Mœurs - Affaire Jean Claude Ottou: Un tireur d'élite des tropiques
DOUALA - 04 SEPT. 2012
© Michel Michaut Moussala | Aurore Plus
Au lieu d’adresser son supposé droit de réponse au journal incriminé, il est allé le publier chez certains confrères pour des raisons qu’on connaît. Ces derniers et lui ont violé la déontologie en la matière. Car il aurait fallu que nous refusions de le publier pour qu’il le leur adresse. Yves Michel Fotso et Célestin Tawamba l’ont fait avant lui et on connaît la suite.
Chacun fait de ses fesses ce qu’il veut. Il y en a qui se vengent sur celles des jeunes coiffeuses après avoir subi l’ultime outrage de ses employeurs. Est-ce le cas du très célébrissime Jean Claude Ottou ? Tout porterait à le croire au vu du caractère récidiviste de ses pratiques. Il y a bien des années, au fait de sa gloire éphémère à Mtn, il avait jeté son dévolu sur la nièce à sa femme. Je me souviens alors de nos conversations téléphoniques. Informé mystérieusement de ce que votre Journal enquêtait sur l’affaire, il me supplia longuement de ne pas ébruiter le scandale en faisant état de ses gouts prononcés pour la pédophilie. Il aura tout le mal du monde à faire enterrer cette scabreuse affaire. Néanmoins, l’ancien journaliste est resté aussi vert qu’à ses débuts. Et il a le chic de marchander le silence sur ses forfaits, comme dans le cas cette fois ci de la petite Géraldine qui sans être innocente comme la vierge de Nazareth, s’est battue comme un beau diable pour ne pas se laisser enfourcher par son cheval de client en rut.
Mais le coup de reins devait être plus puissant que celui de Dsk puisque Géraldine s’en tire avec 15 jours d’incapacité. Hier matin, elle était invisible à son lieu de service. Ce n’est pas facile de subir une attaque par la ‘porte arrière’, endroit prisé par notre ex-journaliste. Nafissatou Diallo en sait quelque chose. Apres la bagarre, les talents de diplomates de JCO ont fait le reste. Silence sur toute la ligne du coté de Gladstone qui est un groupe d’institut de beauté, avec la maison mère qui s’occupe des dames et son démembrement de Bonamoussadi à l’immeuble Tsekenis. Quant à ‘Mark Andrew’, rue Tokoto à Bonapriso, le salon s’occupe du Massage des hommes. Jean Claude Ottou a donc multiplié les contacts depuis mardi dernier pour étouffer l’affaire. L’argent y est passé. Les sentiments aussi, d’autant plus que le tireur d’élite peut compter sur ses entrées à Mtn où la propriétaire de Gladstone, « la pierre de joie » en français, peut recevoir des directives de son époux haut cadre dans la boîte. Alors tout se tient.
Même le démenti du professeur de journalisme qui a oublié côté déontologie, ou qui ignore que le premier servi dans le cadre d’un droit de réponse est bien le journal incriminé, qui a publié sa bombe sexuelle. Et non les réseaux sociaux et les confrères qu’il veut entraîner dans ses turpitudes « pistachiques ».Et c’est parce que votre journal s’est toujours trouvé dans sa trajectoire pédophile qu’il peut écrire à juste titre dans son ‘Message à la Presse’: «Aurore Plus et moi, trop c’est trop ! ». Nous sommes bien d’accord avec ce Zorro du matelas qui nous menace de ses foudres. Nous sommes d’accord qu’il ment lorsqu’il prétend n’avoir « jamais entendu parler » de l’établissement Gladstone « avant la lecture de l’article mensonger ». L’époux de la proprio est bien son ex-collègue.!!!
Ottou pleurniche à la première personne, content de l’aubaine que Aurore plus lui offre de s’afficher à la Une. « Mes chers confrères, tout d’abord, je m’interroge sur la fixation que fait ce journal sur ma personne depuis quelques années, plus précisément depuis que j’ai été placé sous la lumière de mes fonctions de Directeur Général Adjoint de l’une des plus grandes entreprises privées du pays ». Nous sommes bien d’accord avec JCO. Nos routes se croisent souvent lorsqu’il dégaine sa braguette comme un Lucky Luke des tropiques. « Je m’interroge sur cet acharnement cousu d’un fil contaminé par ce qu’il y a de plus méprisable chez un individu : la méchanceté gratuite, et l’addiction à nuire à autrui sans raison ». Méprisable aussi ce chaud lapin qui ne peut pas freiner ses impulsions sexuelles et tire sur tout ce qui est fendu. Mais il y a des fruits défendus, ce sont les préférés de Jco.
