Les entreprises voyou en Afrique
(La reprise totale des Travaux de RAZEL au Burkina Faso est lancé le 15/11/2012; Un sous développement inacceptable de 300 km de route bitumée pour un PPTE). Résumé : Le bâclage des travaux BTP au Burkina Faso tue plus que le SIDA, un terrorisme international routier dans les pays Africains. Après le Cameroun se fût le tour du Burkina Faso avec Razel et Cie. ·Les eaux stagnantes en putréfaction constante dans les canaux et les bassins de rétention, en plein centre-ville, sont touristiquement admirables à Ouagadougou comme celles du canal du Moogho Naaba à Ouidi.
Les projets d’aménagement des quartiers
périphériques, du Maire Simon Compaoré, prévoient que ce canal sera
allongé pour augmenter la quantité, inévitable, des eaux stagnantes
actuelles si rien n’est fait pour éliminer les freins qui occasionnent
cette stagnation. Les travaux actuellement en cours dans la forêt du
Bagr Weogo ne seront pas la solution. Un diagnostic technique permettra
d’évacuer les eaux pourries de ce canal et de libérer toute la ville de
Ouagadougou.
· Il faudrait que les décideurs sachent, une bonne fois pour toute,
qu’un ouvrage d’assainissement des eaux pluviales doit être toujours
vide et sec. Et s’il ne l’est pas comme le canal de Ouidi, c’est qu’il y
a un ou des freins en quelques parts à découvrir et à éliminer ; les
travaux actuels en cours au Bangr Wéogo qui seront la solution.
· Les dégradations précoces, de l’avenue de la liberté de Ouagadougou,
ne sont pas dues aux infiltrations ou exfiltrations de la nappe
phréatique annoncée d’ailleurs connue du Bureau d’étude qui a proposé sa
technique de construction de cette route. Je sais par expérience de
tels comportements de la chaussée et j’ai bien peur que toute cette
route soit à reprendre si d’autres endroits se descellent identiques. Un
audit technique s’impose pour un résultat d’analyse plus précis et une
méthode de reprise des travaux moins onéreux.
· La caracolade au mépris de la connaissance scientifique sécuritaire de
la construction de nos routes doit prendre fin. La route est un bien
commun national et international. Enrichissons-nous de nos différences.
· Le Burkina Faso mérite beaucoup plus que çà et a aujourd’hui et plus
que jamais besoin de créer un service de contrôle d’état des études
routières où toutes les études y passeront aux peignes fins.
· Si l'intelligence c'est prévoir, une bêtise ne se recommence pas et
c'est la raison du besoin de diagnostic ou audits techniques avant tout
début des nouveaux travaux pour éviter que les mêmes causes ne
produisent les mêmes effets.
· Si le travail est tant bâclé au Burkina Faso, nous risquons de
recommencer tous nos acquis. Notre patrimoine routier souffre
d’insuffisances techniques et chroniques en évacuation des eaux
pluviales.
· J’étais convaincu du mauvais travail de Razel et c’est pourquoi j’ai
promis donner ma langue à arracher avec un double crochet métallique
flambé, comme autant du Nazisme Hitlérien, si cette route de Razel
tenait bon ; j’en ai souffert et elle n’a pas tenu ; je réclame
réparations des préjudices subits.
· S’il y a un peu de justice au pays des Hommes intègres, je suis à
même, aujourd’hui, en droit de réclamer réparations judiciaires, pour
multiples atteintes aux droits humains sur ma personne, aggravées par
une escroquerie en bande organisée au Burkina Faso (cf les articles
Sidwaya 4864 du 22/10/2003, n°4881 du 14/11/2003, n°5361 du 03/08/2005 -
réactions MITH du 16/08/2005 et Journal Opinion n° : 409 du 10 au
16/08/2005, n° : 5370 du 16 août 2005 etc…).
· Toute reprise est un échec, un sous-développement, un recul du
progrès, un obstacle au développement durable, une déception cuisante à
éviter dans un pays pauvre très endetté (PPTE).
· L’Afrique est phagocytée, dans son développement, par le manque de cet
honneur de démission libératrice. Lire tout l’article dans Camer.be…
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Avec le lancement des travaux de la route Sakoinsé-Boromo le 15 Novembre
2012; l’Etat Burkinabé reconnait aujourd’hui et enfin l’échec des
prestations totales de Razel au Burkina Faso.
