Depuis
le 6 novembre 2012, mes cohéritiers et cohéritières Camerounais ont
envahi tous les plateaux de communication pour spéculer sur les 30
années de la présence malheureuse de leur président actuel à la tête des
institutions de leur cher pays le Cameroun. Ici certains(nes) sont
allés jusqu'à solliciter que je participe à leur débats.Maintenant où la
confusion n'est plus que minime sur le débat en rapport avec cette
actualité, je voudrais relever que c'est avec assez de gène que je
constate que c'est à la périphérie que nombre des débatteurs et leurs
sœurs sont restés, évitant, à dessein ou non, d'affronter le vrai sujet
et poser les questions centrales.
Le vrai sujet, c'est le silence, la passivité, le désintérêt entre
autres, que la plupart des Camerounais(ses) affichent depuis 30 années
(si nous nous en tenons au temps circoncis), sur la question du maintien
à leur détriment et au détriment du pays, d'un médiocre serviteur des
intérêts néocoloniaux à la tête du Cameroun notre héritage commun,
instruisant et animant à grande échelle, détournements, vols et
corruption.
Et voici deux des questions centrales ici :
1- Qu'est qui aura installé les concernés à la position de simples calculateurs béats des années qui passent et passent encore depuis 30ans et, d'ailleurs, davantage.
Humblement, sincèrement,
En tout patriotisme.