Mariage de Franck Biya

22.02.2010

Franck BIYA :Il épouse l’ex-femme de
son frère aux Seychelles. 

 

Après un précédent mariage avec Laure Terry, le fils aîné du président de la République du Cameroun, Franck Emmanuel Olivier BIYA s´est marié vendredi 27 novembre 2009 aux îles Seychelles, dans l´Océan indien. Le mariage s´est déroulé, sans la publication des bans, comme le permet la législation de ce pays, certainement parce que Frank ne voulait pas de bruits autour de ce qui allait s’avérer être un vrai scandale pour le fils aîné du Président de la République du Cameroun. En effet, de sources bien informées, l´heureuse élue n’est rien d’autre que sa propre belle-sœur, Virginie Baroux, épouse Mvondo Assam, l’ex-femme de son frère Bonivan.
L’on se demande pourquoi le fils du Président Camerounais, qui fait de belles rencontres au quotidien, a choisi de se remarier avec une femme qui a passé des années dans sa propre famille en qualité d’épouse. Comment se fait-il que Franck BIYA n’ait vu que celle-là, l’ancienne amie de sa première femme Laure Terry.

L’histoire remonte à très loin. En effet, la mère de Virginie Baroux, Témoin de Jéhovah tout comme sa fille, a très tôt préparé le terrain pour permettre à sa fille d’atteindre le cœur et la maison de Franck BIYA. La redoutable mère de la nouvelle épouse de Franck, originaire d´Ebolowa, exerce quantités de petits métiers mais surtout celui de grande marabouteuse. Elle serait d’ailleurs directement impliquée dans de faits assez graves :
- dans un premier temps, la nouvelle belle-mère de Franck BIYA serait impliquée dans le décès de la première épouse de Bonivan. Cela a facilité le mariage de sa fille avec ce dernier, abandonnant par la même occasion le fiancé indien qui avait pourtant déjà versé l’intégralité de la dot avec un terrain à Kribi. L’on se souvient d’ailleurs que cet indien avait curieusement été accusé par la suite de trafic d’organes humains ;
- dans un second temps, la redoutable sorcière, témoin de Jéhovah, serait impliquée dans l´échec du premier mariage de Franck. L’on sait d’ailleurs que la première femme de Franck, Laure Terry, n’a pas supporté les multiples infidélités de son mari avec la femme de Bonivan, parfois sous ses yeux.

Lorsque Bonivan décida de répudier cette femme pour infidélité, c’était sans compter qu’il ouvrait grandement la porte à Franck BIYA pour vivre au quotidien la tendresse illégitime. Au moment de son divorce, Bonivan n’avait pas intégralement payé le prix de l’appartement sis Avenue FOCH (Paris) ; Franck s’est empressé de payer le montant restant afin que sa nouvelle compagne reste en sécurité dans l’un des quartiers les plus chics de Paris.

La question qui se pose est celle de savoir pourquoi, avec toutes les femmes qu’il rencontre au quotidien, Franck BIYA a choisi de se marier avec la femme répudiée de Bonivan. C’est vrai que l’on peut trouver du bonheur au sein de la famille. Mais le fils du Président camerounais doit être un modèle pour la jeunesse qui peut, à un moment donné, le prendre pour repère.
Le problème est tout autre : Franck BIYA aime violer les interdits (prendre par exemple la femme de son frère ou de ses amis) ; il n’a pas de retenue pour ses concitoyens (il coupe par exemple le bois camerounais comme un pilleur) ; il aime l’extravagance ; Franck adore montrer qu’il est au-dessus, très au dessus des autres.
Pourtant, le premier fis de Paul BIYA vit entièrement aux frais du contribuable camerounais (frais d’entretien de la villa du lac, de l’appartement sis avenue Foch et de la villa de Monaco ; ce sont les militaires camerounais qui gardent la villa sise à Monaco ainsi que l´appartement de l’avenue Foch). Récemment, il s’est illustré auprès de son père Président en lui offrant une Bentley pour ses 70 ans.

On doit quand même se demander comment va se comporter aujourd´hui l´ex épouse de Bonivan nouvellement femme de Franck BIYA vis-à-vis de Chantal BIYA, la première dame du Cameroun. En tant que femme de Bonivan elle disait pires énormités sur la première dame du Cameroun. On espère qu’elle a changé de point de vue depuis qu´elle va en croisière de luxe sur les bateaux et voyage à la baule et aux states. Elle est obligée de changer pour assurer sa survie au sein de la famille présidentielle.

Selon nos sources, furieux par l’annonce de ce « mariage à problèmes », le Président BIYA n’aurait pas encore reçu le nouveau couple. Son entourage le dissuaderait d’ailleurs de le faire dans le contexte actuel de la préparation de sa réélection.
Le Président camerounais a tout à fait raison. Un commentaire publié sur internet au sujet de ce mariage illustre parfaitement cette gêne du Président de la République : « on s´en tape de tout ce tapage c´est SALE pour le fils d´un président, c´est SALE pour nos coutumes, on ne touche pas à la femme de son frère surtout si ce dernier l´a répudié. Il faut savoir tenir son rang lorsque l´on est fils de grand, pour qui les connaissent tout ce tapage ne leur dit rien car totalement amoraux et ne connaissant ni la honte, ni la gêne d´une telle situation. La belle-famille s´en vante et joue les grands dans le quartier de douala. Franck tu as bafoué l´honneur de ta famille, de notre Chef ton père et de maman Chantal en allant te marier avec cette gourgandine, on prie pour le Cameroun et tes enfants ».

En définitive, on ne peut pas vraiment pas dire que Franck BIYA ait tiré quelle que leçon de son précédent mariage ou pleuré longtemps sur son récent divorce. C’est comme si rien ne s’était passé. Alors, de deux chose l´une : ou c´est la peur de la solitude, ou c´est un manque véritable de maturité et de clairvoyance. « C´est trop tôt pour quelqu´un qui aurait eu le cœur brisé et c´est un peu simpliste de prendre la première venue » Des questions se posent : est-ce un mariage arrangé ? Est-ce un coup de foudre ? Était-ce le premier choix d´avant l’heure ?
Ce deuxième mariage de Franck BIYA jette la honte sur le Président de la République et sur tous les camerounais. Epouser la femme répudiée de son frère n’es pas de la tradition de nos ancêtres.
Franck BIYA a montré, par cet acte posé aux Seychelles, qu’il n’est définitivement plus avec les Camerounais. Et c’est dommage car la jeunesse aurait pu faire appel à lui dans bien de circonstances.
Décidément, "Le Cameroun c´est le Cameroun".

© L. P. K. AMOUGOU, Yaoundé
Publié



05/03/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 299 autres membres