Désinformation: René Emmanuel Sadi n'est pas un prévaricateur
Yaoundé, 21 Janvier 2013
© Marlyse Sibafo | La Nouvelle
Rumeurs de énième main. Ragots d'épiciers. Accusation fallacieuses. Pseudo-témoignages. Tout y passe ces dernières semaines dans une certaine presse pour faire lever l'orage sur la tête du ministre de l'Administration territoriale et de la Décentralisation. Enhardis par leur posture de franc-tireur et de maître-chanteur, ces confrères sont déterminés à ne pas lâcher prise. Seulement, les Camerounais doivent savoir que la vérité n'est pas de leur côté.
Qu'on nous permette au moins de crier, quitte à n'être entendus que de nous-mêmes: René Emmanuel Sadi n'est pas un voleur. Secrétaire général du Comité central du Rdpc, il n'a jamais géré le moindre sou, cette tache étant réglementairement dévolue au trésorier, Gilbert Tsimi Evouna. L'histoire des honoraires impayés des avocats commis par le Rdpc pour le contentieux post-présidentiel de 2011 est inventée de toutes pièces pour tenter de noircir celui qui est aujourd'hui présenté comme le plus «propre» des ministres de Paul Biya. Aucune ligne n'a jamais été prévue pour le paiement de ces honoraires. Ni au ministère des Finances. Encore moins au Cabinet civil de la présidence de la République. Pour tout dire par rapport à ces accusations d'honoraires distraits, l'information brute et vraie se décline en très peu de mots: c'est le Sg du Comité central qui, à l’époque, avait lui-même arrêté le nombre d'avocats commis pour défendre le Rdpc dans le contentieux post-électoral de l'élection présidentielle de 2011. C'est également lui qui, par la suite, va arrêter le montant à débourser par le trésorier du Comité central du Rdpc pour le paiement de leurs honoraires. Environ 30 millions de FCFA. Pas des milliards comme l'ont récemment indiqué grossièrement les affabulateurs. Maintenant, il faut avoir la mémoire mutilée et l'esprit agité et artificieux pour ne pas savoir qu'une fois cela fait, c'est Gilbert Tsimi Evouna, le trésorier du Comité central du Rdpc qui prend le relais pour le paiement.
En panne de grand dessein, certains chroniqueurs-de-l‘œil-de-bœuf désargentés et étrangement étreints de voir la source de leurs malheurs en René Emmanuel Sadi, n'en ont cure pour régler leurs comptes. C'est ainsi que ces coqueluches de l'affabulation, mi-voyeurs, mi-voyous, ont semblé retrouver un entrain diabolique en s'arc-boutant dans la science-fiction, la mystification et la malhonnêteté pour alimenter à profusion la culasse d'où sont parties, la semaine dernière, leurs boules puantes.
Fantasmes
Ce qui fait davantage problème et qui doit interpeller toute la corporation aujourd'hui, c'est cette posture de procureur que ces hérauts du ridicule tendent d'adopter avec une ferveur pourtant artisanale. Des maîtres-chanteurs, sous le prétexte noble d'exercer dans la presse, ne peuvent pas décider de fabriquer de toutes pièces une histoire de détournement d'argent, en choisissant seulement d'aller braconner sans scrupule aucun sur les terres sombres du mensonge et de la malhonnêteté pour jeter en pâture une haute personnalité de la République, de l'envergure de René Emmanuel Sadi. Pire, comme la bêtise amène parfois chez certains un renforcement de l'orgueil, les plus aptes à manier le marteau-piqueur dans ce clan des troupiers, semblent plus que déterminés à faire davantage tourner à plein régime leur ignoble machine à fantasmes. Ils promettent en privé d'aller plus loin, si le ministre René Emmanuel Sadi ne les reçoit pas. Dans leurs récits de galipette, ils l'accusent d'être très peu accessible aux journalistes. Une incantation rhétorique visiblement spécieuse. Et même si cela était le cas, cela doit-il amener ceux qui prétendent être des journalistes sérieux à écrire n'importe quoi sur un ministre, tout simplement parce que celui-ci ne veut pas être votre ami? D'ailleurs qui a même dit à certaines vermines, habiles dans la reptation, dans les salons huppés de certains membres du gouvernement, qu'un journaliste doit automatiquement être l'ami d'un ministre? Quel crédit donner à ces pantins qui se contorsionneraient pour jouir du privilège d'être dans les bonnes grâces d'un membre du gouvernement? Ce qui est davantage regrettable, c'est que c'est cette engeance, au service de certaines personnalités politiques, en cette période de fin de règne; qui semble dicter la météo politique du pays. Quitte à inventer chaque semaine des histoires saugrenues sur des nobles et paisibles citoyens.
