Développement local: Et si Courtès était le Messie de Bangangté?
Yaoundé, 20 Novembre 2013
© LCN | L'Epervier
Le maire actuel de la commune de Bangangté multiplie des initiatives pour sortir sa localité du sous-développement.
Célestine Courtes Ketcha vient d'entamer son deuxième mandat à la tête de la commune de Bangangté par l'entremise du double scrutin du 30 septembre dernier. Une reconduction qui sonne comme une reconnaissance des efforts entamé par cette dame de cœur à la tête de cette commune depuis son premier mandat en 2007. Le bilan passe de tout commentaire car il n'y a qu'à observer l’ordre des motions de soutien rédigé par les militants du parti du flambeau pour saluer l'œuvre titanesque de Célestine Courtes. A peine six années à la tête-de cette municipalité que madame le maire rafle toutes les mises. Aujourd'hui, la ville de Bangangté affiche fier allure.
Le bilan
Le chantier de construction du nouvel hôtel de ville de Bangangté est sur les rails pour un coût total de 200 millions de F. Le préfet du département du Nde Ernest Christian Ebelle a procédé à la pose de la première pierre le 16 septembre dernier. Bien avant, grâce à ses initiatives, la commune de Bangangté a remporté avec brio le premier prix Feicom de meilleures pratiques communales de développement. La cérémonie de remise dudit prix avait pour cadre le Hilton hôtel de Yaoundé le 23 février 2012. Cette compétition qui est une sorte d'«awards» pour les communes visait à susciter une saine émulation et l'esprit d'entreprise et de compétition chez les élus locaux.
Sur 137 communes qui, ont pris part à cette compétition, la commune de Bangangté- avec son projet baptisé «hygiène et salubrité dans la ville de Bangangté» a été classée par le jury international piloté par le Sénégalais Daby Diagne, première commune empochant de fait la somme de 50 millions de F. Ceci devant de nombreuses communes qui comptent pourtant des moyens importants. Bangangté, à travers son maire a donné une belle leçon aux autres maires qui pensent qu'il faut forcément avoir des moyens importants pour faire des grandes réalisations.
Cette leçon du maire rappelle que la volonté permet de soulever même les montagnes. Cette récompense était donc la résultante des efforts inlassables du maire à sortir vaille que vaille, sa commune non seulement de l'insalubrité mais aussi du sous-développement. La première phase du projet Modeab a permis à ce jour de construire 15 latrines écologiques dans les écoles primaires, également la construction d'une dizaine de bloc de latrines sèches dans les marchés.
Une initiative qui permet de revaloriser l'urée des urines pour en faire des engrais pour booster la production agricole. C'est également grâce à ses actions que Bangangté a été désignée la ville la plus propre de la Région de l'Ouest. Le chapelet de réalisations de madame le maire est loin de s'achever, puisqu'il faut également mettre à son actif, l'organisation avec panache de la première édition de la foire gastronomique de Bangangté tenue du 15 au 31 décembre 2012.
Selon l'organisatrice, cette foire avait comme mission de contribuer à la lutte contre la vie chère qui reste un combat permanant du ministre du commerce. C'est donc à juste titre que Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du commerce a procédé à son ouverture le 17 décembre 2012, en présence de Marcel Niat Njifenfi, bien avant que ce dernier soit désigné Sénateur et élu président du Sénat. L'ancienne présidente du club de football panthère de Bangangté a redonné à ce club ses lettres de noblesses. Cette efficacité managériale a été reconnue par les pouvoirs publics à travers la médaille de l'ordre national du mérite sportif qui lui a été remise au nom du Président de la République, par le préfet du département du Ndé le 20 mai 2013.
Les jaloux de ses succès
Malheureusement ces lauriers ne lui valent pas que de la reconnaissance. Madame le maire a aussi contre elle ceux qui veulent la voir échouer dans sa mission. Des coups bas et des affaires sans tête ni queue sont montées de toute pièce contre elle. Dans la scabreuse affaire du Queen Fish. Le ramdam médiatique qui a suivi cette affaire laissait dégager une forte odeur de manipulation et de règlement de comptes. Une sorte de conspiration dont l'objectif était ni plus ni moins, de ternir l'image de cette grande dame. Nous nous abstenons de citer les noms de ces pourfendeurs de la vérité par simple charité chrétienne.
Pendant la période des investitures, une danse de sorcier autour de sa candidature a vu le jour. Heureusement le maire avait le soutien non seulement de la hiérarchie du parti, mais aussi de la population qui continue de lui faire, confiance. La pilule était amère pour ses détracteurs d'apprendre qu'ils devront encore supporter sa détermination à toujours faire mieux que par le passé.
Le nouveau mandat que le maire entame contre vents et marrées à la tête de la mairie est donc la preuve par deux que Célestine Courtes bénéficie encore du soutien sans faille des siens. Dans tous les cas, les populations peuvent se frotter les mains en dessinant en rose les nouveaux projets qui frappent à leurs portes avec l'arrivée des investisseurs étrangers et nationaux.