Le pourquoi des dégradations précoces et comment a-t-on pu bâcler de cette façon la construction de cette route nationale Sakoinsé-Boromo-Bobo longue de 300 km?
La construction de toute route bitumée reprise avant délais de vieillissement dans un pays enclavé où le transport routier demeure le mode de transport le plus sollicité pour son approvisionnement à l'import mais aussi à l'export, est un sous développement en exécution.
Malheureusement quant on réussit à détruire techniquement, sur le terrain, ce qui a été durement acquis en amont en matière de financement c’est que le progrès de notre devise piétine avec des raisons acceptables que par les analphabètes routiers. Parce qu’il est incompréhensible qu’une route à peine terminée doit être reprise à 100%.
Ainsi avec ce lancement des travaux routiers de la
Nationale n°1 toute la prestation de Razel: de Sakoinsé à Bobo en
passant par Boromo est à reprendre entièrement, le colmatage même à
grandes échelles ne suffisent plus. Ce qui prouve tout de même que son
travail a été mauvais, très mauvais pour être accepté. Et il faut être
un analphabète dans la technique routière pour parrainer, superviser et
financer de bout en bout cette médiocrité de Razel dans notre pays bien
aimé.
Diagnostic ou audits techniques indispensables avant tout début des nouveaux travaux :
Route de Bobo-Dioulasso quelques temps après la finition des travaux
Un diagnostic ou audit technique était indispensable avant tout début
des nouveaux travaux. Ce diagnostic donnera matière à réflexion pour
tous ceux qui interviendront, dans les futurs travaux similaires ici ou
ailleurs car nous sommes citoyens de cette planète Terre où tout
intéresse tout le monde même et surtout dans le domaine routier.
J’étais convaincu du mauvais travail de Razel et c’est pourquoi j’ai promis donner ma langue à arracher avec un double crochet métallique flambé, comme autant du Nazisme Hitlérien, si cette route de Razel tenait bon ; j’en ai souffert et elle n’a pas tenu ; je réclame réparations des préjudices subits.
Nos bureaux d’études sont capables de belles démonstrations faites sur papier, pour que nos routes soient des meilleurs, mais elles ne sont pas, en fin de compte, ce qui est réalisé sur le terrain. Une insuffisance chronique en assainissement eaux pluviales semble mettre toutes nos routes en déroute à reprendre. Si le travail est tant bâclé, nous risquons de recommencer tous nos acquis depuis des décennies. Notre patrimoine routier souffre d’insuffisances techniques et chroniques en évacuation des eaux pluviales.
La spécialité de projeteur VRD est très peu connue au Burkina Faso sinon comment comprendre que Ouagadougou soit menacée d’inondations alors que des caniveaux non fonctionnels continuent de se creuser au mépris de cette science de l’assainissement eaux pluviales (E.P.).
Les eaux remontent, à travers les ouvrages et y restent stagnantes toute l’année avec parfois même des pentes inverses, en centre - ville.
Sans cette épreuve de diagnostic, d’audits
techniques et de corrections les mêmes causes produiront inévitablement
les mêmes effets. C’est un sujet suivi avec intérêt par Monsieur Richer
qui a souvent été sollicité par les bailleurs de fonds pour les travaux
routiers financés au Burkina Faso : 4ème projet routier etc...(cf
Indépendant n° 654 du 21/03/2006)
Selon toujours M. Jean Richer, les travaux de la RN1 ont été ordonnés et
programmés dans l’intérêt de faire du chiffre au mépris des
recommandations techniques des bailleurs de fonds ; il y ait mentionné
que l’état de la RN1 tenait encore bon après trente (30) années de
services rendus malgré les surcharges (dixit Jean Richer).
Le Burkina Faso mérite mieux que çà c’est pourquoi il faut penser à la réalisation graduelle de nos routes d’une part ; et d’autres parts en ne permettant pas la reprise annuelle même d’une piste rurale en terre pour non maîtrise d’évacuation des eaux pluviales ; principales causes des dégâts ou dégradations précoces de nos infrastructures routières.
Toute reprise d’une infrastructure routière est un sous-développement inacceptable dans un pays pauvre très endetté (PPTE).
