Intox: Des pervers aux trousses d'Alamine Ousmane Mey
Yaoundé, 21 novembre 2012
© René Atangana | La Météo
Des forces obscurantistes accentuent leur campagne de dénigrement à l'encontre du Minfi.
Décidément, au Cameroun, lorsqu’un ministre accomplit la mission qui lui a été assignée par le chef de l'Etat avec maestria, des oiseaux de mauvais augure s'acharnent à tout faire pour lui nuire. La preuve? Un hebdomadaire de la place vient d'afficher, en grande couverture : «Alamine Ousmane Mey pour succéder à Paul Biya?»
On n'a pas fini de se demander à qui est posée la question insidieuse que, dans l'article, son auteur présente l'actuel Minfi comme un ancien «Marafiste» reconverti, inexpérimenté en politique, protégé de Germaine Ahidjo, disposant de fortes connexions dans le Grand-Nord et lorgnant le fauteuil de Paul Biya. Pour les observateurs avisés, tout ce manège ne peut être que délation, mieux, une campagne de déstabilisation contre Alamine Ousmane Mey ourdie par des certains pontes du régime, inquiets de voir un jeune et dynamique argentier national, dont l'efficacité et l'ardeur au travail ne sont pas démenties, réussir à la tête d'un département ministériel aussi sensible et stratégique.
Persuadés de ce que le fils de l'ancien gouverneur du Nord a du talent, ses ennemis, qui n'ont manifestement aucun argument technique ou politique à lui opposer, ont choisi de verser dans le dénigrement et déstabilisation tous azimuts. Dans leur machiavélisme, le fait de présenter le Minfi comme un «dauphin», et donc un ennemi de l'intérieur, suffira à le discréditer à obtenir son limogeage dans les meilleurs délais, sans préjudice de tracasseries diverses...
Pourtant, depuis qu'il est à la tête de ce département, le ministère des Finances a cessé d'être la vache à lait des pilleurs de la République. On comprend donc amplement leur mécontentement, doublé d'une hargne à obtenir sa tête par tous les moyens.
Sur le plan politique, des observateurs avisés se souviennent que, lors de la célébration du trentenaire du Renouveau, le 06 novembre dernier Kousseri, Alamine Ousmane Mey avait réussi l'exploit de mobiliser des milliers de militants du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), scandant à cor et à cris le nom de Paul Biya, chef de l'Etat et président national du parti au pouvoir. Cette démonstration de force, cela se voit aujourd'hui, a irrité plus d'un ennemi. Après de brillantes études en Allemagne, Alamine Ousmane Mey va se retrouver à la tête de la direction générale d'Afriland First Bank pendant plusieurs années, avant d'être nommé par le prince à la tête du ministère le plus prestigieux, et sans doute le plus envié, le 09 décembre 2011. Depuis lors, la maîtrise de la dépense publique, le paiement des fonctionnaires et autres agents de l'Etat ou encore le règlement des créances dues à l'Etat, se font sans fioritures. Pour tout dire, les chiens aboient, la caravane passe...
© René Atangana | La Météo
Des forces obscurantistes accentuent leur campagne de dénigrement à l'encontre du Minfi.
Décidément, au Cameroun, lorsqu’un ministre accomplit la mission qui lui a été assignée par le chef de l'Etat avec maestria, des oiseaux de mauvais augure s'acharnent à tout faire pour lui nuire. La preuve? Un hebdomadaire de la place vient d'afficher, en grande couverture : «Alamine Ousmane Mey pour succéder à Paul Biya?»
On n'a pas fini de se demander à qui est posée la question insidieuse que, dans l'article, son auteur présente l'actuel Minfi comme un ancien «Marafiste» reconverti, inexpérimenté en politique, protégé de Germaine Ahidjo, disposant de fortes connexions dans le Grand-Nord et lorgnant le fauteuil de Paul Biya. Pour les observateurs avisés, tout ce manège ne peut être que délation, mieux, une campagne de déstabilisation contre Alamine Ousmane Mey ourdie par des certains pontes du régime, inquiets de voir un jeune et dynamique argentier national, dont l'efficacité et l'ardeur au travail ne sont pas démenties, réussir à la tête d'un département ministériel aussi sensible et stratégique.
Persuadés de ce que le fils de l'ancien gouverneur du Nord a du talent, ses ennemis, qui n'ont manifestement aucun argument technique ou politique à lui opposer, ont choisi de verser dans le dénigrement et déstabilisation tous azimuts. Dans leur machiavélisme, le fait de présenter le Minfi comme un «dauphin», et donc un ennemi de l'intérieur, suffira à le discréditer à obtenir son limogeage dans les meilleurs délais, sans préjudice de tracasseries diverses...
Pourtant, depuis qu'il est à la tête de ce département, le ministère des Finances a cessé d'être la vache à lait des pilleurs de la République. On comprend donc amplement leur mécontentement, doublé d'une hargne à obtenir sa tête par tous les moyens.
Sur le plan politique, des observateurs avisés se souviennent que, lors de la célébration du trentenaire du Renouveau, le 06 novembre dernier Kousseri, Alamine Ousmane Mey avait réussi l'exploit de mobiliser des milliers de militants du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), scandant à cor et à cris le nom de Paul Biya, chef de l'Etat et président national du parti au pouvoir. Cette démonstration de force, cela se voit aujourd'hui, a irrité plus d'un ennemi. Après de brillantes études en Allemagne, Alamine Ousmane Mey va se retrouver à la tête de la direction générale d'Afriland First Bank pendant plusieurs années, avant d'être nommé par le prince à la tête du ministère le plus prestigieux, et sans doute le plus envié, le 09 décembre 2011. Depuis lors, la maîtrise de la dépense publique, le paiement des fonctionnaires et autres agents de l'Etat ou encore le règlement des créances dues à l'Etat, se font sans fioritures. Pour tout dire, les chiens aboient, la caravane passe...