Défense et sécurité: La tragédie des Béti, en continu?
Yaoundé, 28 Janvier 2013
© FRANCOIS BIKORO | L'Anecdote
Le Président de la République, chef suprême des armées a procédé à une légère modification mais non moins stratégique de son cercle de défense direct. Exceptionnel, à la veille de son départ pour la France, où il est attendu par son homologue, François Hollande. Et comme nous n'avions eu cesse de le dire pour le décrier dans ces mêmes colonnes, les malheurs de Paul Biya, dont le magistère en fait le plus illustre des contemporains au Cameroun et des Béti, ce sont ses proches collaborateurs et surtout ses propres frères.
Et la réorganisation de ses unités de sécurité dont le quartier général, la garde présidentielle et l'Etat-major particulier en constitue le dernier carré, nous réconforte sur l'absence de sincérité et de loyalisme de certains. Cette sincérité qui commande que le préposé à un poste aussi sensible que d'assurer la sécurité de la principale institution de la République qu'est le chef de l'Etat, garant de la souveraineté de la sécurité et de la stabilité de la nation, prenne conscience de la lourdeur de ses responsabilités. Dans un environnement aussi fragilisé par la déréglementation dans les relations internationales la déflagration du tissu social, la résurgence de relents fantoches, tribal et religieux, auxquels s'ajoute l'appétence à l'avilissement de l'autre dans la course au pouvoir. Personne ne pourrait feindre que cela n'est pas anodin que l'on remplace un officier supérieur par un subalterne, que l'on envoie celui qui aura assuré la protection rapprochée du patron au quartier général pour y mettre de l'ordre, alors même que l'on promeut un colonel au grade de Général de brigade. De même que nous faire accroire que le Président Paul Biya, qui va passer un séjour officiel des plus court en France n'aurait pas pu attendre jusqu'au 03 février, date probable de son retour au bercail pour y mettre de l'ordre. Non! Cette affaire devrait être plus grave que ne le pensent les contempteurs du prince. Au regard des positions sociales des personnages mis au banc de la confiance du Chef des armées, aussi brusquement et brutalement. Ils occupaient des postes tellement sensibles et stratégiques que rien, mais alors rien ne les prédisposaient à la négligence, à l'erreur encore moins à l‘intelligence avec l'ennemi. C'est une vérité de la palissade, enseignée dans toutes les écoles de guerres d'où sortent nos braves officiers de même que les adeptes de coup d'Etat et autres déstabilisateurs, que celui qui le quartier général affaiblît la garde présidentielle et déstabilise l'Etat-major, qui renseigne le chef des armées. Ces trois endroits stratégiques auxquels il faut ajouter la Direction de la sécurité présidentielle méritent d'y avoir des gens à la fidélité et au loyalisme à rude épreuve. Et dont la réputation, l'honorabilité et la crédibilité ne doivent, en aucun cas déteindre sur la vie du chef de l'Etat et la marche de la nation. Simplement parce que les conséquences s'irradient comme une tâche d'huile au-delà de la sphère institutionnelle qui convoque le maniement de l'arme et le renseignement stratégique, pour se muer dans un imbroglio tribale-politique. Car, hélas l'histoire retiendra au moment opportun dans cette République d'impostures et d'hypocrisie que ceux qui avaient perdu la confiance de Paul Biya, à un moment aussi crucial qu'un voyage hors du pays était des Béti.