Mais malheureusement, l’assainissement eaux pluviales (EP) ou l’évacuation des eaux de pluies est absent et n’est pas prévu au programme de stratégie nationale d’assainissement du Burkina Faso adopté en conseil des ministres du 4 juillet 2007 actuellement en vigueur (cf. arrêté conjoint ci-dessous indiqué).
Le ministère ne connaît que les ressources en eaux d’une part et d’autre part l’assainissement individuel, collectif et semi collectif des eaux usées et excréta. N’oublions pas qu’une eau dormante est aussi une ordure polluante, constats à travers les canaux en centre ville de Ouagadougou, à évacuer en protection sanitaire de la population.
Les détenteurs d’agréments, pour les études V.R.D (Voirie et Réseaux Divers) où il y a justement besoin d’évacuation des eaux pluviales, s’efforcent à exercer et s’exercent dans un domaine qu’ils ne maîtrisent pas ou mal; les résultats sont très catastrophiques sur le terrain, financièrement et budgétairement hémorragiques pour rien. L’homme ne peut parler que de ce qu’il sait et pas autrement. C’est aussi çà la contribution constructive dans un pays.
Aussi, cette stratégie nationale d’assainissement dont l’arrêté conjoint n° : 2008 0043/MAHRH/MEF du 8 août 2006 mérite une révision complémentaire additionnelle par l’évacuation des eaux pluviales indésirables qui sont aussi ordures à assainir si cela n’est pas encore fait.
Des intelligences de préférence nationale, dans ce domaine précis de notre développement durable, sont à découvrir pour la bonne tenue de nos voiries. Et ce pour oublier le triste souvenir de Razel et des inondations du 1er septembre 2009.
Cette entreprise Razel et son contrôle bureau
d’études DIWI sont malheureusement toujours présents dans les esprits.
Les 100% des travaux de cette entreprise sont mauvais à reprendre et les
55% entre Bobo-Dioulasso et Boromo ont été déjà repris entièrement
sitôt la fin des travaux, ce qui prouve tout de même que le M. Yaro
Kouamé Marcel n’a pas menti en sont temps.
· S’il y a un peu de justice au pays des Hommes intègres, M. Yaro est
même aujourd’hui en droit de réclamer réparations judiciaires, pour
multiples atteintes aux droits humains sur sa personne, aggravées par
une escroquerie en bande organisée au Burkina Faso (cf les articles
Sidwaya n°4864 du 22/10/2003, n°4881 du 14/11/2003, n°5361 du 03/08/2005
- réactions MITH du 16/08/2005 et Journal Opinion n° : 409 du 10 au
16/08/2005, Sidwaya n° : 5370 du 16 août 2005 etc…etc…).
Toute reprise d’une infrastructure est un échec, un sous-développement, un recul du progrès, un obstacle au développement durable, une déception cuisante à éviter dans un pays pauvre très endetté (PPTE).
Les efforts de créations de richesses, de nos plus
hautes autorités de l’Etat, sont des acquis qui se perdent sur nos
routes ou voiries urbaines. Ainsi, entre les entreprises qui exécutent
sans comprendre par ignorance technique, des travaux à eux confiés, et
les cabinets ou bureaux d’études techniquement insuffisants, dans cet
art d’évacuer les eaux pluviales, les dégâts sont énormes, très énormes
sur le terrain et nos routes seront toujours en piteux états à
reprendre.
Le développement durable tant souhaité dure-t-il encore dans ces
conditions ? Pas si sure. Pour éviter que notre développement durable
tant espéré ne titube, vacille pour finir par stagner comme une eau
dormante avec ses conséquences incalculables ci-dessus indiquées, une
correction s’impose, à ce niveau. C’est là où la culture de l’excellence
par la démocratie a son sens.
Si une autorité reconnait et accepte que les tri couches réalisées sur
le terrain entre Boromo-Bobo sont d'une épaisseur de 2,5 cm alors que la
seule première couche devait être supérieure à cette épaisseur. pour la
simple raison que l'épaisseur du gravillon concassé utilisé pour cette
première couche devait être un calibrage de 25/15 soit 1,5 cm mini à 2,5
cm maxi. Alors les deux autres couches restantes, intercalées de bitume
400/600, si elles ne manquent pas à l'appel doivent donc faire zéro
(0). Voilà le niveau de notre Docteur d’Etat éclaté en plein jour.
