Marcel Niat Njifenji et Macie Tchaptchet 53 ans d’amour…..
Marcel Niat Njifenji est aujourd’hui connu comme le premier président du Sénat au Cameroun. Cet ingénieur de formation a été directeur de la Sonel et vice premier ministre ministre est désormais la personnalité de la République. Il pourrait diriger le Cameroun en cas de vacance à la présidence, comme le prévoit la constitution. Mais qui est au fait Le vénérable Niat Njifenji. Dans son état civil il est né le 26 octobre 1934 à Bangangté dans la région de l’Ouest. Son père, infirmier fonctionnaire, et sa mère, agricultrice, sont tous deux originaires du département du Ndé . Mais s’il y a une chose sur laquelle tout le monde qui le connait s’accorde est qu’il est un grand charmeur, amis surtout un homme posé et affable. Il préfère plutôt qu’on dise de lui qu’il est un homme compétent, efficace et qu’il aime travailler en équipe et déléguer les pouvoirs. Il y a aussi une chose une chose qu’il aime dire en privée : son éternel amour pour son épouse Macie Tchaptchet.
Cet amour dur depuis longtemps 53 ans exactement. Un amour qui s’est concrétisé le 30 septembre 1960, Depuis que M. Marcel a convolé en juste noce, il le dit li même il n’a jamais regretté. Marcie a toujours été là même dans les momenst les plus difficiles. Elle est « son rock sûr » aime t-ila dire. De cet amour, sont nés quatre enfants: Jean-Daniel, Marie-Paule Désirée, Patrick Ngassam et Eric Aimé.. Marcie et Marcel sont aujourd’hui grand parent de nombreux petits-enfants
Il fut député et maire de la commune de
Bangangté de 2003 à 2007. Il est membre du comité Central du RDPC et
Sénateur & Président du Sénat depuis le 12 juin 2013.
Il est
membre fondateur et coordonnateur sur plusieurs années du Kum Ntsi, une
association culturelle des 14 groupements de la région ayant en commun
la langue Medùmbà organise depuis 1995 le Festival des Arts et Culture
(FESTAC) Medùmbà. L’Association a aussi une radio Communautaire, la
Fm100 Medùmba, une chaine de télévision et le journal d’informations
locales Echos du Ndé, ainsi que des "Club du 26" et "Club du
5",respectivement des associations des élites du Ndé et de la Région de
l’Ouest.
Etudes :
Il
fait ses études primaires et secondaires à Bangangté jusqu’à 13 ans.
Après le cours secondaire (devenu Collège classique et moderne mixte) et
le Lycée général Leclerc de Yaoundé où, en 1954, il est lauréat du
concours général de France et de l’Union française en histoire
géographie. Il obtient son baccalauréat (mathématiques élémentaires) en
1955.
En France, il obtient une licence en
sciences physiques et mathématiques à la Faculté des Sciences de
Clermont-Ferrand. Puis le diplôme d’ingénieur de Supélec10. Il fait
parti de la première vague retour d'étudiants camerounais allés étudier à
l'étranger.
Carrière civile et publique:
Ingénieur des ponts et chaussés[modifier | modifier le wikicode]
De
retour au Cameroun, il est intégré dans la fonction publique le 31
décembre 1960, au grade d’ingénieur des ponts et chaussées et des
services techniques de l’État.
Détaché le 6 décembre 1962 à l’Énergie
Electrique du Cameroun (ENELCAM), il est Responsable du Bureau d’Études
et à ce titre participe aux travaux de construction du barrage
hydroélectrique d’Edéa III.
À la création de la Société
d’Electricité du Cameroun (EDC) en 1965, il est nommé Chef du service
Études et Travaux Neufs. À ce poste de 1965 à 1972, seront étudiés et
réalisés sous sa conduite les premiers ouvrages de transport, de
répartition et de distribution de l’énergie électrique et l’amorce de
l’électrification rurale avec des techniques et des matériaux adaptés au
contexte local.
Directeur de la SONEL
Le
1er janvier 1973, il est nommé directeur général adjoint de l’EDC après
avoir assumé quelque temps les fonctions d’attaché au directeur général
chargé des études et de la programmation.