On aura tôt fait d'oublier leurs états de services personnels avant leur renvoi, de même qu'avant leur nomination. La dégénération de ce fait du Prince, entretenue parfois par ceux là qui y bénéficient un moment ira jusqu'à légitimer la stigmatisation d'une tribu, d'un clan ou d'une ère géopolitique. On aura tôt fait d'oublier ces quelques faits qui méritent d'être rappelés parce que relayés par cette même Opinion. En 1984, lorsque les forces réfractionnaires du Mouvement J'OSE avaient décidé de conduire le glaive du départ d’un béti, d'un pouvoir donné par un «haoussa», il y avait dans les rangs des loyalistes venus de toutes les tribus un certain Ebogo Titus. A ne pas confondre avec le fils du Colonel Ebogo, qui certainement mû par la notoriété et le respect dont jouit son père a choisi la carrière des armes. Au point de mériter de la nation en tant que soldat, de la garde présidentielle au quartier général où il connu malheureusement l'opprobre et le déshonneur. Des dossiers compliqués amoncelés sur la table du Président parlent de sa présumé implication dans le suicide d'un capitaine qu'on aurait éloigné de Yaoundé pour mieux jouir de son épouse. S'étant rendu compte d'une grossesse qu'il ne reconnaissait, le cocu aurait été abattu par un adjudant de même que sa femme qui reçue deux balles. Les spécialistes de la balistique criminelle disent que l'histoire n'est pas très prolixe des gens qui se suicident en se mettant eux-mêmes deux balles dans la tête. Ce sont ces mêmes détracteurs qui fatigués de vouloir trucider le fils du valeureux colonel Ebogo Titus ont expliqué au Chef de l'Etat que son fils bouderait le quartier général parce que justement il voulait être ... Général. Laissons de côte, ces histoires sordides qui voulaient nous faire gober que ce dernier aurait arraché une des petites de son père, question de bien corser ce que ses détracteurs, jaloux de ses hauts faits d'armes au centre de formation de la Gb appellent son péché mignon.
En 2011, contrairement à une politique entretenue de la mangeoire, l'histoire retiendra et c'est le candidat lui-même qui l'a raconté, que le frère de l'ex-commandant de la garde présidentielle était candidat à la présidence, à la suite des nombreuses frustrations subies auprès de sa belle-sœur. L'attitude très irrévérencieuse de l'épouse du colonel Etoundi Nsoe dont on dit très portée sur le business, vis-à-vis de son beau frère qui ne demandait comme d'autres qu'à jouir de la situation privilégiée du grand frère, a fini par perdre l'époux. N'en déplaise il eut été difficile, au-delà des incidents dont a été l'objet certains soldats de ce corps d'Elite ces derniers temps, d'oublier que si le frère avait été élu, son garde s'appellerait...
Son grand frère. Ignorant qui interpelle le pays en cette fin de règne où le Président Paul Biya est poussé à bout par une politique de vide autour de lui. Ces histoires et bien d'autres où il se raconte que l'épouse de l'ex-commandant de la garde présidentielle aurait chassé la fille de son beau frère de candidat contre Paul Biya, de la maisonnée ont arraisonné le quotidien de ceux qui pensent déjà tout haut que les Béti ont trop mangé. L'histoire retiendra et nous y veillerons qu'au-delà de la perte de confiance, c'est plus l’attitude de son frère cadet et de son épouse qui aurait milité en faveur de sa mise au banc. Voire!
Le 25 janvier 2013, comme il fut jadis avec le fils du Colonel Ebogo, Paul Biya a nommé un officier au mérite consolidé dont la nation maîtrise les états de services, a éprouvé sa loyauté, son humilité et sa simplicité. Contrairement à tous les jouisseurs qui profitent goulûment de la proximité même professionnelle d'avec le prince pour commettre toutes sortes de bévues et de crimes. Le colonel Melingui dont la majorité ne savait même pas qu'il était le chef de la protection rapprochée de Paul Biya depuis des décennies est plus que conscient de l'environnement qui a précédé son choix et surtout que l’arbre doit rassurer la promesse des fleurs. Et qu'à la moindre incertitude son entourage qui va grossir-retiendra hélas simplement qu'un béti a encore trahi un autre béti...Paul Biya-hélas.
