE CACHER DERRIERE DES JOURNALISTES POUR PARLER. CONFIONS L’AFFAIRE AU FOND A UN JUGE D’INSTRUCTION ET A LA BRIGADE DES ENQUETES ECONOMIQUES EN FRANCE. ARRETONS DE BAVARDER.

la vérité est luminescence. Elle sublime toujours le boisseau.  Mr Joseph-Janvier MVOTO Obonou dans un rôle trouble  à « Cameroon Tribune », journal officiel de l’Etat, semble parler par procuration au nom des accusés dans l'affaire du crash du Boeing 737-200, le « nyong », en 1995; du détournement des fonds objet du procès arbitral et, de la corruption du contrat de maintenance des aéronefs de la Camair de 1994 à 1998.

Remettre en cause le montant de 40 milliards obtenus de SAA pour dire sans preuve qu'il est de 14 milliards de francs Cfa est factice. En tout état de cause l’argent querellé est parvenu sur un compte parisien suspect, au 29 boulevard Hausmann, ouvert au nom de l’Etat du Cameroun par un individu, Fouman Akame Jean qui le gère sous sa seule signature . La mission d'un Conseiller juridique n'est pas de garder ni de gérer l’argent du Cameroun.

Que ce compte suspect soit ouvert sur instruction du secrétaire général de la présidence ne dédouane pas le conseiller juridique d’un chef d’Etat, magistrat hors  échelle, conscient à ses côtés de l’illégalité d’un tel acte. Il aurait dû l’en dissuader... Or il s’est empressé d’ouvrir ledit compte et s’en est servi à cœur joie... 

Sans discontinuer, il a joui des libéralités de gestion en ordonnant des décaissements et des mouvements de fonds publics, par tranches de milliards, seul et avec sa seule signature sans être ni percepteur, ni Ministre des Finances. Cela est prouvé.

La presse n’est pas hélas un tribunal où le journaliste adjuge de la bonne gestion avec "honnêteté et intégrité". Le loyalisme et l'intendance criminelle sur ce cas sont eux, plus que probants: *un compte bancaire est clandestinement ouvert au nom d’un Etat, fourni financièrement et géré en secret, par loyauté et complicité de recel de biens sociaux, oui!

Si Jésus a marché sur l’eau pour la traversée du Jourdain, c’est parce qu’il était fils de Dieu, le saint esprit.  Il est difficile à des humains impies, même transportés sur le dos des journalistes généreux, affairistes ou instrumentalisés, de marcher sans heurts sur les eaux rouge de sang d’hommes et de femmes ayant tragiquement quitté la vie dans un avion et dont les indemnisations sont spoliées. La zone à passer est sismique, le Cameroun attend des comptes et l'ensevelissement des dérives morales et éthiques, la condamnation à jamais du paroxysme du mal. Une compassion nationale hypocrite, éponyme d’écran de fumée à l’enrichissement illicite des crapules sur les cadavres est une abomination.

La conscience collective crie en silence en appellent aux pouvoirs immanents réparateurs du mal...la repentance aux victimes et la réparation seraient la meilleure solution, la porte de sortie, à l’affrontement ou aux faux-fuyants que l'on brandit…

L’exorcisme journalistique de Monsieur Joseph-Janvier MVOTO Obounou, dans « Cameroon Tribune » pour absoudre un crime n’a de noblesse cognitive et d’épigone théologal d’un « métier noble » que celle d'un mercenariat pontifical blasphématoire où Satan serait Dieu. C’est toujours la même jactance ex cathedra en accordéon, qui est servie en colchicine à l’opinion avec au menu, des tutti quanti dogmatiques sans preuves !

De son cabinet de directeur au ministère de la communication, tout à côté de lui officie pénard, un cierge allumé en prière pour échapper au juge, un  corrompu : son ministre Issa Tchiroma. Sa prévarication est établie. Passer sous silence un « fait avoué » si proche de soi pour monter sur un pylône et nous instruire du haut de son  échelle du sérieux de gestion aux cimes de la présidence, procède à revêtir de saint, un diable incarné, une habile escroquerie cachés dans une haute institution transformée par des mécréants, en siège de l’incarnation du mal, du vampirisme financier de la Nation et de l’incantation judiciaire. S’il y a bien un honneur à "cesser de jeter aux chiens", ce n'est pas l'honneur chevaleresque des crapules défendus en ce lieu-là.