De mai 1974 à avril 1984 et de septembre
1989 à juillet 2001, il est directeur général de la SONEL (Société
nationale d’électricité du Cameroun), société qu’il a créée sous les
directives du Président de la République du Cameroun en fusionnant les
sociétés préexistantes dans le pays : ENELCAM, EDC et POWERCAM12.
Ainsi,
à ces différents titres, il établit une programmation de
l’électrification du Cameroun sur la base d'études du potentiel
hydroélectrique, et des exigences de développement de la consommation et
des objectifs du gouvernement.[réf. nécessaire].
Dans ce cadre, il participe à la réalisation d’importants ouvrages tels:
• Les barrages réservoir de Bamendjing et Bakaou[réf. souhaitée]
•
Le renforcement de la centrale électrique d’Edéa et la construction de
la Centrale hydroélectrique de Song Lou Lou[réf. souhaitée]
• Les réseaux de transport THT du Sud (RIS)[réf. souhaitée]
•
La Centrale hydroélectrique de Lagdo construite par la coopération
chinoise sur les études d’avant projet de la SONEL,[réf. souhaitée]
• Les réseaux de transport HT du Nord, de Ngaoundéré-Garoua-Maroua.[réf. souhaitée]
• L’électrification de plus de 2000 villes et villages du pays.[réf. souhaitée]
Il quitte la direction générale de
la SONEL en juillet 2001 et est remplacé par Mark. E. Miller13, délégué
par le groupe AES ayant racheté la Sonel14.
Ministre du gouvernement[modifier | modifier le wikicode]
Le 7 septembre 1990, Marcel Niat
Njifenji fait sa première entrée au Gouvernement comme Ministre du Plan
et de l’Aménagement du Territoire. Il cumule avec les fonctions de
Directeur Général de la SONEL9, poste qu’il occupe jusqu’au 26 avril
1991.
Le 9 avril 1992, il est nommé
Vice-premier Ministre chargé des Mines, de l’Eau et de l’Énergie15 en
gardant ses fonctions de Directeur Général de la SONEL.
Incarcération et relaxe[modifier | modifier le wikicode]
Après la tentative de coup d'état du
6 avril 1984, il est arrêté le 17 avril 1984[réf. souhaitée] et
incarcéré à la Prison centrale de Kondengui à Yaoundé. Il demande à ses
codétenus de lui lire la Bible. Issa Tchiroma Bakary, qui deviendra plus
tard ministre de la république, la lui lira intégralement16,17. Il sera
relâché 8 mois plus tard, le 8 décembre 1984, aucune charge n'étant
retenue contre lui[réf. souhaitée].
Carrière politique
Député, Maire
Élu
député du RDPC dans le Ndé en 199218, il quitte son mandat de député
pour continuer à exercer ses fonctions de Directeur Général de la SONEL
qu'il cumule avec sa fonction de Vice-Premier Ministre. Membre du comité
Central du RDPC, il est maire de la commune de Bangangté de 2003 à
200719.
Sénateur & Président du Sénat[modifier | modifier le wikicode]
À
l'issue de la victoire du RDPC aux élections sénatoriales de 2013. Il
est nommé sénateur du Cameroun le 8 mai 201320,21,22. Le 12 juin 2013,
il est élu le premier Président du Sénat avec 86 voix sur 10023,24,8.
Distinctions et décorations[modifier
• Grand cordon de l’ordre du mérite[réf. souhaitée]
• Grand Officier de l’ordre de la valeur[réf. souhaitée]
• Médaille d’honneur du travail en argent, vermeil et or[réf. souhaitée]
• Commandeur de l’ordre de l’Araignée (Bamoun)[réf. souhaitée]
Vie associative
Marcel
Niat Njifenji est membre fondateur et coordonnateur sur plusieurs
années du Kum NtsiA 1,25 et membre fondateur du CERCLE[réf. souhaitée]B
1, ainsi que des "Club du 26"[réf. souhaitée] et "Club du 5"[réf.
souhaitée]B 2.
Détails des mandats et fonctions[modifier | modifier le wikicode]
Mandats parlementaires
• 2013 - ... : 1ier Président du Sénat26 du Cameroun
• 1992 - 1992 : Député RDPC de l'Ouest
Mandats locaux
• 2002 - 200727 : maire de Bangangté
Source: fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Bamiléké
Copyright © Portail:Bamiléké avec M.Mba Talla, Ottawa - Canada | 10-08-2013