Il est resté à sa place depuis le décès tragique de son prédécesseur et non moins illustre chef, le Général Benae Mpecke. On ne lui reconnaît jusqu'alors aucune frasque jusque dans son entourage familial, l'humilité, la discrétion et son attachement aux institutions qu'incarne le Chef de l'Etat lui ont valu à titre personnel d'être élevé exceptionnellement à la dignité de Général de brigade Amougou Emmanuel qui voit aussi sa confirmation au poste comme un couronnement d'une carrière professionnelle sait mieux que quiconque que le Président Biya ne l'a pas mis à l'abri des pièges- que ne manqueront pas de lui tendre les ennemis de la République. Et dont certains seront ses propres frères qui ont depuis longtemps vendu leurs armes à l'ennemi pour assouvir leurs bas desseins.
Faisons fi de la jeunesse (relative et à minimiser dans le secteur névralgique de la sécurité) de l'Officier Beko’o Abonda Raymond Charles pour nous rappeler qu'il demeurera pour la postérité celui que le chef de l'Etat a appelé au secours à un moment critique. L'officier d'active, spécialiste de la guerre sous-marine, des mangroves et de la guérilla urbaine qu'il aura pratiqué avec brio au sein du bataillon d'intervention rapide ce qu'on attend de lui. Surveiller, se surveiller, être à l'écoute de la troupe, rester ferme et proactif, tourner le dos à l'affairisme, au clientélisme, aux luttes d'influences qui pullulent là-bas.
Autant d'atouts et de faits d'armes qui doivent guider toute interprétation d'un acte du chef de l'Etat surtout de la façon que l'on a connu vendredi dernier sur une aire géopolitique ou une tribu qui pourtant a aussi donné le meilleur de lui-même! Dommage, une fois de plus comme le déploiera le patriarche d'Ongola Ewondo que les béti aient encore perdu d'autres postes stratégiques dont le chef de la protection rapprochée, le commandant du quartier général ou de la garde présidentielle n'étaient que des fresques rigoureuses de la tragédie de ce valeureux dont les fils se bouffent entre eux. Par action ou par omission. En pensée ou en paroles. Hélas!
© FRANCOIS BIKORO | L'Anecdote
Le Président de la République, chef suprême des armées a procédé à une légère modification mais non moins stratégique de son cercle de défense direct. Exceptionnel, à la veille de son départ pour la France, où il est attendu par son homologue, François Hollande. Et comme nous n'avions eu cesse de le dire pour le décrier dans ces mêmes colonnes, les malheurs de Paul Biya, dont le magistère en fait le plus illustre des contemporains au Cameroun et des Béti, ce sont ses proches collaborateurs et surtout ses propres frères.
Et la réorganisation de ses unités de sécurité dont le quartier général, la garde présidentielle et l'Etat-major particulier en constitue le dernier carré, nous réconforte sur l'absence de sincérité et de loyalisme de certains. Cette sincérité qui commande que le préposé à un poste aussi sensible que d'assurer la sécurité de la principale institution de la République qu'est le chef de l'Etat, garant de la souveraineté de la sécurité et de la stabilité de la nation, prenne conscience de la lourdeur de ses responsabilités. Dans un environnement aussi fragilisé par la déréglementation dans les relations internationales la déflagration du tissu social, la résurgence de relents fantoches, tribal et religieux, auxquels s'ajoute l'appétence à l'avilissement de l'autre dans la course au pouvoir. Personne ne pourrait feindre que cela n'est pas anodin que l'on remplace un officier supérieur par un subalterne, que l'on envoie celui qui aura assuré la protection rapprochée du patron au quartier général pour y mettre de l'ordre, alors même que l'on promeut un colonel au grade de Général de brigade. De même que nous faire accroire que le Président Paul Biya, qui va passer un séjour officiel des plus court en France n'aurait pas pu attendre jusqu'au 03 février, date probable de son retour au bercail pour y mettre de l'ordre. Non! Cette affaire devrait être plus grave que ne le pensent les contempteurs du prince. Au regard des positions sociales des