Le Dr Vincent-Sosthène FOUDA face aux « hussards de la républiquette »
Le Dr Vincent-Sosthène FOUDA face aux « hussards de la républiquette » dans l’affaire Vanessa Tchatchou !
Dans la grande nuit qui étend son manteau ténébreux sur le Cameroun, la voix de Vincent-Sosthène FOUDA s’élève au- dessus de tous les médisants, des virtuoses des faux-fuyants, ou des bonimenteurs à la petite semaine…qui parcourent les médias camerounais depuis bientôt deux mois. L’image du candidat recalé à la dernière élection présidentielle est à la Une de tous les quotidiens paraissant au Cameroun, ses prises de position sont recherchées et souhaitées par les radios camerounaises et africaines, les médias en ligne ne sont pas en reste ; www.cameroon-info.net ,www.camer.be , www.cameroonvoice.com , www.icicemac.com , www.nkul-beti-camer.org , les chaines de télévision ne sont pas en reste et l’image de l’homme passe aussi bien que son message, il n’en fallait pas plus pour mettre en branle tout l’appareil politique et administratif de Yaoundé.
Les coups pleuvent, les dénonciations de récupération voire de manipulation ! Le nouveau terrain d’expression de Vincent-Sosthène FOUDA est simple ; il s’enracine dans le social ou alors dans l’humanitaire comme le titrait déjà le 14 février Olive Atangana du quotidien L’Actu paraissant dans la capitale camerounaise ; Vanessa est dans tous les lieux de rencontre au Cameroun, dans les taxis, les gargotes et autres débits boissons ; le Parlement Européen n’est pas en reste tout comme la Commission que préside José Manuel Barroso.
Vendredi 2 mars 2012, Vincent-Sosthène FOUDA était invité de 9h à 10h sur la radio panafricaine avec Eugénie Diecky, l’homme est resté incollable et égal à lui-même, il a dénoncé la « république des petits arrangements » qui muselle les pauvres, kidnappe les enfants et reste sourd au cri du peuple. Vincent-Sosthène FOUDA se présente tour à tour comme un simple universitaire qui fait son travail, un catholique pratiquant qui questionne la hiérarchie des religions présentes au Cameroun.
En matière de foi, il dit cependant « marcher avec le peuple de croyants ni comme savant ni comme exégète » et dit être convaincu que « sa foi n’a jamais arrêté la progression » de sa pensée voilà qui justifie la lettre ouverte qu’il adresse à l’archevêque métropolitain de Yaoundé le 10 février 2012. L’archevêque et son entourage ont tenté de reprendre la main dans ce pays où 98% de la population affirme être d’une confession religieuse, en vain ! Le coup de Vincent-Sosthène FOUDA a porté au point d’obliger les prêtres catholiques à parler du vol du bébé de Vanessa Tchatchou dans les chapelles le dimanche. Pour le Père Cyprien Etoa de la Paroisse Christ Roi de Tsinga, « Vincent-Sosthène Fouda a replacé en nous la grandeur de l’évangile social ».
La méthode Vincent-Sosthène FOUDA est donc un refus de promesses lancées à tout-va dans un pays où les frustrations sont nombreuses, il rame d’ailleurs à contre-courant puisqu’aujourd’hui il est le seul homme politique à trouver "La biométrie du fichier électoral est une véritable duperie politique. Il faut d'abord biométriser l'état-civil pour le sécuriser. C'est l'acte de naissance qui permet d'établir la pièce d'identité qui va permettre de faire une carte d'électeur. C'est lui qui doit être sécurisé. C'est lui qui va donc sécuriser la carte d'électeur" comme on peut le lire sur http://koaci.com/articles-73356.
Vincent-Sosthène FOUDA porte aujourd’hui à bras le corps Vanessa Tchatchou qu’il dit « sécuriser »
et va porter son combat si une solution n’est pas trouvée rapidement au
Congrès Américain et à la Chambre des Députés du Canada. Pour ceux qui
lui font le reproche de faire de la récupération politique pour polir
son image il répond qu’il est au-dessus des intérêts partisans, il
s’indigne contre l’acharnement médiatique qui tente non pas de le
discréditer lui, mais le combat de Vanessa. Vincent-Sosthène FOUDA
demande à ses adversaires un débat d’idée pour faire avancer le Cameroun
et non un débat entre homme avec des coups en dessous de la ceinture
pour maintenir le statu quo et le peuple dans l’ignorance pour une « belle republiquette ».
Flore Nwassik