De leur hargne à vouer René Emmanuel Sadi aux gémonies apparaissent pourtant en filigrane ces donneurs d'ordre qui n'ont jamais eu publiquement le courage de l'affronter. Que ce soit à la présidence de la République ou au Comité central du Rdpc. Seulement, malgré la haine tenace qui les tenaille, ils sont davantage mieux placés pour savoir que le fils de Metcing et petit-fils d'Akak a toujours eu le dos extraordinairement large pour résister au mauvais vent. Les Fabien Monkam Nitcheu et autres, croient-ils un seul instant que la bave des crapauds qui coassent sur leur férule et à leur rythme, pourrait un jour atteindre le chevalier blanc de Yoko? Il va continuer à caracoler imperturbablement dans le sillage du président Paul Biya, afin de l'aider à laisser aux Camerounais un pays prospère et démocratique, selon les articulations des Grandes réalisations. D'ailleurs, la dernière blague qui aurait pu faire plier de rire, c'est cette lettre qu'on lui prête par rapport aux approximations d'Elecam et au plan B qu'il conseillerait au chef de l'Etat. N'importe quoi... Pourrait-on dire.
© Marlyse Sibafo | La Nouvelle
Rumeurs de énième main. Ragots d'épiciers. Accusation fallacieuses. Pseudo-témoignages. Tout y passe ces dernières semaines dans une certaine presse pour faire lever l'orage sur la tête du ministre de l'Administration territoriale et de la Décentralisation. Enhardis par leur posture de franc-tireur et de maître-chanteur, ces confrères sont déterminés à ne pas lâcher prise. Seulement, les Camerounais doivent savoir que la vérité n'est pas de leur côté.
Qu'on nous permette au moins de crier, quitte à n'être entendus que de nous-mêmes: René Emmanuel Sadi n'est pas un voleur. Secrétaire général du Comité central du Rdpc, il n'a jamais géré le moindre sou, cette tache étant réglementairement dévolue au trésorier, Gilbert Tsimi Evouna. L'histoire des honoraires impayés des avocats commis par le Rdpc pour le contentieux post-présidentiel de 2011 est inventée de toutes pièces pour tenter de noircir celui qui est aujourd'hui présenté comme le plus «propre» des ministres de Paul Biya. Aucune ligne n'a jamais été prévue pour le paiement de ces honoraires. Ni au ministère des Finances. Encore moins au Cabinet civil de la présidence de la République. Pour tout dire par rapport à ces accusations d'honoraires distraits, l'information brute et vraie se décline en très peu de mots: c'est le Sg du Comité central qui, à l’époque, avait lui-même arrêté le nombre d'avocats commis pour défendre le Rdpc dans le contentieux post-électoral de l'élection présidentielle de 2011. C'est également lui qui, par la suite, va arrêter le montant à débourser par le trésorier du Comité central du Rdpc pour le paiement de leurs honoraires. Environ 30 millions de FCFA. Pas des milliards comme l'ont récemment indiqué grossièrement les affabulateurs. Maintenant, il faut avoir la mémoire mutilée et l'esprit agité et artificieux pour ne pas savoir qu'une fois cela fait, c'est Gilbert Tsimi Evouna, le trésorier du Comité central du Rdpc qui prend le relais pour le paiement.