personnages mis au banc de la confiance du Chef des armées, aussi brusquement et brutalement. Ils occupaient des postes tellement sensibles et stratégiques que rien, mais alors rien ne les prédisposaient à la négligence, à l'erreur encore moins à l‘intelligence avec l'ennemi. C'est une vérité de la palissade, enseignée dans toutes les écoles de guerres d'où sortent nos braves officiers de même que les adeptes de coup d'Etat et autres déstabilisateurs, que celui qui le quartier général affaiblît la garde présidentielle et déstabilise l'Etat-major, qui renseigne le chef des armées. Ces trois endroits stratégiques auxquels il faut ajouter la Direction de la sécurité présidentielle méritent d'y avoir des gens à la fidélité et au loyalisme à rude épreuve. Et dont la réputation, l'honorabilité et la crédibilité ne doivent, en aucun cas déteindre sur la vie du chef de l'Etat et la marche de la nation. Simplement parce que les conséquences s'irradient comme une tâche d'huile au-delà de la sphère institutionnelle qui convoque le maniement de l'arme et le renseignement stratégique, pour se muer dans un imbroglio tribale-politique. Car, hélas l'histoire retiendra au moment opportun dans cette République d'impostures et d'hypocrisie que ceux qui avaient perdu la confiance de Paul Biya, à un moment aussi crucial qu'un voyage hors du pays était des Béti.
On aura tôt fait d'oublier leurs états de services personnels avant leur renvoi, de même qu'avant leur nomination. La dégénération de ce fait du Prince, entretenue parfois par ceux là qui y bénéficient un moment ira jusqu'à légitimer la stigmatisation d'une tribu, d'un clan ou d'une ère géopolitique. On aura tôt fait d'oublier ces quelques faits qui méritent d'être rappelés parce que relayés par cette même Opinion. En 1984, lorsque les forces réfractionnaires du Mouvement J'OSE avaient décidé de conduire le glaive du départ d’un béti, d'un pouvoir donné par un «haoussa», il y avait dans les rangs des loyalistes venus de toutes les tribus un certain Ebogo Titus. A ne pas confondre avec le fils du Colonel Ebogo, qui certainement mû par la notoriété et le respect dont jouit son père a choisi la carrière des armes. Au point de mériter de la nation en tant que soldat, de la garde présidentielle au quartier général où il connu malheureusement l'opprobre et le déshonneur. Des dossiers compliqués amoncelés sur la table du Président parlent de sa présumé implication dans le suicide d'un capitaine qu'on aurait éloigné de Yaoundé pour mieux jouir de son épouse. S'étant rendu compte d'une grossesse qu'il ne reconnaissait, le cocu aurait été abattu par un adjudant de même que sa femme qui reçue deux balles. Les spécialistes de la balistique criminelle disent que l'histoire n'est pas très prolixe des gens qui se suicident en se mettant eux-mêmes deux balles dans la tête. Ce sont ces mêmes détracteurs qui fatigués de vouloir trucider le fils du valeureux colonel Ebogo Titus ont expliqué au Chef de l'Etat que son fils bouderait le quartier général parce que justement il voulait être ... Général. Laissons de côte, ces histoires sordides qui voulaient nous faire gober que ce dernier aurait arraché une des petites de son père, question de bien corser ce que ses détracteurs, jaloux de ses hauts faits d'armes au centre de formation de la Gb appellent son péché mignon.
En 2011, contrairement à une politique entretenue de la mangeoire, l'histoire retiendra et c'est le candidat lui-même qui l'a raconté, que le frère de l'ex-commandant de la garde présidentielle était candidat à la présidence, à la suite des nombreuses frustrations subies auprès de sa belle-sœur. L'attitude très irrévérencieuse de l'épouse du colonel Etoundi Nsoe dont on dit très portée sur le business, vis-à-vis de son beau frère qui ne demandait comme d'autres qu'à jouir de la situation privilégiée du grand frère, a fini par perdre l'époux. N'en déplaise il eut été difficile, au-delà des incidents dont a été l'objet certains soldats de ce corps d'Elite ces derniers temps, d'oublier que si le frère avait été élu, son garde s'appellerait...