Il est pénible de lire la célébration de l’ignominie d’un magistrat hors échelle par un journaliste hors échelle. Le chameau a un trop long coup hélas, pour être volé dans un marché aux puces et caché dans un sac !

A-Sur les demandes d’indemnisations des victimes du crash

Là aussi il n’y a nul besoin de consulter des experts pour savoir que le voyageur, y compris celui du transport terrestre, est couvert par une assurance… C’est de l’information générique...

Le cas de l’indemnisation des 71 victimes ressort d'une action d’indemnisation exceptionnelle, dictée par une circonstance particulière sans lien avec l'indemnisation d’assurance traditionnelle. Il est établi qu’une action d’indemnisation a été favorablement introduite par l’Etat du Cameroun à la Cour arbitrale de Paris et Londres contre la SAA  rendue responsable comme l’indique la lettre ci-jointe de la présidence de la République, des 2 accidents d’avion survenus du fait des manquements contractuels…lisez la, Mr MVOTO, au dernier paragraphe.

Il n' y a pas lieu au terme d’une telle action d’opposer aux réparations de l’assurance « Chanas » qui aurait indemnisé les victimes du crash - il n’est pas encore prouvé que c'est d'ailleurs le cas - celles d'une manne qui leur tombe d'un avenant procédural. Justifier la confiscation de l’argent obtenu aussi aux noms des morts de cet accident est un faux-fuyant. Les dividendes de cette réparation reviennent également aux ayants droit du crash indemnisé et pas seulement à l’Etat présenté comme actionnaire unique d’une Camair qui en est morte! Pire encore lorsque des parts de ce bien public se confondent au patrimoine privé des mandataires en ignorant les principales victimes !

Quel crédit donner à une investigation dite professionnelle qui curieusement met sous le boisseau des sommes d’argent versées sous cape à des tiers dans la même affaire : 100 millions environ à chacun, octroyés gracieusement à des fonctionnaires qui sont payés pour faire leur boulot : Hegbe Hilmmann , Pauline Christine Ngo Mandeng, Amadou Ali, pour ne citer que ceux-là…

B-Sur le paiement dû à ATT et sa personnalité juridique

Mr. Joseph-Janvier Mvoto Obounou dans son article dit : « *Suite aux difficultés survenues dans l'exécution d'un contrat initial de maintenance des aéronefs de la CAMAIR par la partie française, un nouveau contrat a été signé avec la Transnet South African Airways par l'entremise de la Société ATT basée à Beyrouth, ayant pour Président Monsieur Mila Assouté et pour membres les sieurs Fouad et Marnier ».*

La mauvaise foi est manifeste. Il y a une tentative de réparer un reniement initial de Fouman Akame Jean. Il est question de coller à un acte spoliant une apparence de vrai. Or jamais auparavant il n’a reconnu avoir reçu un mandat délivré par Mila Assouté. Il n'a jamais reconnu non plus une quelconque responsabilité de Mila Assouté dans ATT, ni au Liban, ni au Cameroun. « l'unique interlocuteur et cocontractant qu'il a toujours brandi est ATT du Libanais, basé au Liban, Fouad Srouji ».

Mila Assouté Président de ATT au Liban! c'est nouveau... Cela suffira t-il à justifier le virement suspect de Monaco? Le soucis de continuer de nier la légalité (elle est notarié) du transfert des Etablissements ATT du Liban et sa transformation en société à Yaoundé depuis 1997, longtemps avant le procès arbitral est manifeste. Les actes d’officiers ministériels sont authentiques jusqu’à inscription de faux. L'invocation de l’absence d’un procès-verbal des actionnaires autorisant le transfert du siège de ATT à Yaoundé, créancier de l’Etat, pour justifier le refus d’un débiteur de payer sa dette est tout simplement étrange en droit, pour ne pas en dire plus !

