Le Président Gambien aux homosexuels: «Si on vous prend, vous regretterez d’être nés»
YAOUNDE - 02 MAI 2013
© Peter KUM | Cameroon-Info.Net
Yahya Jammeh a été tres ferme envers les homosexuels devant le parlement gambien
Alors que le reste du monde débat sur le mariage des personnes du même sexe, le discours n’est pas le même en Gambie.
En fin de semaine dernière, devant le Parlement de Banjul, le président gambien, Yahya Jammeh, a exprimé son ressenti sur les homosexuels. Pendant son discours, il a déclaré officiellement que gays et lesbiennes ne sont pas autorisés à fouler le sol de la Gambie. Même traitement pour les touristes en vacances dans le pays.
Selon le président, les homosexuels seront by Text-Enhance">immédiatement emprisonnés dans les prisons de femmes. Il ajoute que l’homosexualité est contraire à Dieu, que cela ne respecte pas les principes d’humanité et de civilisation. Il ajoute qu'il souhaite que beaucoup d’enfants naissent en Gambie et qu’il refuse l’homosexualité.
Enfin, il termine par une menace d’une extrême violence: «Si on vous attrape, vous regretterez d’être nés».
© Peter KUM | Cameroon-Info.Net
Yahya Jammeh a été tres ferme envers les homosexuels devant le parlement gambien
Alors que le reste du monde débat sur le mariage des personnes du même sexe, le discours n’est pas le même en Gambie.
En fin de semaine dernière, devant le Parlement de Banjul, le président gambien, Yahya Jammeh, a exprimé son ressenti sur les homosexuels. Pendant son discours, il a déclaré officiellement que gays et lesbiennes ne sont pas autorisés à fouler le sol de la Gambie. Même traitement pour les touristes en vacances dans le pays.
Selon le président, les homosexuels seront by Text-Enhance">immédiatement emprisonnés dans les prisons de femmes. Il ajoute que l’homosexualité est contraire à Dieu, que cela ne respecte pas les principes d’humanité et de civilisation. Il ajoute qu'il souhaite que beaucoup d’enfants naissent en Gambie et qu’il refuse l’homosexualité.
Enfin, il termine par une menace d’une extrême violence: «Si on vous attrape, vous regretterez d’être nés».