En panne de grand dessein, certains chroniqueurs-de-l‘œil-de-bœuf désargentés et étrangement étreints de voir la source de leurs malheurs en René Emmanuel Sadi, n'en ont cure pour régler leurs comptes. C'est ainsi que ces coqueluches de l'affabulation, mi-voyeurs, mi-voyous, ont semblé retrouver un entrain diabolique en s'arc-boutant dans la science-fiction, la mystification et la malhonnêteté pour alimenter à profusion la culasse d'où sont parties, la semaine dernière, leurs boules puantes.
Fantasmes
Ce qui fait davantage problème et qui doit interpeller toute la corporation aujourd'hui, c'est cette posture de procureur que ces hérauts du ridicule tendent d'adopter avec une ferveur pourtant artisanale. Des maîtres-chanteurs, sous le prétexte noble d'exercer dans la presse, ne peuvent pas décider de fabriquer de toutes pièces une histoire de détournement d'argent, en choisissant seulement d'aller braconner sans scrupule aucun sur les terres sombres du mensonge et de la malhonnêteté pour jeter en pâture une haute personnalité de la République, de l'envergure de René Emmanuel Sadi. Pire, comme la bêtise amène parfois chez certains un renforcement de l'orgueil, les plus aptes à manier le marteau-piqueur dans ce clan des troupiers, semblent plus que déterminés à faire davantage tourner à plein régime leur ignoble machine à fantasmes. Ils promettent en privé d'aller plus loin, si le ministre René Emmanuel Sadi ne les reçoit pas. Dans leurs récits de galipette, ils l'accusent d'être très peu accessible aux journalistes. Une incantation rhétorique visiblement spécieuse. Et même si cela était le cas, cela doit-il amener ceux qui prétendent être des journalistes sérieux à écrire n'importe quoi sur un ministre, tout simplement parce que celui-ci ne veut pas être votre ami? D'ailleurs qui a même dit à certaines vermines, habiles dans la reptation, dans les salons huppés de certains membres du gouvernement, qu'un journaliste doit automatiquement être l'ami d'un ministre? Quel crédit donner à ces pantins qui se contorsionneraient pour jouir du privilège d'être dans les bonnes grâces d'un membre du gouvernement? Ce qui est davantage regrettable, c'est que c'est cette engeance, au service de certaines personnalités politiques, en cette période de fin de règne; qui semble dicter la météo politique du pays. Quitte à inventer chaque semaine des histoires saugrenues sur des nobles et paisibles citoyens.
De leur hargne à vouer René Emmanuel Sadi aux gémonies apparaissent pourtant en filigrane ces donneurs d'ordre qui n'ont jamais eu publiquement le courage de l'affronter. Que ce soit à la présidence de la République ou au Comité central du Rdpc. Seulement, malgré la haine tenace qui les tenaille, ils sont davantage mieux placés pour savoir que le fils de Metcing et petit-fils d'Akak a toujours eu le dos extraordinairement large pour résister au mauvais vent. Les Fabien Monkam Nitcheu et autres, croient-ils un seul instant que la bave des crapauds qui coassent sur leur férule et à leur rythme, pourrait un jour atteindre le chevalier blanc de Yoko? Il va continuer à caracoler imperturbablement dans le sillage du président Paul Biya, afin de l'aider à laisser aux Camerounais un pays prospère et démocratique, selon les articulations des Grandes réalisations. D'ailleurs, la dernière blague qui aurait pu faire plier de rire, c'est cette lettre qu'on lui prête par rapport aux approximations d'Elecam et au plan B qu'il conseillerait au chef de l'Etat. N'importe quoi... Pourrait-on dire.