La plaidoirie de Fouman Akame Jean et son neveu l'avocat Engono Essame, sur l'intrusion de Mila Assouté dans ATT au Liban est prise en défaut dans Cameroon Tribune… Les juges français de l’exécution auraient dû être journalistes dans cet organe de presse officiel camerounais, pour en apprendre des prétentions frauduleuses prêtées à une ATT et son gérant Mila Assouté qui n'avait rien à voir avec ATT au Liban où résidait jusque-là l'unique client du comité ad-hoc, dépositaire de ATT au Liban, Mr. Fouad Srouji, bénéficiaire désigné d'un virement à ATT/B ordonné par un « honnête homme »… (*lire une des pages des conclusions ci-jointes*)

Par ailleurs, jamais je n’ai participé ni de près ni de loin, à une signature d’un contrat entre la CAMAIR et SAA, aussi bien  pour le premier que pour le second contrat entre 1994 et 1998. C'est une fiction de l'imagination fertile que de m'attribuer une présidence de ATT au Liban. J’ai hérité légalement, par acquisition de droit,  des actifs des établissements ATT du Liban en novembre 1997, date de ma responsabilité à la tête d’ATT au Cameroun.

Le refus de payer ATT ne résulte donc pas d’une homonymie imaginaire de crapules, ni d'une curieuse tentative de se faire payer 2 fois le même montant, ou encore de l'absence d'un procès-verbal de transfert du siège social à Yaoundé comme il est prétendu, mais simplement parce que son gérant Mila Assouté est devenu « un serpent d’opposant », Amadou Ali dixit . ATT/B, bénéficiaire du virement du compte bancaire n°6268080 de Monaco n'a aucune personnalité juridique opposable à l’unique ATT qui existe: une fiction criminelle, préméditée par leurs auteurs et complices.

L’origine d’ATT et sa mutation juridique.

L’acquisition des établissements ATT du Liban s’est faite par devant notaire au Cameroun à l' étude de Me Mvondo, en novembre 1997 à Yaoundé. Elle est inscrite au régistre de commerce du Cameroun. A l’origine ATT était un commerce individuel basé à Beyrouth, propriété de Fouad Srouji et de son frère Kamal Abdel Kader Srouji. Ils ont servi entre 1994-1997 de lien entre la CAMAIR et SAA.

L’acquisition de ATT et son siège transféré à Yaoundé

Les actes notariés prouvent la transformation d’icelle en société dont le siège est à Yaoundé.(*copie*). La première mission du comité ad-hoc que j’ai amenée à Johannesburg à mes frais, pour le déclenchement de cette affaire, a eu lieu en 1999. J'ai pris part également en l’an 2000 à Paris, à la préparation de l’instruction du procès arbitral de Paris qui s'est achevé à Londres, pour m'entendre dire sans scrupules au moment de payer, que l'on a traité avec une autre ATT...(*copie de l’ordre de mission signée par Marafa*).

La transformation de ATT en société au Cameroun en 1998 et son paiement sont prouvés. Un huissier de justice Camerounais mandaté, Me Emmanuel NGUES TEGEL représentait l’autre actionnaire chez le notaire. De quel procès-verbal de transfert de siège peut-on se prévaloir - c’est d’ailleurs nouveau - pour arguer du refus de payer une dette qui est due?

La découverte de la corruption soumise à Paul BIYA en 1998, à l'origine du procès, ne relève t-elle pas de cette acquisition? Une plainte pénale contre les responsables de SAA déposée à Yaoundé par ATT dont le siège est au Cameroun a dû être retirée en 1999 au profit de la procédure arbitrale ! (*convocation des responsables de ATT ci-jointe*)

Le montant versé par SAA

Une déclamation ne suffit pas pour convaincre du montant reçu. Seule la traçabilité du transfert des fonds allégués dans les caisses de l’Etat  lèvera la récurrente jactance des accusés. Cameroun Tribune, journal officiel, ne convaincra pas l'opinion de croire religieusement à la sainte bible et ses versets déistes d’un "journalisme éthique" qui propage au passage insidieusement sans scrupules que « Mila Assouté a voulu se faire payer 2 fois" sans le prouver ni même offrir de le faire...

