Liste des dirigeants Africains victimes de la Françafrique
Le Messager
Liste exhaustive des dirigeants africains qui n'ont pas respecté le "pacte colonial" et en ont payé le prix.
- Le président Fulbert Youlou, premier président de la République du Congo-Brazzaville (ancien Moyen-Congo sous la colonisation française), est tombé, limogé par coup d'État en 1963, peu après avoir dénoncé à la tribune des Nations Unies, en 1961, les prétendus Accords de coopération entre la France et les États africains fraîchement devenus indépendants (?), bien entendu sur le papier mais pas dans les faits.
- Le président Alphonse Massamba-Débat, deuxième président du Congo-Brazzaville, est tombé, puis en est mort assassiné, lui aussi, pour avoir osé remettre en cause les mêmes « accords de coopération ».
- Le président Marien Ngouabi, troisième président du Congo-Brazzaville, est mort assassiné, lui aussi, pour avoir osé s'interroger sur la part pétrolière du Congo et sur l'intérêt de ces « accords de coopération » qui n'ont jamais profité à son pays.
- Le président Pascal Lissouba, deuxième président élu démocratiquement au suffrage universel, en a fait les frais, non à cause de sa bonne ou mauvaise gouvernance, mais pour avoir gêné la puissance tutrice du Congo, la France , dans le pillage du pétrole congolais. Les développements ci-devant en sont l'explication.
- L'Abbé Barthélémy Boganda (Photo), premier président de la République Centrafricaine , anciennement Oubangui-Chari sous la colonisation, le premier de tous ces suppliciés, est mort assassiné pour avoir, dès la première heure, dénoncé et remis en cause les mêmes accords.
- Le président François Tombalbaye, du Tchad, est lui aussi mort assassiné pour n'avoir plus satisfait honorablement le « Pacte colonial » qui consacre les intérêts de la France. Entendez « les accords de coopération » des années 1960.
- Le président Thomas Sankara, du Burkina Faso, très jeune, en a été victime, lui aussi. Le « Rectificateur » est passé par là.
- Très récemment encore, le président Laurent Gbagbo, président de la République de Côte d'Ivoire, a connu les déboires que l'on sait, parce que, lui aussi, a eu le toupet de dénoncer et remettre en cause les mêmes accords de « coopération » entre la France et son pays.
Cette liste n'est pas exhaustive, car celui qui n'obéit pas, ne se plie ou n'accepte pas les règles de la Françafrique et n'applique pas le diktat du Pacte colonial, celui-là est soit mort assassiné, soit chassé du pouvoir par tous les moyens, même violents.
Liste exhaustive des dirigeants africains qui n'ont pas respecté le "pacte colonial" et en ont payé le prix.
- Le président Fulbert Youlou, premier président de la République du Congo-Brazzaville (ancien Moyen-Congo sous la colonisation française), est tombé, limogé par coup d'État en 1963, peu après avoir dénoncé à la tribune des Nations Unies, en 1961, les prétendus Accords de coopération entre la France et les États africains fraîchement devenus indépendants (?), bien entendu sur le papier mais pas dans les faits.
- Le président Alphonse Massamba-Débat, deuxième président du Congo-Brazzaville, est tombé, puis en est mort assassiné, lui aussi, pour avoir osé remettre en cause les mêmes « accords de coopération ».
- Le président Marien Ngouabi, troisième président du Congo-Brazzaville, est mort assassiné, lui aussi, pour avoir osé s'interroger sur la part pétrolière du Congo et sur l'intérêt de ces « accords de coopération » qui n'ont jamais profité à son pays.
- Le président Pascal Lissouba, deuxième président élu démocratiquement au suffrage universel, en a fait les frais, non à cause de sa bonne ou mauvaise gouvernance, mais pour avoir gêné la puissance tutrice du Congo, la France , dans le pillage du pétrole congolais. Les développements ci-devant en sont l'explication.
- L'Abbé Barthélémy Boganda (Photo), premier président de la République Centrafricaine , anciennement Oubangui-Chari sous la colonisation, le premier de tous ces suppliciés, est mort assassiné pour avoir, dès la première heure, dénoncé et remis en cause les mêmes accords.
- Le président François Tombalbaye, du Tchad, est lui aussi mort assassiné pour n'avoir plus satisfait honorablement le « Pacte colonial » qui consacre les intérêts de la France. Entendez « les accords de coopération » des années 1960.
- Le président Thomas Sankara, du Burkina Faso, très jeune, en a été victime, lui aussi. Le « Rectificateur » est passé par là.
- Très récemment encore, le président Laurent Gbagbo, président de la République de Côte d'Ivoire, a connu les déboires que l'on sait, parce que, lui aussi, a eu le toupet de dénoncer et remettre en cause les mêmes accords de « coopération » entre la France et son pays.
Cette liste n'est pas exhaustive, car celui qui n'obéit pas, ne se plie ou n'accepte pas les règles de la Françafrique et n'applique pas le diktat du Pacte colonial, celui-là est soit mort assassiné, soit chassé du pouvoir par tous les moyens, même violents.