Eliminatoires-Coupe du Monde 2014 : Un sélectionneur fragilisé
Yaoundé, 15 mars 2013
© Brice MBEZE | Cameroon Tribune
Sans contrat, Jean-Paul Akono est de plus en plus sous les feux des projecteurs.
Nommé en septembre dernier à la tête des Lions Indomptables au lendemain de leur défaite au match-aller des éliminatoires de la CAN 2012 face au Cap-Vert (0-2), Jean-Paul Akono n'a toujours pas signé de contrat. C'est à croire que le sélectionneur des Lions Indomptables n'a pas totalement la confiance de ses employeurs. «Les choses finiront par se faire», a toujours clamé le Champion olympique 2000. Plus le temps passe, plus les observateurs pensent que Jean-Paul Akono a été appelé à la tête de l'équipe nationale de football du Cameroun pour une mission précise. Il aurait déjà bénéficié de la confiance de sa hiérarchie en paraphant son contrat. Les évènements de Dar-Es-Salam avec la défection de onze joueurs fragilisent le technicien.
Une source bien introduite estime, en effet, qu’un groupe de joueurs de l’équipe nationale notamment les cadres ne voudraient plus du sélectionneur des Lions Indomptables. Les griefs portés sur lui sont nombreux. Certains professionnels critiquent une certaine monotonie dans ses choix tactiques. Une carence qu’un joueur évoluant dans le championnat français, sous anonymat, attribue «au manque de recyclage de haut niveau de Jean-Paul Akono depuis au moins dix ans». Pour les détracteurs de l'ancien international camerounais, ses méthodes de travail seraient archaïques et ne cadrent plus avec les exigences du football moderne. Malgré tout, Akono s'est voulu rassembleur lors de la publication de la liste des 24 joueurs convoqués pour le match du 23 mars prochain face au Togo. «Les Lions Indomptables du Cameroun forment une famille et dans toute famille, il peut y avoir des malentendus. Mais face à l'ennemi, il faut toujours et d'abord faire bloc ensemble. Quitte à laver le linge sale en famille plus tard, une fois l'ennemi défait...car, une absence des Lions à la prochaine Coupe du Monde serait difficile à avaler pour nous tous », a lancé à la presse Jean-Paul Akono qui se veut malgré tout optimiste.
© Brice MBEZE | Cameroon Tribune
Sans contrat, Jean-Paul Akono est de plus en plus sous les feux des projecteurs.
Nommé en septembre dernier à la tête des Lions Indomptables au lendemain de leur défaite au match-aller des éliminatoires de la CAN 2012 face au Cap-Vert (0-2), Jean-Paul Akono n'a toujours pas signé de contrat. C'est à croire que le sélectionneur des Lions Indomptables n'a pas totalement la confiance de ses employeurs. «Les choses finiront par se faire», a toujours clamé le Champion olympique 2000. Plus le temps passe, plus les observateurs pensent que Jean-Paul Akono a été appelé à la tête de l'équipe nationale de football du Cameroun pour une mission précise. Il aurait déjà bénéficié de la confiance de sa hiérarchie en paraphant son contrat. Les évènements de Dar-Es-Salam avec la défection de onze joueurs fragilisent le technicien.
Une source bien introduite estime, en effet, qu’un groupe de joueurs de l’équipe nationale notamment les cadres ne voudraient plus du sélectionneur des Lions Indomptables. Les griefs portés sur lui sont nombreux. Certains professionnels critiquent une certaine monotonie dans ses choix tactiques. Une carence qu’un joueur évoluant dans le championnat français, sous anonymat, attribue «au manque de recyclage de haut niveau de Jean-Paul Akono depuis au moins dix ans». Pour les détracteurs de l'ancien international camerounais, ses méthodes de travail seraient archaïques et ne cadrent plus avec les exigences du football moderne. Malgré tout, Akono s'est voulu rassembleur lors de la publication de la liste des 24 joueurs convoqués pour le match du 23 mars prochain face au Togo. «Les Lions Indomptables du Cameroun forment une famille et dans toute famille, il peut y avoir des malentendus. Mais face à l'ennemi, il faut toujours et d'abord faire bloc ensemble. Quitte à laver le linge sale en famille plus tard, une fois l'ennemi défait...car, une absence des Lions à la prochaine Coupe du Monde serait difficile à avaler pour nous tous », a lancé à la presse Jean-Paul Akono qui se veut malgré tout optimiste.