Monsieur
le Président, En ma qualité de défenseur des droits de l’homme et
Président du FFCI j’ai l’honneur de venir auprès de votre haute
bienveillance pour dénoncer Les abus que posent vos représentants et en
particulier dans le Département du NDE. En effet Monsieur le Président
en date du 23/05/2012 Monsieur NJEUFA Jean enseignant retraité a été
agressé par deux conducteurs de moto et face à l’inertie des autorités
administratives, il s’est résolu à vous écrire une lettre sous couvert,
Monsieur le Préfet du NDE Mr MBOKE GODLIVE de l’époque.
Mais il se trouve que ce courrier n’a pas atteint son destinataire qui
est votre Excellence et il se trouve aujourd’hui que M. NJEUFA Jean a
été condamné en date du 18/12/2012 par le Tribunal de Première Instance
de Bangangté pour dénonciation calomnieuse et autres alors que le
courrier à nous adressé est resté lettre morte.
C’est pour vous dire Monsieur le Président combien
de fois le bas peuple est réprimé à tord et lorsqu’il semble se
plaindre à votre excellence ils sont intimidés à divers niveaux et leurs
cries de détresse n’arrivent jamais à votre niveaux à cause de certains
représentants véreux qui en violant les Droits des citoyens mettent en
péril l’idéal de paix que vous incarnez.
Qu’il s’agit là Monsieur le Président d’une violation grave des droits
humains surtout quand un citoyen lésé dans ses Droits vous adresse une
correspondance et par la suite est condamné pour dénonciation
calomnieuse alors même qu’on ne sait quelle direction la lettre à vous
adressée a prise.
Vous remerciant de réserver une suite favorable à ma correspondance afin que bon nombres de citoyens jouissent paisiblement de leurs droits, veuillez agréer Monsieur le Président l’expression de ma plus haute considération.
Très respectueusement