Etudes: Deux ministres à Douala pour faire la pub de la France - Fame Ndongo et Zacharie Perevet en Vrp de Bruno Gain
DOUALA - 20 NOV. 2012
© Adeline TCHOUAKAK | Le Messager
Ambiance à la fois académique et festive jeudi 15 novembre 2012 à l’esplanade de la salle des fêtes d’Akwa. Elèves, étudiants, parents, enseignants, chefs d’entreprises et autorités administratives ont suivi l’ouverture de la première édition du Sapef. Entendu comme, Salon pour la promotion des études françaises. Ce salon initié par Campus France au Cameroun, s’est proposé pendant trois jours, de mettre à la disposition de ses visiteurs qu’il compte parmi les élèves, étudiants et parents, des informations nécessaires sur les possibilités de faire des études en France, les contours de l’obtention d’une bourse pour les études en France, les opportunités d’emploi au Cameroun, des formations délocalisées et co-diplomantes proposées au Cameroun avec des établissements privés mais surtout, faire la promotion de l’enseignement supérieur français. Sur les objectifs de ce salon qui est rendu à sa première édition, le ministre de l’Enseignement supérieur, Jacques Fame Ndongo a tenu à faire des précisions. Il ne s’agit selon lui pas, de regnier les enseignements offerts par le Cameroun via ses Universités et établissements privés mais « d’aller en France chercher des formations qui n’existent pas au Cameroun ». Et une fois la formation terminée, il conseille aux bénéficiaires de revenir au terroir en faire profiter aux compatriotes
L’Ambassadeur de France au Cameroun, Bruno Gain, a entonné le même son de cloche en évoquant l’idée d’une démarche complémentaire. C’est pourquoi, a ajouté Bruno Gain, « on ne prend pour ces études que les personnes qui veulent un master ou doctorat dans des filières qui n’existent pas au Cameroun. Celui qui veut aller en France pour faire une licence en Sociologie par exemple, ne sera pas accepté parce qu’il y’a des Universités au Cameroun qui le font bien ». Le diplomate français rassure concernant les visas que depuis le début de l’année, plus de 80% de visas ont été délivrés aux étudiants camerounais. Ce salon s’inscrit aussi a-t-il déclaré, dans le prolongement d’une convention signée antre Campus France, le Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam) et Entreprise du Cameroun (E-cam) pour la formation professionnelle des étudiants.
Sont retenus pour animer cette édition du Salon pour la promotion des études françaises, 34 Universités, grandes écoles et entreprises. Donc, 18 françaises, 11 camerounaises, 1 inter-état et 4 entreprises. Ces dernières exposeront non seulement leurs offres mais aussi répondront aux préoccupations des visiteurs pendant des ateliers et conférences qui alimenteront ces trois jours d’échange.
© Adeline TCHOUAKAK | Le Messager
Les
ministres de l’Enseignement supérieur et celui de l’Emploi et de la
formation professionnelle se sont joints à l’Ambassadeur de France au
Cameroun et aux autorités administratives de la région du Littoral le 15
novembre 2012 à Douala pour ouvrir le Salon pour la promotion des
études françaises
Ambiance à la fois académique et festive jeudi 15 novembre 2012 à l’esplanade de la salle des fêtes d’Akwa. Elèves, étudiants, parents, enseignants, chefs d’entreprises et autorités administratives ont suivi l’ouverture de la première édition du Sapef. Entendu comme, Salon pour la promotion des études françaises. Ce salon initié par Campus France au Cameroun, s’est proposé pendant trois jours, de mettre à la disposition de ses visiteurs qu’il compte parmi les élèves, étudiants et parents, des informations nécessaires sur les possibilités de faire des études en France, les contours de l’obtention d’une bourse pour les études en France, les opportunités d’emploi au Cameroun, des formations délocalisées et co-diplomantes proposées au Cameroun avec des établissements privés mais surtout, faire la promotion de l’enseignement supérieur français. Sur les objectifs de ce salon qui est rendu à sa première édition, le ministre de l’Enseignement supérieur, Jacques Fame Ndongo a tenu à faire des précisions. Il ne s’agit selon lui pas, de regnier les enseignements offerts par le Cameroun via ses Universités et établissements privés mais « d’aller en France chercher des formations qui n’existent pas au Cameroun ». Et une fois la formation terminée, il conseille aux bénéficiaires de revenir au terroir en faire profiter aux compatriotes
L’Ambassadeur de France au Cameroun, Bruno Gain, a entonné le même son de cloche en évoquant l’idée d’une démarche complémentaire. C’est pourquoi, a ajouté Bruno Gain, « on ne prend pour ces études que les personnes qui veulent un master ou doctorat dans des filières qui n’existent pas au Cameroun. Celui qui veut aller en France pour faire une licence en Sociologie par exemple, ne sera pas accepté parce qu’il y’a des Universités au Cameroun qui le font bien ». Le diplomate français rassure concernant les visas que depuis le début de l’année, plus de 80% de visas ont été délivrés aux étudiants camerounais. Ce salon s’inscrit aussi a-t-il déclaré, dans le prolongement d’une convention signée antre Campus France, le Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam) et Entreprise du Cameroun (E-cam) pour la formation professionnelle des étudiants.
Sont retenus pour animer cette édition du Salon pour la promotion des études françaises, 34 Universités, grandes écoles et entreprises. Donc, 18 françaises, 11 camerounaises, 1 inter-état et 4 entreprises. Ces dernières exposeront non seulement leurs offres mais aussi répondront aux préoccupations des visiteurs pendant des ateliers et conférences qui alimenteront ces trois jours d’échange.