Quand au «déficit criard de professionnalisme qui semble être la marque de fabrique du journal Aurore Plus», nous continuons a nous demander quels sont les hauts faits d’un journaliste de parti unique qui brillait d’un éclat de parti unique faute de concurrent ? Quels sont les hauts faits de cet ancien directeur général adjoint de Mtn donc le triple saut professionnel pousse à se poser des questions. Etait –il plus qualifié qu’un autre pour passer sans transition de la radio à la Snec et à Mtn ? A-t-il bénéficié d’un coup de bite bien placé ? C’est trop facile d’injurier et de mépriser un opérateur économique, de surcroit promoteur de presse, quand on sait les nombreuses faillites dans ce secteur ou nous tenons le haut du pavé depuis plus de deux décennies. Que sait –il de la gestion d’une entreprise de presse dans un pays sinistré ou le lectorat a perdu les habitudes de lectures au profit des medias audiovisuels ? On peut avoir un derrière intelligent sans pour autant être un cerveau professionnel et managérial. Mais Ottou ne perd rien pour attendre les révélations sur ses vices bilingues. Qu’il continue à se mousser gratuitement à la première personne. Le moi est haïssable, disait Pascal…la pédérastie aussi.
Note de la rédaction (Aurore Plus):
Les racines multiples de la vérité
Les éditorialistes et les journalistes d’opinion, comme Maggie Gallagher ne sont pas neutres. Leur crédibilité s’enracine dans le même souci de l’exactitude, de la vérification et de l’intérêt public qui habitent les autres journalistes. Or, pour citer Maggie Gallagher, c’est «chercher à parler comme si je pouvais convaincre quelqu’un qui n’est pas d’accord avec moi». Aussi les journalistes doivent-ils faire de la quête de la vérité leur principe fondamental et mettre la loyauté à l’égard des citoyens, au-dessus de toute autre, de façon à pouvoir chercher la vérité en toute liberté. Et pour engager les citoyens dans cette quête, les journalistes doivent appliquer le principe de transparence et des méthodes de vérification systématique. Toutes choses qui, dans le cadre de cette affaire de mœurs ayant mis au-devant de la scène Jean Claude Ottou ne saurait nous être reprochées par ce dernier, résolument sur la défensive.
Sinon, comment penser qu’il ait essayé d’étouffer une affaire pour laquelle il prétendrait n’avoir pas partie liée ? Serait-ce une affabulation de notre part de l’indexer pour alimenter quelque sensationnel qui ne saurait être ? Des préalables auxquels ne se sera guère astreint le sénile ex-directeur général adjoint qui crut en son temps, abuser de ce statut plutôt inique. A preuve, peut-il justifier après coup, les critères qui prévalurent à sa désignation pour ce poste qui lui permit en réalité d’abuser de trafic d’influence aussi bien au sein de l’entreprise qu’en dehors ? Que de tels actes aient été décriés en son temps par votre organe ne pouvaient que susciter la même réaction de Jean Claude Ottou, au sortir de cette autre affaire de mœurs dans laquelle il est formellement impliqué, même si le désamour de fait qu’il brandit en termes de défense contre nous est réel. Mais au-delà, ce n’est pas tant l’homme qu’il est ou encore qu’il aura été qui semble nous dicter la narration de ses multiples frasques, mais bien plus cette propension qu’il a à s’octroyer des passe-droits.
A ce propos, nous nous serons préalablement appropriés, l’exigence de clarification des rapports qui sont les nôtres avec lui, avant de traiter l’information relative à cette frasque rédhibitoire à plus d’un titre. Peut-être est-ce la raison pour laquelle il n’a pas hésité d’assimiler notre intrépidité à quelque acharnement à son encontre. Loin de nous pourtant une telle démarche qui, si elle était, altérerait à coup sûr la pertinence que nous voulions donner aux déviances qui sont les siennes. Et sauf pour lui de croire que les faits révélés dans notre édition qu’il aura certainement lue avec quelque attention sont absolument imaginaires, alors à lui de démontrer par ailleurs que nous nous écartons en fait des préceptes édictés dans leur ouvrage sur les principes du journalisme par Bill Kovach et Tom Rosenstiel qu’il ne saurait ignorer. Comme quoi, il feint simplement le principe selon lequel, les journalistes doivent savoir ce que le public exige. Et dans le cas d’espèce, les frasques de ceux-là qui croient se positionner en quelque modèle, sans s’imposer au passage ni une hygiène de vie conséquente et encore moins, l’observation des règles élémentaires de bienséance.