L’Afrique est phagocytée, dans son développement, par le manque de cet
honneur de démissions libératrices.
Si les points de vue, les communiqués de presse, les conférences de presse, les entretiens avec les journalistes, les débats d'opinion etc, ont défrayé la chronique depuis de longs mois avec pour résultat heureux positif, à l'honneur de tous les Burkinabè pour la reprise de tous les travaux de RazeI sur notre nationale n°1, c'est bien grâce au journal Sidwaya, par l'article déclencheur n°4864 du 22/10/2003,
La pensée unique, exclu même Dieu, n’est pas démocratique et n’a jamais construit une société.
C'est pourquoi notre démocratie est exemplaire par les points de vue, la liberté d'opinion, la liberté d'informer, la liberté de pensée, le droit à l'information, le droit de penser etc.. et bref, toutes les raisons d'existence des médiats écrits de la place au Burkina Faso. Ainsi peut-on croire que pas d'opinion pas de démocratie, pas de liberté de pensée, pas de point de vue, ainsi de suite. C'est ainsi aussi que doit être compris une démocratie. Et plus loin la démocratie n’est qu’une étape franchissable vers la conscience nationale.
Si l'intelligence c'est prévoir, une bêtise ne se recommence pas et c'est la raison du besoin de diagnostic avant tout début des nouveaux travaux pour éviter que les mêmes causes ne produisent les mêmes effets. Et apparemment les mêmes causes vont produire inévitablement les mêmes effets si un enduit superficiel tri couche doit être maintenu à 2,5 cm d'épaisseur comme le reconnaît exacte à répétition le MITH sur la route Boromo-Bobo en son temps.
Le manque d'opinion est une phagocytose, un virus mortel de la démocratie pour la pensée unique. La liaison inconditionnelle par phagocytose naturelle ou provoquée n'est pas démocratique. Le Burkina Faso est démocratique ou ne l'est pas mais pas les deux à la fois. Mais si jamais la phagocytose est démocratique au Faso, alors elle facilite les coups bas inattendus, alimentés par l'hypocrisie que l'on a soi-même installée. L'ennemi de notre stabilité est bel et bien la phagocytose, culture de l'hypocrisie : crier haut et fort ce qu’on n’est pas ou même jamais été.
Le code génétique burkinabé est connu intègre. Un intègre est un intègre qui ne se nourrit pas au recto et verso. On ne peut pas facilement changer une nature génétiquement bien faite et c'est pourquoi l'homme se fait toujours prendre dans son propre piège. Comme le dit feu le Pr Joseph Ki-Zerbo "Dans la course de vitesse contre la vérité, il arrive toujours un moment où une voix intarissable s'élève dans la foule pour clamer: Le Roi est nu !" Quel scandale.
C'est pourquoi empêcher la liberté d'opinion, la liberté de s'exprimer, la liberté d'informer, les points de vue, le droit à la pensée etc, c'est refuser de suivre sa ligne de conduite directrice préétablie et c'est un suicide, détruire son droit d'exister. Un journaliste est un journaliste; il n'est pas un plombier ni un pompier et le journalisme n'incorpore pas, malheureusement, toutes les connaissances universelles.
Il est malheureusement insupportable financièrement, par nos organes de presse, de posséder tous les corps de métier.
Nos routes en revêtements bi ou tri couches doivent désormais être bien
faites capables de respecter les délais de vieillissement de (20) vingt
ans et non (4) quatre mois : une caracolade au mépris de la connaissance
scientifique sécuritaire de la construction de nos routes. La route est
un bien commun national et international. Enrichissons-nous de nos
différences.
Tout spécialiste en VRD, digne de ce nom, voit cette ville de Ouagadougou qui se développe, certes, mais dangereusement et de manière désharmonieuse. Le schéma directeur pêche-t-il en quelques parts ? La population de Ouagadougou, en tout cas, se retrouve progressivement piégée, victime d’une insuffisance de vision scientifique et technique dans le domaine du macro drainage de cette ville. La qualité de la vie s’y dégrade au fil des ans.
