Mafia: Emmanuel Nzeté remet 50 millions et un immeuble à Jean Nkuété
YAOUNDÉ - 29 Aout 2012
© Joe EHIGUE | L'Epervier
Pour les observateurs qui suivent attentivement la vie politique du département de la Mifi depuis l'avènement du multipartisme, il est évident que la communauté urbaine de Bafoussam est entre les mains de dangereux gangsters, dont la fidélité au RDPC est cousue de fil blanc...
Dans sa campagne de mise à sac de la communauté urbaine de Bafoussam, Emmanuel Nzeté a réussi à chaque moment à s'entourer de parrains dans les arcanes du pouvoir. A une période bien déterminée, l'homme a bénéficié de la bienveillante protection de Chief Ephraïm Inoni avant de soudoyer celle de Jean Nkueté. Le secrétaire général du comité central du RDPC, qui ne crache pas sur les prébendes est ce jour celui sur qui s'appuie Emmanuel Nzeté pour perpétrer ses crimes économiques.
Le prix à payer.
Pour mettre Jean Nkueté dans sa poche, Emmanuel Nzete va lui offrir l'immeuble qu'il avait acheté chez Adolphe Tenken, ancien secrétaire général de la commune urbaine de la ville de Bafoussam sur l'axe du marché B. Tous les papiers de cette rétrocession ont été faits à l'étude de maître Guegang: notaire à la Cour d'appel de l'Ouest Tel 33 44 32 85, 33 44 64 75 BP 1209 Bafoussam. Le clerc qui s'est chargé de la procédure était un certain notaire stagiaire du nom de Joseph Koujou. La ministre Madeleine Tchuinte aurait, au vu de ses relations amicales avec Emmanuel Nzeté, joué un rôle important dans les transactions.
La rétrocession de cet immeuble en guise de rançon au soutien de Jean Nkueté ci-devant vice-Premier ministre, ministre de l'Agriculture et actuellement secrétaire général du comité central du parti au pouvoir valait de l'or.
Risques d'explosion.
Le ciel s'obscurcit au dessus de la ville de Bafoussam. Les populations de la Mifi lasses d'être la risée des réseaux maffieux du délégué du gouvernement veulent faire entendre leurs voix. Paul Biya doit comprendre que l'Ouest en général et la Mifi en particulier ne sont pas la chasse gardée de Jean Nkueté et son clan, crient les populations. Les derniers mois de l'année 2012 pourraient être explosifs à Bafoussam.
© Joe EHIGUE | L'Epervier
La communauté urbaine de Bafoussam est une charogne à la merci de tous les prédateurs.
Pour les observateurs qui suivent attentivement la vie politique du département de la Mifi depuis l'avènement du multipartisme, il est évident que la communauté urbaine de Bafoussam est entre les mains de dangereux gangsters, dont la fidélité au RDPC est cousue de fil blanc...
Dans sa campagne de mise à sac de la communauté urbaine de Bafoussam, Emmanuel Nzeté a réussi à chaque moment à s'entourer de parrains dans les arcanes du pouvoir. A une période bien déterminée, l'homme a bénéficié de la bienveillante protection de Chief Ephraïm Inoni avant de soudoyer celle de Jean Nkueté. Le secrétaire général du comité central du RDPC, qui ne crache pas sur les prébendes est ce jour celui sur qui s'appuie Emmanuel Nzeté pour perpétrer ses crimes économiques.
Le prix à payer.
Pour mettre Jean Nkueté dans sa poche, Emmanuel Nzete va lui offrir l'immeuble qu'il avait acheté chez Adolphe Tenken, ancien secrétaire général de la commune urbaine de la ville de Bafoussam sur l'axe du marché B. Tous les papiers de cette rétrocession ont été faits à l'étude de maître Guegang: notaire à la Cour d'appel de l'Ouest Tel 33 44 32 85, 33 44 64 75 BP 1209 Bafoussam. Le clerc qui s'est chargé de la procédure était un certain notaire stagiaire du nom de Joseph Koujou. La ministre Madeleine Tchuinte aurait, au vu de ses relations amicales avec Emmanuel Nzeté, joué un rôle important dans les transactions.
La rétrocession de cet immeuble en guise de rançon au soutien de Jean Nkueté ci-devant vice-Premier ministre, ministre de l'Agriculture et actuellement secrétaire général du comité central du parti au pouvoir valait de l'or.
Risques d'explosion.
Le ciel s'obscurcit au dessus de la ville de Bafoussam. Les populations de la Mifi lasses d'être la risée des réseaux maffieux du délégué du gouvernement veulent faire entendre leurs voix. Paul Biya doit comprendre que l'Ouest en général et la Mifi en particulier ne sont pas la chasse gardée de Jean Nkueté et son clan, crient les populations. Les derniers mois de l'année 2012 pourraient être explosifs à Bafoussam.