© Michel Michaut Moussala | Aurore Plus
Au lieu d’adresser son supposé droit de réponse au journal incriminé, il est allé le publier chez certains confrères pour des raisons qu’on connaît. Ces derniers et lui ont violé la déontologie en la matière. Car il aurait fallu que nous refusions de le publier pour qu’il le leur adresse. Yves Michel Fotso et Célestin Tawamba l’ont fait avant lui et on connaît la suite.
Chacun fait de ses fesses ce qu’il veut. Il y en a qui se vengent sur celles des jeunes coiffeuses après avoir subi l’ultime outrage de ses employeurs. Est-ce le cas du très célébrissime Jean Claude Ottou ? Tout porterait à le croire au vu du caractère récidiviste de ses pratiques. Il y a bien des années, au fait de sa gloire éphémère à Mtn, il avait jeté son dévolu sur la nièce à sa femme. Je me souviens alors de nos conversations téléphoniques. Informé mystérieusement de ce que votre Journal enquêtait sur l’affaire, il me supplia longuement de ne pas ébruiter le scandale en faisant état de ses gouts prononcés pour la pédophilie. Il aura tout le mal du monde à faire enterrer cette scabreuse affaire. Néanmoins, l’ancien journaliste est resté aussi vert qu’à ses débuts. Et il a le chic de marchander le silence sur ses forfaits, comme dans le cas cette fois ci de la petite Géraldine qui sans être innocente comme la vierge de Nazareth, s’est battue comme un beau diable pour ne pas se laisser enfourcher par son cheval de client en rut.
Mais le coup de reins devait être plus puissant que celui de Dsk puisque Géraldine s’en tire avec 15 jours d’incapacité. Hier matin, elle était invisible à son lieu de service. Ce n’est pas facile de subir une attaque par la ‘porte arrière’, endroit prisé par notre ex-journaliste. Nafissatou Diallo en sait quelque chose. Apres la bagarre, les talents de diplomates de JCO ont fait le reste. Silence sur toute la ligne du coté de Gladstone qui est un groupe d’institut de beauté, avec la maison mère qui s’occupe des dames et son démembrement de Bonamoussadi à l’immeuble Tsekenis. Quant à ‘Mark Andrew’, rue Tokoto à Bonapriso, le salon s’occupe du Massage des hommes. Jean Claude Ottou a donc multiplié les contacts depuis mardi dernier pour étouffer l’affaire. L’argent y est passé. Les sentiments aussi, d’autant plus que le tireur d’élite peut compter sur ses entrées à Mtn où la propriétaire de Gladstone, « la pierre de joie » en français, peut recevoir des directives de son époux haut cadre dans la boîte. Alors tout se tient.
Même le démenti du professeur de journalisme qui a oublié côté déontologie, ou qui ignore que le premier servi dans le cadre d’un droit de réponse est bien le journal incriminé, qui a publié sa bombe sexuelle. Et non les réseaux sociaux et les confrères qu’il veut entraîner dans ses turpitudes « pistachiques ».Et c’est parce que votre journal s’est toujours trouvé dans sa trajectoire pédophile qu’il peut écrire à juste titre dans son ‘Message à la Presse’: «Aurore Plus et moi, trop c’est trop ! ». Nous sommes bien d’accord avec ce Zorro du matelas qui nous menace de ses foudres. Nous sommes d’accord qu’il ment lorsqu’il prétend n’avoir « jamais entendu parler » de l’établissement Gladstone « avant la lecture de l’article mensonger ». L’époux de la proprio est bien son ex-collègue.!!!
Ottou pleurniche à la première personne, content de l’aubaine que Aurore plus lui offre de s’afficher à la Une. « Mes chers confrères, tout d’abord, je m’interroge sur la fixation que fait ce journal sur ma personne depuis quelques années, plus précisément depuis que j’ai été placé sous la lumière de mes fonctions de Directeur Général Adjoint de l’une des plus grandes entreprises privées du pays ». Nous sommes bien d’accord avec JCO. Nos routes se croisent souvent lorsqu’il dégaine sa braguette comme un Lucky Luke des tropiques. « Je m’interroge sur cet acharnement cousu d’un fil contaminé par ce qu’il y a de plus méprisable chez un individu : la méchanceté gratuite, et l’addiction à nuire à autrui sans raison ». Méprisable aussi ce chaud lapin qui ne peut pas freiner ses impulsions sexuelles et tire sur tout ce qui est fendu. Mais il y a des fruits défendus, ce sont les préférés de Jco.