Son grand frère. Ignorant qui interpelle le pays en cette fin de règne où le Président Paul Biya est poussé à bout par une politique de vide autour de lui. Ces histoires et bien d'autres où il se raconte que l'épouse de l'ex-commandant de la garde présidentielle aurait chassé la fille de son beau frère de candidat contre Paul Biya, de la maisonnée ont arraisonné le quotidien de ceux qui pensent déjà tout haut que les Béti ont trop mangé. L'histoire retiendra et nous y veillerons qu'au-delà de la perte de confiance, c'est plus l’attitude de son frère cadet et de son épouse qui aurait milité en faveur de sa mise au banc. Voire!
Le 25 janvier 2013, comme il fut jadis avec le fils du Colonel Ebogo, Paul Biya a nommé un officier au mérite consolidé dont la nation maîtrise les états de services, a éprouvé sa loyauté, son humilité et sa simplicité. Contrairement à tous les jouisseurs qui profitent goulûment de la proximité même professionnelle d'avec le prince pour commettre toutes sortes de bévues et de crimes. Le colonel Melingui dont la majorité ne savait même pas qu'il était le chef de la protection rapprochée de Paul Biya depuis des décennies est plus que conscient de l'environnement qui a précédé son choix et surtout que l’arbre doit rassurer la promesse des fleurs. Et qu'à la moindre incertitude son entourage qui va grossir-retiendra hélas simplement qu'un béti a encore trahi un autre béti...Paul Biya-hélas.
Il est resté à sa place depuis le décès tragique de son prédécesseur et non moins illustre chef, le Général Benae Mpecke. On ne lui reconnaît jusqu'alors aucune frasque jusque dans son entourage familial, l'humilité, la discrétion et son attachement aux institutions qu'incarne le Chef de l'Etat lui ont valu à titre personnel d'être élevé exceptionnellement à la dignité de Général de brigade Amougou Emmanuel qui voit aussi sa confirmation au poste comme un couronnement d'une carrière professionnelle sait mieux que quiconque que le Président Biya ne l'a pas mis à l'abri des pièges- que ne manqueront pas de lui tendre les ennemis de la République. Et dont certains seront ses propres frères qui ont depuis longtemps vendu leurs armes à l'ennemi pour assouvir leurs bas desseins.
Faisons fi de la jeunesse (relative et à minimiser dans le secteur névralgique de la sécurité) de l'Officier Beko’o Abonda Raymond Charles pour nous rappeler qu'il demeurera pour la postérité celui que le chef de l'Etat a appelé au secours à un moment critique. L'officier d'active, spécialiste de la guerre sous-marine, des mangroves et de la guérilla urbaine qu'il aura pratiqué avec brio au sein du bataillon d'intervention rapide ce qu'on attend de lui. Surveiller, se surveiller, être à l'écoute de la troupe, rester ferme et proactif, tourner le dos à l'affairisme, au clientélisme, aux luttes d'influences qui pullulent là-bas.
Autant d'atouts et de faits d'armes qui doivent guider toute interprétation d'un acte du chef de l'Etat surtout de la façon que l'on a connu vendredi dernier sur une aire géopolitique ou une tribu qui pourtant a aussi donné le meilleur de lui-même! Dommage, une fois de plus comme le déploiera le patriarche d'Ongola Ewondo que les béti aient encore perdu d'autres postes stratégiques dont le chef de la protection rapprochée, le commandant du quartier général ou de la garde présidentielle n'étaient que des fresques rigoureuses de la tragédie de ce valeureux dont les fils se bouffent entre eux. Par action ou par omission. En pensée ou en paroles. Hélas!