Une investigation journalistique contradictoire motivée par la recherche de la vérité, soucieuse des faits probants, aurait évité de tomber de si haut pour flirter avec la violation des exigences du code pénal.

C -Sur la revendication d’un paiement une deuxième fois

Mr. Joseph-Janvier MVOTO Obounou dit à l’opinion : « *C'est dans cette logique que l'Etat du Cameroun a versé à la société ATT les 10% correspondant à des frais de commission sur le total du montant sus évoqué, montant déchargé par Monsieur Fouad, sur la base d'un mandat régulier signé de Mila Assouté, président de cette société .

Je n’ai jamais été payé ni une fois ni voulu me payer faire deux fois ! Une affabulation vexatoire, tellement injuste et crapuleuse ! Un virement est exécuté en faveur d'une nébuleuse ATT/B à Monaco et non pas à l’unique ATT qui existe juridiquement comme cela aurait dû l’être. Le virement en question n’est pas reconnu par son bénéficiaire désigné. Le serait-il finalement ordonné au profit de Mila Assouté et ATT Liban  en exécution d’un mandat légal émis de lui, parce que Fouad Srouji ne le reconnait pas?… Ledit mandat gagnerait à être produit.

Fouad Srouji a reçu mandat le 9 juin 2001 pour représenter l'unique ATT dont le siège est à Yaoundé. Lequel mandat fut déchargé au bureau de Fouman Akame Jean en bonne et due forme. (*pièce à conviction*). Le contenu est clair, précis et sans équivoque. Il ne stipule nulle part la possibilité de payer à un tiers ce qui est du à ATT.

Il n'est plus besoin de prouver que, dans un AFFIDAVIT sous serment judiciaire en Afrique du Sud, où il est poursuivi pour escroquerie et abus de confiance par ATT, Fouad ne reconnaît pas le paiement dont parle Mr Fouman Akme à Monaco. Il lui revient donc d'expliquer qui est ATT/B logé à la BNP/PARISBAS de Monaco, et dévoiler preuve à l’appui, le nom du bénéficiaire physique de son virement, au lieu de se défausser sur une prétendue présidence de ATT de Mila au Liban, parce que le rapport de son comité ad-hoc, produit ici, prouve qu'il ne pouvait pas ignorer mon niveau de responsabilité dans la seule ATT avec laquelle il a contracté au moment d'ordonner son virement de Monaco.

D-Une preuve de malhonnêteté.

L’homme dont l’honnêteté, l’intégrité, la virtuosité et le parcours prestigieux n’inspirent que respect à Mr Mvoto Obounou, fait de la peine aux autres. Il n’a jamais reconnu une seule fois avoir traité avec une société ATT dont Mila Assouté serait Président, ni au Liban ni au Cameroun... Son compte bancaire à la SGBC de l'avenue Waggram à Paris s’est pourtant enrichi sans cause de mon argent, de celui de ATT et celui de mon fils pour ledit contrat !!! A chacun de trouver le qualificatif pénal qui convient à ces honnêtes gens là, dont les honneurs ne seraient pas à jeter  aux chiens...

Mr. Fouman Akame Jean et ses avocats sont dans le déni. Ils ont juré au juge français, la main sur le cœur, n’avoir jamais pris un contrat avec ATT dont je serais  Président, ni reçu copie de mandat exécutable... L’intention criminelle est ici caractérisée au regard du récit du journal officiel.

« Cameroon Tribune » avait déjà publié le communiqué conjoint de Mr Fouman Akame Jean et son neveu d’avocat Engono Essame Georges qui est ici-joint...

