Djoum: Un squelette dans un sac - Un crâne et des ossements humains retrouvés dans un sac de voyage.
YAOUNDÉ - 26 Septembre 2012
© Aimée-Francis AMOUGOU | Cameroon Tribune
Un crâne et des ossements humains retrouvés dans un sac de voyage.
Cette découverte macabre a mis les populations de la localité de Mbouma, dans l’arrondissement de Djoum, département de Dja-et-Lobo en émoi. C'était le 22 septembre dernier lorsque qu'une moto, transportant deux passagers et le conducteur, tombe sur une barrière de contrôle des éléments du ministère des Forêts et de la Faune (Minfof). Interpellé, le conducteur fait semblant d'obtempérer, puis, il défonce la barrière. Une attitude qui attise la curiosité des éléments du Minfof. Par téléphone, ils signalent la présence de cette mystérieuse moto sur l'axe qui mène à Sangmélima.
Le second poste de contrôle est en alerté, mais est également défoncé par le conducteur de moto. Il s'ensuit alors une course poursuite. Les contrôleurs finissent par mettre la main sur le curieux trio. La fouille du sac qu'ils transportent permet de découvrir, au lieu des espèces fauniques protégées, des restes humains dont un crâne et le reste des os encore frais d'un être humain.
La brigade de gendarmerie est saisie sur le champ ainsi que le procureur de la République du tribunal de Djoum. L'autopsie, faite par le médecin légiste, révèle que les restes humains sont ceux d'un adulte décédé il y a près d'un mois et dont la tombe a dû être profanée par ces malfaiteurs. Le trio, dont deux étudiants de l'université de Yaoundé II Soa, est gardé dans les cellules de la brigade de gendarmerie de Djoum et, les enquêtes se poursuivent afin de découvrir les véritables commanditaires de cet acte odieux.
© Aimée-Francis AMOUGOU | Cameroon Tribune
Un crâne et des ossements humains retrouvés dans un sac de voyage.
Cette découverte macabre a mis les populations de la localité de Mbouma, dans l’arrondissement de Djoum, département de Dja-et-Lobo en émoi. C'était le 22 septembre dernier lorsque qu'une moto, transportant deux passagers et le conducteur, tombe sur une barrière de contrôle des éléments du ministère des Forêts et de la Faune (Minfof). Interpellé, le conducteur fait semblant d'obtempérer, puis, il défonce la barrière. Une attitude qui attise la curiosité des éléments du Minfof. Par téléphone, ils signalent la présence de cette mystérieuse moto sur l'axe qui mène à Sangmélima.
Le second poste de contrôle est en alerté, mais est également défoncé par le conducteur de moto. Il s'ensuit alors une course poursuite. Les contrôleurs finissent par mettre la main sur le curieux trio. La fouille du sac qu'ils transportent permet de découvrir, au lieu des espèces fauniques protégées, des restes humains dont un crâne et le reste des os encore frais d'un être humain.
La brigade de gendarmerie est saisie sur le champ ainsi que le procureur de la République du tribunal de Djoum. L'autopsie, faite par le médecin légiste, révèle que les restes humains sont ceux d'un adulte décédé il y a près d'un mois et dont la tombe a dû être profanée par ces malfaiteurs. Le trio, dont deux étudiants de l'université de Yaoundé II Soa, est gardé dans les cellules de la brigade de gendarmerie de Djoum et, les enquêtes se poursuivent afin de découvrir les véritables commanditaires de cet acte odieux.