Quand au «déficit criard de professionnalisme qui semble être la marque de fabrique du journal Aurore Plus», nous continuons a nous demander quels sont les hauts faits d’un journaliste de parti unique qui brillait d’un éclat de parti unique faute de concurrent ? Quels sont les hauts faits de cet ancien directeur général adjoint de Mtn donc le triple saut professionnel pousse à se poser des questions. Etait –il plus qualifié qu’un autre pour passer sans transition de la radio à la Snec et à Mtn ? A-t-il bénéficié d’un coup de bite bien placé ? C’est trop facile d’injurier et de mépriser un opérateur économique, de surcroit promoteur de presse, quand on sait les nombreuses faillites dans ce secteur ou nous tenons le haut du pavé depuis plus de deux décennies. Que sait –il de la gestion d’une entreprise de presse dans un pays sinistré ou le lectorat a perdu les habitudes de lectures au profit des medias audiovisuels ? On peut avoir un derrière intelligent sans pour autant être un cerveau professionnel et managérial. Mais Ottou ne perd rien pour attendre les révélations sur ses vices bilingues. Qu’il continue à se mousser gratuitement à la première personne. Le moi est haïssable, disait Pascal…la pédérastie aussi.
Note de la rédaction (Aurore Plus):
Les racines multiples de la vérité
Les éditorialistes et les journalistes d’opinion, comme Maggie Gallagher ne sont pas neutres. Leur crédibilité s’enracine dans le même souci de l’exactitude, de la vérification et de l’intérêt public qui habitent les autres journalistes. Or, pour citer Maggie Gallagher, c’est «chercher à parler comme si je pouvais convaincre quelqu’un qui n’est pas d’accord avec moi». Aussi les journalistes doivent-ils faire de la quête de la vérité leur principe fondamental et mettre la loyauté à l’égard des citoyens, au-dessus de toute autre, de façon à pouvoir chercher la vérité en toute liberté. Et pour engager les citoyens dans cette quête, les journalistes doivent appliquer le principe de transparence et des méthodes de vérification systématique. Toutes choses qui, dans le cadre de cette affaire de mœurs ayant mis au-devant de la scène Jean Claude Ottou ne saurait nous être reprochées par ce dernier, résolument sur la défensive.
Sinon, comment penser qu’il ait essayé d’étouffer une affaire pour laquelle il prétendrait n’avoir pas partie liée ? Serait-ce une affabulation de notre part de l’indexer pour alimenter quelque sensationnel qui ne saurait être ? Des préalables auxquels ne se sera guère astreint le sénile ex-directeur général adjoint qui crut en son temps, abuser de ce statut plutôt inique. A preuve, peut-il justifier après coup, les critères qui prévalurent à sa désignation pour ce poste qui lui permit en réalité d’abuser de trafic d’influence aussi bien au sein de l’entreprise qu’en dehors ? Que de tels actes aient été décriés en son temps par votre organe ne pouvaient que susciter la même réaction de Jean Claude Ottou, au sortir de cette autre affaire de mœurs dans laquelle il est formellement impliqué, même si le désamour de fait qu’il brandit en termes de défense contre nous est réel. Mais au-delà, ce n’est pas tant l’homme qu’il est ou encore qu’il aura été qui semble nous dicter la narration de ses multiples frasques, mais bien plus cette propension qu’il a à s’octroyer des passe-droits.
A ce propos, nous nous serons préalablement appropriés, l’exigence de clarification des rapports qui sont les nôtres avec lui, avant de traiter l’information relative à cette frasque rédhibitoire à plus d’un titre. Peut-être est-ce la raison pour laquelle il n’a pas hésité d’assimiler notre intrépidité à quelque acharnement à son encontre. Loin de nous pourtant une telle démarche qui, si elle était, altérerait à coup sûr la pertinence que nous voulions donner aux déviances qui sont les siennes. Et sauf pour lui de croire que les faits révélés dans notre édition qu’il aura certainement lue avec quelque attention sont absolument imaginaires, alors à lui de démontrer par ailleurs que nous nous écartons en fait des préceptes édictés dans leur ouvrage sur les principes du journalisme par Bill Kovach et Tom Rosenstiel qu’il ne saurait ignorer. Comme quoi, il feint simplement le principe selon lequel, les journalistes doivent savoir ce que le public exige. Et dans le cas d’espèce, les frasques de ceux-là qui croient se positionner en quelque modèle, sans s’imposer au passage ni une hygiène de vie conséquente et encore moins, l’observation des règles élémentaires de bienséance.