E-Sur la saisie indue et abusive de mes 5 millions Cfa au Cameroun

Par un jugement d’instance avant dire droit du juge de l’exécution de Paris ci-joint, la société ATT et non pas Mr. Mila Assouté, comme il est raconté par "ses journalistes mercenaires", fut condamnée en première instance à payer une amende et des dommages et intérêts à l'Etat du Cameroun et son ambassade en France, correspondant à la somme de 49.000.000 Cfa environ, pour procédure abusive et diffamation dans la presse… (*Pièces à conviction*) Ce jugement du juge de l’exécution est infirmé par un jugement d’appel le 29 Avril 2008 ci-joint, annulant tout dommage à l'égard de l'Etat tout en retenant une condamnation de 20.000 euros au profit de l'ambassade du Cameroun en France, pour les dommages causés par la saisie non autorisée de son compte de fonctionnement couvert par une immunité à la SGBC de la plaine Saint Denis, alors que ATT n'était autorisé qu'à saisir un compte précis de l'Etat au boulevard Haussmann.

Le patrimoine personnel d’un candidat à l’élection présidentielle au Cameroun, Mila Assouté, 5 millions CFA, sont confisqués abusivement en exécution d’un jugement révoqué, qui du reste aurait été opposable à la société ATT par l'ambassade en France ! il me semblait que la société ATT/B à Monaco où Mr Fouman Akame a pourtant viré l’argent pour le compte ATT aurait été plus solvable avec une adresse facilement identifiable pour une telle saisie, au lieu de courir derrière un « SDF » à Paris !

L'image d’un escroc, d’un criminel à col blanc contraste définitivement de manière indélébile, d'avec les qualités vertueuses prêtées à de tels hommes d’Etat. Il a été surabondamment prouvé ici que Mila Esselem, ATT et moi, avons financé la 1ere mission du comité ad-hoc. L’honnête magistrat-président dudit comité a nié tout lien contractuel avec ATT malgré tout ! Il n’a pourtant jamais restitué à son légitime propriétaire cette somme d’argent, plus de dix millions de francs Cfa, si on y ajoute mes frais à moi, du même voyage à Johannesburg dont le fondement est le contrat qui n'est pas payé, à moins de nier comme tout escroc le ferait, l’évidence du virement qui est sur son compte! Il n' y a pas un autre nom en droit à donner à un tel comportement social : *escroquerie*.

"Owona François", journalite poussé par les mêmes signait il y a peu ici que: « sortant de nulle part, Mila Assouté, à maintes reprises condamné en France, revendique un paiement indu… ». Cameroun Tribune au terme d’une « enquête professionnelle », me présente comme « le Président d’une ATT, basée au Liban et payée, mais qui veut curieusement une 2eme fois le même montant ». Qui croire? Quelle honte pour un palais présidentiel ! L’opinion n’est pas dupe.

Le cheval de Troie descendra sur scène pour sauver la fratrie contre un «SDF » de Paris. Mon adresse judiciaire dans ce dossier pour tout procès au fond sur le sujet : Etude Me Gaby Bacri Cohen, 3 rue d’Arcole 75004 Paris ou Etude Me ZEIFFMAN, 28 Ave Georges V, Paris. Je communiquerais davantage d'adresses pour toute plainte, s’il en était besoin…

Les demandes essentielles :

(I)- communiquer preuves à l’appui, le montant reçu de SAA par Foumane Akame Jean et prouver matériellement la traçabilité des milliards encaissés et décaissés sur son compte à Paris

(II)- prouver l’indemnisation des 71 victimes du crash du «Nyong».

(III)- Prouver le paiement des 10% qui sont dus à ATT, signataire de l’accord avec le Cameroun.

A Mr MVOTO Obounou et "Cameroon Tribune" : ce qui vaut pour Marafa Hamidou YAYA en République, le vaut pour Fouman Akame Jean. il faut s’adresser à la justice." ne commentez pas les commentaires". La confusion sur les avions l'Albatros et le « Nyong » du crash que vous attribuez à vos mauvais traitement de vos confrères sera claire au juge pénal. « l’ustensilisation » de la presse pour répondre à leur place, des accusations graves et documentées qu'ils traînent, que ce soit pour 14 milliards ou pour 40 milliard , déposés sur son compte bancaire personnel à Paris, pour ne parler que de cette affaire pour le moment, touchera son épilogue.

© Correspondance de : M’Fon Sanzo, Pr. Pierre Mila Assouté


03/10/2012
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