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DERNIER COUP DE GRÂCE ? Voici ce qui c’est réellement passé avec “la famille de NDJAWE”. Après la mort de son Père, Jules Ombédé NJAWE, le fils aîné de Pius NJAWE a été contacté à Douala par des autorités (Services du gouverneur, sous-préfecture, etc.). Cet enfant menait déjà la vie dure à son père. Comme dans chaque famille, il y a toujours un « rejeton », un maillon faible.

Acte 1
L’on lui a remis 5 000 000 FCFA (pour les condoléances)
Aucun autre membre de la famille n’était informé.
Acte 2
L’on l’invite et l’aide à écrire au Chef de l’état pour demander encore une aide supplémentaire plus substantielle en lui faisant rêver.
Acte 3
L’on l’invite à Yaoundé, le 2 Août et lui demande de venir accompagner de quelques uns de ses frères et sœurs si possible.
Acte 4 Discours à tenir à la famille.
« Le Président de la république nous as invités. Il veut nous voir ».
Acte5
Francis NJAWE, un autre fils de Pius, qui vit en Italie s’inquiète et en parle au Chef de Famille, Monsieur NGANDEU Jonas, l’oncle de Pius NJAWE.
Acte 6
Surpris, et devant l’insistance de Jules, Monsieur Jonas NGANDEU demande alors à Francis d’accompagner son frère et il sollicite la disponibilité de son fils, Philippe NGANDEU, Médecin, de les encadrer.
Acte7 Mission
Les trois doivent donc aller, à Yaoundé, écouter et venir rendre compte à la famille sur ce que le Président de la République souhaite transmettre comme message à la Famille.
C’est donc une mission d’écoute ou de prise de contact tout simplement !
Acte 8 (Arrivée à Yaoundé)
Après les avoir baladés de Bureaux en Bureau, ils arrivent dans une salle où le Ministre de la Communication, Monsieur TCHIROMA, les reçoit.
Acte 9
Arrivés de la Presse officielle avec des photographes et des caméramans

Acte 10 (Surprise)
Francis NJAWE et Philippe NGANDEU ne comprennent rien sur ce qui se déroulent devant eux.
Acte11
Monsieur TCHIROMA, après s’être rassuré, s’adresse donc à Jules Ombédé NJAWE en ces termes (résumé): « Vous avez écrit au Président de la République pour lui annoncer le décès de votre père dans un accident de circulation aux Etats-Unis et solliciter une aide pour l’organisation des obsèques. Il a bien reçu votre lettre et vous vient donc en aide avec une somme de 10 000 000 FCfA. Il me charge donc de vous présenter ses condoléances »
Il lit alors les Condoléances du Président de la République, Paul BIYA.

Acte 12
Après le départ de la Presse, TCHIROMA dit donc à Jules : « sur les 10 000 000 FRCFA, vous avez déjà eu 5 000 000 FCFA donc je ne vous remets que le solde c’est-à-dire 5 000 000 FCFA ».
Actes 13
Francis NJAWE, au retour, a failli lyncher son frère de l’avoir amener dans ce lugubre guet-apens pour piétiner la Mémoire de son Père!
Actes14
La Famille de NJAWE est sans voix et sans force devant ce dernier coup de grâce.
Acte 15
Toute la famille a besoin de l’aide et du soutien pour réagir conformément aux idéaux de Pius NJAWE, disciple de la non violence, Artisan de la Liberté, des Droits de l’Homme et de la Démocratie ; résolument déterminé à ne jamais rompre devant l’adversiité.
Acte 16
N’y avait-il pas mieux, comme acte, du Président de la République auprès de la famille de Pius NJAWE ? Les condoléances ne suffisaient-elles pas ? Pourquoi avoir utilisé cet enfant de Pius qui a un faible pour l’argent et qui n’a jamais voulu faire un effort dans ses études, malgré toutes les peines que son père s’est données pour lui? C’est terrible !