Le Dp de La Nouvelle bientôt poursuivi pour avoir fraudé le montant d’un chèque que lui avait fait, beaucoup trop aveuglement, le milliardaire Baba Hamadou Danpullo.
Les événements semblent s’accélérer contre le sieur Jean Blaise Mvié. Votre journal a appris d’une source bancaire qu’une plainte pour faux en écriture court depuis hier mardi contre ce journaliste d’un autre genre.
Notre édition n° 483 aurait servi de détonateur à une action judiciaire contre le Dp de la Nouvelle. En effet, La Météo de lundi dernier révélait à son lectorat comment Mvié procéda pour gonfler illicitement la valeur d’un chèque que lui avait remis, sans contrepartie, l’opérateur économique Baba Hamadou Danpullo. Les autorités de la banque où le chèque fraudé a été encaissé auraient, à la suite de nos révélations, décidé de saisir la justice afin de dissuader toute personne, notamment les jeunes gens, chez qui les «exploits» du patron de La Nouvelle pourraient susciter des vocations.
En rappel, et pour ceux de nos lecteurs qui n’ont pas pu lire notre très demandée édition du 04 janvier, nous reprenons l’extrait y afférent : «par une journée de l’année 2012, l’intrigant Mvié va trouver son ami milliardaire, Baba Hamadou Danpullo, et lui confie ses difficultés financières. Ne disposant pas de liquidités séance tenante, l’influent opérateur économique lui tire un chèque portant uniquement, en chiffres, la somme de 400.000 Fcfa.
Le milliardaire allait amèrement regretter cette confiance trop aveugle, car avant de se rendre au guichet de la banque, le désargenté Mvié, à l’aide d’une encre similaire, ajoutera un zéro à droite, ce qui donnera au chèque une valeur de 4 millions. Le banquier n’y verra que du feu : l’homme en face de lui, comme le tristement célèbre Madoff, dégage une forte assurance et beaucoup de sérieux. Lorsqu’il découvre la supercherie, le très naïf Danpullo tombe des nues et passe un coup de fil rageur au Dp de La Nouvelle. L’escroc, après une honteuse tentative de justification, va platement reconnaitre son coup tordu. Il sollicite un arrangement à l’amiable, promet de rembourser d’une manière ou d’une autre le trop perçu.»