© LCN | L'Epervier
Le maire actuel de la commune de Bangangté multiplie des initiatives pour sortir sa localité du sous-développement.
Célestine Courtes Ketcha vient d'entamer son deuxième mandat à la tête de la commune de Bangangté par l'entremise du double scrutin du 30 septembre dernier. Une reconduction qui sonne comme une reconnaissance des efforts entamé par cette dame de cœur à la tête de cette commune depuis son premier mandat en 2007. Le bilan passe de tout commentaire car il n'y a qu'à observer l’ordre des motions de soutien rédigé par les militants du parti du flambeau pour saluer l'œuvre titanesque de Célestine Courtes. A peine six années à la tête-de cette municipalité que madame le maire rafle toutes les mises. Aujourd'hui, la ville de Bangangté affiche fier allure.
Le bilan
Le chantier de construction du nouvel hôtel de ville de Bangangté est sur les rails pour un coût total de 200 millions de F. Le préfet du département du Nde Ernest Christian Ebelle a procédé à la pose de la première pierre le 16 septembre dernier. Bien avant, grâce à ses initiatives, la commune de Bangangté a remporté avec brio le premier prix Feicom de meilleures pratiques communales de développement. La cérémonie de remise dudit prix avait pour cadre le Hilton hôtel de Yaoundé le 23 février 2012. Cette compétition qui est une sorte d'«awards» pour les communes visait à susciter une saine émulation et l'esprit d'entreprise et de compétition chez les élus locaux.
Sur 137 communes qui, ont pris part à cette compétition, la commune de Bangangté- avec son projet baptisé «hygiène et salubrité dans la ville de Bangangté» a été classée par le jury international piloté par le Sénégalais Daby Diagne, première commune empochant de fait la somme de 50 millions de F. Ceci devant de nombreuses communes qui comptent pourtant des moyens importants. Bangangté, à travers son maire a donné une belle leçon aux autres maires qui pensent qu'il faut forcément avoir des moyens importants pour faire des grandes réalisations.
Cette leçon du maire rappelle que la volonté permet de soulever même les montagnes. Cette récompense était donc la résultante des efforts inlassables du maire à sortir vaille que vaille, sa commune non seulement de l'insalubrité mais aussi du sous-développement. La première phase du projet Modeab a permis à ce jour de construire 15 latrines écologiques dans les écoles primaires, également la construction d'une dizaine de bloc de latrines sèches dans les marchés.
Une initiative qui permet de revaloriser l'urée des urines pour en faire des engrais pour booster la production agricole. C'est également grâce à ses actions que Bangangté a été désignée la ville la plus propre de la Région de l'Ouest. Le chapelet de réalisations de madame le maire est loin de s'achever, puisqu'il faut également mettre à son actif, l'organisation avec panache de la première édition de la foire gastronomique de Bangangté tenue du 15 au 31 décembre 2012.
Selon l'organisatrice, cette foire avait comme mission de contribuer à la lutte contre la vie chère qui reste un combat permanant du ministre du commerce. C'est donc à juste titre que Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du commerce a procédé à son ouverture le 17 décembre 2012, en présence de Marcel Niat Njifenfi, bien avant que ce dernier soit désigné Sénateur et élu président du Sénat. L'ancienne présidente du club de football panthère de Bangangté a redonné à ce club ses lettres de noblesses. Cette efficacité managériale a été reconnue par les pouvoirs publics à travers la médaille de l'ordre national du mérite sportif qui lui a été remise au nom du Président de la République, par le préfet du département du Ndé le 20 mai 2013.
Les jaloux de ses succès
Malheureusement ces lauriers ne lui valent pas que de la reconnaissance. Madame le maire a aussi contre elle ceux qui veulent la voir échouer dans sa mission. Des coups bas et des affaires sans tête ni queue sont montées de toute pièce contre elle. Dans la scabreuse affaire du Queen Fish. Le ramdam médiatique qui a suivi cette affaire laissait dégager une forte odeur de manipulation et de règlement de comptes. Une sorte de conspiration dont l'objectif était ni plus ni moins, de ternir l'image de cette grande dame. Nous nous abstenons de citer les noms de ces pourfendeurs de la vérité par simple charité chrétienne.
Pendant la période des investitures, une danse de sorcier autour de sa candidature a vu le jour. Heureusement le maire avait le soutien non seulement de la hiérarchie du parti, mais aussi de la population qui continue de lui faire, confiance. La pilule était amère pour ses détracteurs d'apprendre qu'ils devront encore supporter sa détermination à toujours faire mieux que par le passé.
Le nouveau mandat que le maire entame contre vents et marrées à la tête de la mairie est donc la preuve par deux que Célestine Courtes bénéficie encore du soutien sans faille des siens. Dans tous les cas, les populations peuvent se frotter les mains en dessinant en rose les nouveaux projets qui frappent à leurs portes avec l'arrivée des investisseurs étrangers et nationaux.