Les bendskin remercient le Chef de l’Etat
Yaoundé, 04 Mars 2013
© Jean Francis BELIBI | Cameroon Tribune
Une imposante marche de soutien a eu lieu vendredi dernier sous le regard du ministre, secrétaire général de la présidence de la République, son représentant personnel. « Ossoko », « Ngang », « Gassa O’ssoko », « Nasom », « M’e Yaa », « Ngaping », « Akeva », « Naromi ».
Une imposante marche de soutien a eu lieu vendredi dernier sous le regard du ministre, secrétaire général de la présidence de la République, son représentant personnel. « Ossoko », « Ngang », « Gassa O’ssoko », « Nasom », « M’e Yaa », « Ngaping », « Akeva », « Naromi ». Ces mots ou groupes de mots sont autant de façons de dire merci dans les langues des dix régions du Cameroun. Pour les conducteurs de motos-taxis, communément appelés « Bendskin », il n’y avait pas mot plus grand pour traduire leur gratitude au président de la République à la suite de son important message à la jeunesse le 10 février dernier. Pour le faire, c’est par milliers qu’ils ont déferlé très tôt vendredi matin au Boulevard du 20 mai, venant des dix régions du Cameroun. Bravant ainsi le lourd soleil qui a dardé ses rayons sur la capitale camerounaise. Pour mieux témoigner leur attachement aux institutions républicaines et à la personne du chef de l’Etat, ils ont organisé une marche de soutien qui les a conduits jusqu’à Emana, au lieu-dit « Carrefour du palais ». Pour les y accueillir, le ministre, secrétaire général de la présidence de la République, représentant personnel du chef de l’Etat, Ferdinand Ngoh Ngoh, entourés pour la circonstance de nombreux membres du gouvernement et des représentants de la grande famille Etoudi sous la conduite de son patriarche, Laurent Serge Etoundi Ngoa.
A ces milliers de jeunes, Ferdinand Ngoh Ngoh a traduit les remerciements et les encouragements du président de la République: «je puis vous dire que le chef de l’Etat a été très sensible à l’organisation de cette manifestation. Et il le sera encore plus lorsque je lui dirai à quel point vous étiez nombreux … Il est pleinement conscient du courage dont vous faites preuve tous les jours pour faire vivre vos familles respectives … Le président de la République reconnaît le rôle social éminent qui est le vôtre … Il m’a dit de vous dire: soyez fiers de ce que vous êtes, soyez fiers de ce vous faites. » Rappelant à ses interlocuteurs les instructions fermes données par le président de la République dans son message à la Jeunesse le 10 février dernier pour une amélioration des conditions de travail des conducteurs de motos-taxis, le ministre, secrétaire général de la présidence de la République a indiqué que: « cette œuvre salvatrice ne sera toutefois possible que si vous décidez de prendre toute votre part dans ce combat. » Puis, il s’est voulu plus pédagogue: «Le président de la République vous considère comme des responsables. Comportez-vous comme des responsables. Etre responsables signifie que vous devez respecter les lois et règlements de la République, le code de la route, le port des casques. On ne vous le demande pas pour vous brimer, car une société ne peut fonctionner sans règles … Faites bien votre travail. » Des conseils qui ne sont pas tombés dans des oreilles de sourds, au regard des engagements pris par les conducteurs de motos-taxis dans la motion de soutien au chef de l’Etat, lue par leur président national, René Ntonefor K. Nguimo.
© Jean Francis BELIBI | Cameroon Tribune
Une imposante marche de soutien a eu lieu vendredi dernier sous le regard du ministre, secrétaire général de la présidence de la République, son représentant personnel. « Ossoko », « Ngang », « Gassa O’ssoko », « Nasom », « M’e Yaa », « Ngaping », « Akeva », « Naromi ».
Une imposante marche de soutien a eu lieu vendredi dernier sous le regard du ministre, secrétaire général de la présidence de la République, son représentant personnel. « Ossoko », « Ngang », « Gassa O’ssoko », « Nasom », « M’e Yaa », « Ngaping », « Akeva », « Naromi ». Ces mots ou groupes de mots sont autant de façons de dire merci dans les langues des dix régions du Cameroun. Pour les conducteurs de motos-taxis, communément appelés « Bendskin », il n’y avait pas mot plus grand pour traduire leur gratitude au président de la République à la suite de son important message à la jeunesse le 10 février dernier. Pour le faire, c’est par milliers qu’ils ont déferlé très tôt vendredi matin au Boulevard du 20 mai, venant des dix régions du Cameroun. Bravant ainsi le lourd soleil qui a dardé ses rayons sur la capitale camerounaise. Pour mieux témoigner leur attachement aux institutions républicaines et à la personne du chef de l’Etat, ils ont organisé une marche de soutien qui les a conduits jusqu’à Emana, au lieu-dit « Carrefour du palais ». Pour les y accueillir, le ministre, secrétaire général de la présidence de la République, représentant personnel du chef de l’Etat, Ferdinand Ngoh Ngoh, entourés pour la circonstance de nombreux membres du gouvernement et des représentants de la grande famille Etoudi sous la conduite de son patriarche, Laurent Serge Etoundi Ngoa.
A ces milliers de jeunes, Ferdinand Ngoh Ngoh a traduit les remerciements et les encouragements du président de la République: «je puis vous dire que le chef de l’Etat a été très sensible à l’organisation de cette manifestation. Et il le sera encore plus lorsque je lui dirai à quel point vous étiez nombreux … Il est pleinement conscient du courage dont vous faites preuve tous les jours pour faire vivre vos familles respectives … Le président de la République reconnaît le rôle social éminent qui est le vôtre … Il m’a dit de vous dire: soyez fiers de ce que vous êtes, soyez fiers de ce vous faites. » Rappelant à ses interlocuteurs les instructions fermes données par le président de la République dans son message à la Jeunesse le 10 février dernier pour une amélioration des conditions de travail des conducteurs de motos-taxis, le ministre, secrétaire général de la présidence de la République a indiqué que: « cette œuvre salvatrice ne sera toutefois possible que si vous décidez de prendre toute votre part dans ce combat. » Puis, il s’est voulu plus pédagogue: «Le président de la République vous considère comme des responsables. Comportez-vous comme des responsables. Etre responsables signifie que vous devez respecter les lois et règlements de la République, le code de la route, le port des casques. On ne vous le demande pas pour vous brimer, car une société ne peut fonctionner sans règles … Faites bien votre travail. » Des conseils qui ne sont pas tombés dans des oreilles de sourds, au regard des engagements pris par les conducteurs de motos-taxis dans la motion de soutien au chef de l’Etat, lue par leur président national, René Ntonefor K. Nguimo.