Lutte contre l’insécurité: Neuf présumés agresseurs interpellés
DOUALA - 31 JUIL. 2013
© Gibrile KENFACK TSABDO (Stagiaire) | Le Messager
La cour principale de la délégation régionale de la Sûreté nationale à
l’Ouest a été investie lundi 29 juillet dernier par une foule bigarrée
de personnes. Les populations sont venues en grand nombre pour
témoigner de visu la présentation publique des présumés malfrats qui ont
agressé le gardien de la paix 1er grade, Ebodé Essomba Léopold dans la
nuit du 20 au 21 juillet 2013. Ils sont au nombre de neuf qui ont été
appréhendés vendredi dernier par les éléments du Groupement mobile
d’intervention N° 3 : Abdoul alias Salam, Donfack Stéphane alias Kabila,
Awanet Roméo, Waffo Marcelin, Nkengne Maurice alias Court Vieux, Monkam
Boris, Fonkam Etienne, Tsafack Dieunedort, Donfack Franck. Le cerveau
du gang, ainsi que 3 autres fugitifs encore en cavale.
Mais, le commandant du Gmi N°3, Ndé Alexandre François rassure : « Ce n’est qu’une question de temps. Nous allons tout faire pour mettre ces malfaiteurs hors d’état de nuire. Et, nous interpellons les populations à collaborer au besoin par voie de communication téléphonique afin que la paix soit rétablie dans la ville de Bafoussam ». Au moment de leur arrestation, ils étaient en possession de deux motos de marque Senke et Nanfang, un téléviseur, un haut-parleur, et un grand couteau. Ce coup de filet des forces de police s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le grand banditisme et l’insécurité urbaine à l’Ouest. Selon le commandant de compagnie Mbembeuck Albert, il s’agit d’un réseau en démantèlement qui opère, selon des sources dignes de foi, dans les quartiers de Toket-Stade et Évêché. De plus, ils opèrent à l’aide d’armes de fabrication artisanale et de grands couteaux.
En rappel, le gardien de la paix Léopold Ebode Essomba en service au Gmi N°3 de Bafoussam, revient de loin. Son état sanitaire s’est nettement amélioré. Il a été victime de l’attaque d’une bande de voyous. Lesquels lui ont tiré une balle à bout portant. C’était dans la nuit de samedi dernier au quartier Tocket. Le policier revenait du travail lorsque, à l’entrée de son domicile, il tombe dans les rets d’un gang de trois malfrats qui manifestement, l’attendaient. L’un des agresseurs lui a tiré une balle à la poitrine avant que ses complices et lui ne fondent dans la nuit. Transporté à l’hôpital régional par ses collègues arrivés à la rescousse, Ebode Essomba a subi des soins intensifs.
© Gibrile KENFACK TSABDO (Stagiaire) | Le Messager
Les
présumés agresseurs du gardien de la paix Ebodé ont été appréhendés
vendredi dernier par les éléments du Groupement mobile d’intervention
(Gmi) n°3. |
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Mais, le commandant du Gmi N°3, Ndé Alexandre François rassure : « Ce n’est qu’une question de temps. Nous allons tout faire pour mettre ces malfaiteurs hors d’état de nuire. Et, nous interpellons les populations à collaborer au besoin par voie de communication téléphonique afin que la paix soit rétablie dans la ville de Bafoussam ». Au moment de leur arrestation, ils étaient en possession de deux motos de marque Senke et Nanfang, un téléviseur, un haut-parleur, et un grand couteau. Ce coup de filet des forces de police s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le grand banditisme et l’insécurité urbaine à l’Ouest. Selon le commandant de compagnie Mbembeuck Albert, il s’agit d’un réseau en démantèlement qui opère, selon des sources dignes de foi, dans les quartiers de Toket-Stade et Évêché. De plus, ils opèrent à l’aide d’armes de fabrication artisanale et de grands couteaux.
En rappel, le gardien de la paix Léopold Ebode Essomba en service au Gmi N°3 de Bafoussam, revient de loin. Son état sanitaire s’est nettement amélioré. Il a été victime de l’attaque d’une bande de voyous. Lesquels lui ont tiré une balle à bout portant. C’était dans la nuit de samedi dernier au quartier Tocket. Le policier revenait du travail lorsque, à l’entrée de son domicile, il tombe dans les rets d’un gang de trois malfrats qui manifestement, l’attendaient. L’un des agresseurs lui a tiré une balle à la poitrine avant que ses complices et lui ne fondent dans la nuit. Transporté à l’hôpital régional par ses collègues arrivés à la rescousse, Ebode Essomba a subi des soins intensifs.