Litige foncier à Mvolyé: Les précisions de l’archevêque de Yaoundé au Messager
Douala, 30 avril 2013
© Nadège Christelle BOWA | Le Messager
Dans une correspondance adressée à votre journal via son reporter, Mgr Tonyè Bakot donne sa version des faits dans cette affaire de litige foncier qui l’oppose aux autochtones de Mvolyé
«Madame la journaliste, J’accuse réception de votre lettre du 18 avril et je vous en remercie ». L’archevêque de Yaoundé, Mgr Victor Tonyè Bakot se veut courtois dans cette correspondance adressée à votre journal en réponse en une demande d’informations relative aux problèmes des terres des Emveng. Correspondance datée du 23 avril 2013 et déposée le même jour à l’agence de Le Messager à Yaoundé. Jour même de la parution de l’article relatif à ce sujet. Article dans lequel, le reporter faisait non seulement mention du courrier déposé dans son secrétariat à la Centrale diocésaine des œuvres et demeuré sans réponse à la date de rédaction dudit article publié à la une sous le titre : « Litige foncier : Mgr Tonyè Bakot accusé de brader les terres ». En effet, exaspérés par l’exploitation abusive de leur patrimoine, les autochtones de Mvolyé à Yaoundé sont sortis de leur réserve pour marteler leur ras-le-bol.
Le Messager au courant de cette affaire avait donc saisi l’archevêque par souci d’équilibre. Mais n’avait pas reçu de réponse et avait dû s’appuyer sur les confrères pour avoir la version du mis en cause. Par courrier du 23 avril 2013, Mgr Tonyè Bakot qui accuse réception de ladite lettre « y faisant by Text-Enhance">suite » nous « annonce que le problème avec les Emveng de Mvolyé a déjà été résolu au cours de ma visite pastorale à la Basilique Marie-Reine-des-Apôtres les 20 et 21 avril dernier ». Et en ce qui concerne le mémorandum poursuit-il, « veuillez vous référer à la réponse que j’ai faite aux chefs traditionnels Emveng dont voici la copie ». Tout en regrettant de n’avoir eu cette réponse importante à date, d’autant plus qu’il s’agit d’un courrier exploité par les confrères, Le Messager remercie l’archevêque. Et observe qu’il l’a déjà utilisé à travers les autres, tel que sus-indiqué. Tout en espérant que l’accalmie retrouvée – c’était par ailleurs l’objectif de la démarche du journal- sera durable, nous lui savons gré de ses bénédictions.
Nadège Christelle BOWA
© Nadège Christelle BOWA | Le Messager
Dans une correspondance adressée à votre journal via son reporter, Mgr Tonyè Bakot donne sa version des faits dans cette affaire de litige foncier qui l’oppose aux autochtones de Mvolyé
«Madame la journaliste, J’accuse réception de votre lettre du 18 avril et je vous en remercie ». L’archevêque de Yaoundé, Mgr Victor Tonyè Bakot se veut courtois dans cette correspondance adressée à votre journal en réponse en une demande d’informations relative aux problèmes des terres des Emveng. Correspondance datée du 23 avril 2013 et déposée le même jour à l’agence de Le Messager à Yaoundé. Jour même de la parution de l’article relatif à ce sujet. Article dans lequel, le reporter faisait non seulement mention du courrier déposé dans son secrétariat à la Centrale diocésaine des œuvres et demeuré sans réponse à la date de rédaction dudit article publié à la une sous le titre : « Litige foncier : Mgr Tonyè Bakot accusé de brader les terres ». En effet, exaspérés par l’exploitation abusive de leur patrimoine, les autochtones de Mvolyé à Yaoundé sont sortis de leur réserve pour marteler leur ras-le-bol.
Le Messager au courant de cette affaire avait donc saisi l’archevêque par souci d’équilibre. Mais n’avait pas reçu de réponse et avait dû s’appuyer sur les confrères pour avoir la version du mis en cause. Par courrier du 23 avril 2013, Mgr Tonyè Bakot qui accuse réception de ladite lettre « y faisant by Text-Enhance">suite » nous « annonce que le problème avec les Emveng de Mvolyé a déjà été résolu au cours de ma visite pastorale à la Basilique Marie-Reine-des-Apôtres les 20 et 21 avril dernier ». Et en ce qui concerne le mémorandum poursuit-il, « veuillez vous référer à la réponse que j’ai faite aux chefs traditionnels Emveng dont voici la copie ». Tout en regrettant de n’avoir eu cette réponse importante à date, d’autant plus qu’il s’agit d’un courrier exploité par les confrères, Le Messager remercie l’archevêque. Et observe qu’il l’a déjà utilisé à travers les autres, tel que sus-indiqué. Tout en espérant que l’accalmie retrouvée – c’était par ailleurs l’objectif de la démarche du journal- sera durable, nous lui savons gré de ses bénédictions.
Nadège Christelle BOWA