Manipulations: Issa Tchiroma mangé dans la sauce de la désinformation
YAOUNDÉ, 16 avril 2012
© Thierry Mbouza | La Météo
Une certaine presse à sensation a absurdement fait croire la semaine dernière à l'opinion publique, que des propositions de nominations du ministre de la Communication ont été rejetées au niveau du Premier ministère.
© Thierry Mbouza | La Météo
Une certaine presse à sensation a absurdement fait croire la semaine dernière à l'opinion publique, que des propositions de nominations du ministre de la Communication ont été rejetées au niveau du Premier ministère.
Une certaine presse à sensation a
absurdement fait croire la semaine dernière à l'opinion publique que des propositions de nominations du ministre de la Communication ont été rejetées au niveau du Premier ministère.
A l'observation, il s'agit simplement d'une tentative de désinformation de plus contre Issa Tchiroma Bakary. La preuve, après recoupements à plusieurs niveaux, il n'existe pour l'heure et nulle part, aucune proposition de nominations du ministère de la Communication émanant de M. Issa Tchiroma Bakary. Et comment peut-il d'ailleurs en être autrement lorsqu'on sait que le chef de ce département ministériel n'a jamais caché sa volonté de travailler avec tous ses collaborateurs pour mieux exécuter sa feuille de route. Dire donc aujourd'hui que Issa Tchiroma Bakary multiplierait les efforts pour faire tomber certains de ses proches collaborateurs tel le secrétaire général, l'inspecteur général, le conseiller technique n°1... relève du pur fantasme. Par ailleurs, le nouvel organigramme de ce ministère n'étant pas encore validé, l'on est en droit de se demander sur quelle base ces marabouts du dimanche soutiennent-ils que les propositions de nomination du Mincom ont été rejetées à la Primature. Et comment Tchiroma, qui maîtrise bien le fonctionnement de la haute administration, aurait-il pu commettre un tel manquement? Et lorsqu'on sait qu'un ministre n'a pas qualité de nommer une certaine catégorie du personnel de son ministère, fût-il le patron, l'on peut aisément conclure que ceux qui manipulent la presse pour distraire le président du Fsnc (Front pour le salut national du Cameroun) sont de mauvaise foi, et étalent au grand jour leur analphabétisme institutionnel. |
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