Dernière heure: Une antenne Elecam vandalisée à l’Est
DOUALA - 21 NOV. 2012
© R. N. T. | Le Messager
Alors que nous mettions sous-presse hier, 20 novembre 2012, nous apprenions de sources crédibles que l’antenne communale d’Elections Cameroon (Elecam) de Kentzou, un arrondissement du département de la Kadey, région de l’Est, a été saccagée dans la nuit de lundi à mardi par des individus non identifiés. Ces informations confirmées par des autorités administratives locales laissent croire que les assaillants seraient venus d’autres contrées prenant de court les services de sécurité de la petite localité de Kentzou et même celles de la ville de Batouri située à quelques dizaines de kilomètres seulement.
Les agresseurs/cambrioleurs auraient emporté, entre autres équipements, deux kits complets servant à l’enrôlement des électeurs par des moyens biométriques, du matériel de bureau et autres consommables informatiques rendant ainsi impossible la poursuite des inscriptions sur les listes électorales dans cette bourgade. Jointes au téléphone pour éventuelles précisions, les services de presse et de la communication d’Elecam ont promis d’être plus loquaces sur ces évènements seulement après une saisine formelle du directeur général des élections. Nous y reviendrons.
© R. N. T. | Le Messager
Alors que nous mettions sous-presse hier, 20 novembre 2012, nous apprenions de sources crédibles que l’antenne communale d’Elections Cameroon (Elecam) de Kentzou, un arrondissement du département de la Kadey, région de l’Est, a été saccagée dans la nuit de lundi à mardi par des individus non identifiés. Ces informations confirmées par des autorités administratives locales laissent croire que les assaillants seraient venus d’autres contrées prenant de court les services de sécurité de la petite localité de Kentzou et même celles de la ville de Batouri située à quelques dizaines de kilomètres seulement.
Les agresseurs/cambrioleurs auraient emporté, entre autres équipements, deux kits complets servant à l’enrôlement des électeurs par des moyens biométriques, du matériel de bureau et autres consommables informatiques rendant ainsi impossible la poursuite des inscriptions sur les listes électorales dans cette bourgade. Jointes au téléphone pour éventuelles précisions, les services de presse et de la communication d’Elecam ont promis d’être plus loquaces sur ces évènements seulement après une saisine formelle du directeur général des élections. Nous y reviendrons.