Les eaux stagnantes en putréfaction constante dans
les canaux et les bassins de rétention, en plein centre-ville, sont
touristiquement admirables à Ouagadougou comme celles du canal du Moogho
Naaba à Ouidi. Les projets d’aménagement des quartiers périphériques,
du Maire Simon Compaoré, prévoient que ce canal sera allongé, en amont,
pour augmenter la quantité, inévitable, des eaux stagnantes actuelles si
rien n’est fait pour éliminer les freins qui occasionnent cette
stagnation. Les travaux actuellement en cours dans la forêt du Bagr
Weogo ne seront pas la solution. Un diagnostic technique permettra
d’évacuer ces eaux pourries de ce canal et libérer toute la ville de
Ouagadougou d’une éventuelle future inondation.
Il faudrait que les décideurs sachent, une bonne fois pour toute, qu’un
ouvrage d’assainissement des eaux pluviales doit être toujours vide et
sec. Et s’il ne l’est pas, c’est qu’il y a un ou des freins découvrir et
à éliminer. Nous attendons ces corrections depuis plus de dix (10) ans
jusqu’au jour du 1er Septembre date des inondations. Et les futures
travaux des quartiers périphériques n’incorpore pas encore le volet
recherche et élimination des freins responsables des stagnations d’eaux
pourries en centre ville de Ouagadougou dû à cette carence de la science
évacuatrice des eaux pluviales. On va encore creuser en désordre sans
résultat positif.
L’épée de Damoclès plane sur nos têtes, des
risques d’épidémies mortelles sont prévisibles et que le ministère de la
Santé ne pourra jamais dominer, tant que les causes profondes de ces
stagnations des eaux pourries ne seront pas descellées et éliminées. La
ville de Ouagadougou est donc superficiellement propre ; elle n’est pas
propre, elle est malpropre. Des forets de bactéries y attendent le
levain d’émulsion pour les dégâts humains à grande échelle.
Devrions-nous nous contenter de regarder ces beaux échangeurs et mourir
d’un jour à l’autre victime d’une insuffisance élémentaire comme
l’évacuation des eaux pluviales de nos cités?
Les effets climatiques ont eu raison sur les arbres caïlcédrats qui,
eux, ont commencé à mourir et sont taillés fièrement en œuvres d’art
sans chercher à savoir pourquoi ils meurent. La nature, notre
environnement n’est pas satisfait de comment il est géré à Ouagadougou.
Pour revenir sur nos routes, nous ne pouvons plus
continuer à absorber ces insuffisances chroniques qui conduisent tout
droit le Burkina Faso à reprendre systématiquement tous ses travaux
routiers et de VRD, comme Boromo-Bobo.
Tous les grands chantiers routiers menacent ruinent car l’évacuation des
eaux pluviales doit être maîtrisée au Burkina Faso pour éviter les
maintes reprises désagréables et douloureuses.
Mais chacun dans sa minuscule petite parcelle de responsabilité dira toujours à qui veut l’entendre : "on a pensé à ceci, on a pensé à cela". Mais la réalité est que si le médecin est après la mort, c’est que l’on n’a jamais rien pensé à temps. Nous sommes maintenant dans un monde où le chef de village n’est plus analphabète et que l’électeur est aussi sinon plus connaisseur que l’éligible en présence. D’autres formes de politiques seront-elles nécessaires pour les futurs gouvernants des hommes évolués ?
Le suivisme inconditionnel et aveugle est maintenant terminé ou s’évanouit progressivement pour laisser la place à l’analyse du verbe avant la croyance à l’adhésion. Les dégradations précoces, de l’avenue de la liberté de Ouagadougou, ne sont pas dues aux infiltrations ou exfiltrations annoncées de la nappe phréatique connue du Bureau d’étude qui a proposé sa technique de construction de cette route. Je sais par expérience de tels comportements de la chaussée et j’ai bien peur que toute cette route ne soit à reprendre si d’autres endroits se descellent identiques. Un audit technique s’impose pour un résultat d’analyse plus précis et une méthode de reprise des travaux moins onéreux. Le Burkina Faso mérite beaucoup plus que çà et a aujourd’hui et plus que jamais besoin de créer un service de contrôle d’état des études routières où toutes les études y passeront aux peignes fins.
Yaro Kouamé Marcel
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