Main Courante: 02 millions Fcfa emportés dans la cellule d’Etondè Ekoto ?
Dans la nuit de mercredi 8 à jeudi 9février 2012, la cellule spéciale 18 de la prison centrale de Douala, réservée aux détenus de l’Opération Epervier, a été cambriolée. Selon notre source, des personnes non encore identifiées se sont introduites dans la cellule du colonel Edouard Etondè Ekoto où la somme de 2 millions Fcfa aurait été emportée.
Néanmoins, l’information qui fait office
de «rumeur» au sein de la prison a été démentie par le régisseur de
ladite prison qui dit ne pas être «au courant d’une telle information et
d’ailleurs, qui vous a donné cette information ?», demande-t-il au
reporter.
Il en sera de même aussi pour Edouard Nathanael Etondè
Ekoto qui ne reconnaîtra pas les faits. Les autres détenus indiquent,
par contre, qu’il y’a eu cambriolage et «on essaye seulement d’étouffer
l’affaire». Ce qui est confirmé par un autre détenu proche d’Etondè
Ekoto, «C’est vrai, j’ai appris une telle information. Mais pourquoi
vous intéressez-vous à un petit fait comme celui là ?»
B.D
Miss tourisme Afrique crée l’émeute
Les
festivités du défilé de la 46ème fête nationale de la jeunesse se sont
achevées au boulevard du 20 mai samedi dernier au environ de 13h.
Pendant que le public et les membres du gouvernement quittent la tribune
d’honneur, Olga Mengue Miss tourisme Afrique, pavoisée de son écharpe
attend inlassablement son véhicule. Ce laps de temps va suffire pour
qu’elle se voit encerclée par des groupes de jeunes et curieux venus
assister au défilé.
Une jeune fille admiratrice l’a même interrogé
sur les mesures à prendre pour être êlue miss. Et la miss tourisme
Afrique de répondre : «Il faut aller à l’école, apprendre bien ses
leçons et être intègre. Cela vous vaudra comme moi, de porter l’habit
valant 13 millions du créateur Blaz design. Lequel vêtement est
actuellement exposé au musé des Nations Unis». «il faut travailler dur
pour être miss», rajoute Olga Mengue. Pour s’extirper de cette foule,
miss tourisme est reçoit l’aide d’un homme de média.
P.D
Son ex-copain lui vole 300.000 Fcfa
Marie
P et Simon étaient séparés depuis plus de trois mois mais ils avaient
décidé de rester des amis. «Malgré la séparation, on se voyait toujours,
chacun d’entre nous avait entamé une nouvelle relation», confie Marie.
Le couple avait passé plus de deux ans ensemble et vivait au quartier
Elig-Edzoa.
Le week-end dernier, Marie reçoit une somme de 300.000
Fcfa lors d’une tontine. Le lendemain, elle reçoit la visite de Simon
et c’est dans les causeries qu’elle lui fait part de la somme qu’elle
vient d’empocher. «Je lui ai même dit que je devais m’offrir une
moto !», s’exclame la jeune fille. Après avoir partagé une bière, Simon
aurait voulu avoir des rapports avec Marie qui se serait opposée.
Courroucé, le jeune homme a roué Marie des coups de poings, avant de
prendre l’argent où la jeune commerçante avait l’habitude de coffrer ses
biens. De la bastonnade, elle garde un visage enflé et un ?il au bain
noir.
N. N. (Stg)
Il refuse les services gratuits d’une prostituée
Samedi
dernier à Yaoundé, aux environs de 23 heures, un véhicule de couleur
blanche de marque Golf fait des tours sur le tronçon allant de la
chambre de commerce, la boite de nuit Safari, le cabaret Maeva jusqu’à
la province.
Le chauffeur dudit véhicule cherche une prostituée
précise. Ne la voyant pas malgré tous les va-et-vient, il se
renseigne auprès des autres prostituées. «Je cherche la fille qui a de
longs rastas, elle a un teint noir, elle met toujours un rouge à lèvre
de couleur rouge vif, elle est déjà arrivée ?», «non» répond l’une des
filles présentes. «Comme elle n’est pas là, moi je peux t’aider, je l’a
remplace même si c’est gratuit !15 minutes et tu te sentiras mieux»,
rassure la fille qui essaye de le convaincre en soutenant sa poitrine à
peine couverte. «Je préfère l’attendre», répond le client.
Une
dizaine de minutes après l’échange entre ces derniers, arrive celle qui
ici se fait appeler «la sirène». Elle rejoint illico presto le
conducteur de «la Golf» sous le regard envieux des autres, obligées de
poireauter sous ce froid glacial du c?ur de la nuit.
N.N (stg)