Crimes rituels de Mimboman - Jean Luc Tahoc Mongho Fotso: L’homme de main tourne en rond
Yaoundé, 1er avril 2013
© B.A.M. | La Nouvelle
Il se présente lui-même comme l'homme de main du présumé commanditaire des crimes rituels de Mimboman et de Bafoussam.
Agé de 39 ans, le fils de Mongho Fotso Joseph et de Wonkam Suzanne se présente sous la casquette de cultivateur et éleveur vivant à Bafoussam qui de nos jours ne jouit plus de sa liberté. Et pour cause, il est cité aux crimes crapuleux de Mimboman, quartier désormais tristement célèbre. Selon une source proche de la famille, le lien que les enquêteurs ont pu établir entre le suspect Tahoc jean Luc et les assassins c'est qu'il a travaillé pendant plusieurs années avec Emmanuel Nono soupçonné d'être l'organisateur de tous ces crimes qui continuent à faire des vagues dans la capitale politique du Cameroun. L'assassin Ndeambou Bertrand qui a avoué son forfait a entraîné dans sa déchéance Tahoc Mongho Fotso qu'il indique comme récepteur des colis sépulcraux qu'il a souvent transportés. Cependant il est à noter que lors de la descente de la police avec Ndeambou sur Bafoussam, le suspect a essayé de brouiller les pistes en indiquant une autre personne qui n'était pas Tahoc. C'est après une grande insistance et une menace policière qu'il donnera le nom de Tahoc Mongho. Les recherches des fins limiers montreront plus tard que la maison qu'indiquera Ndeambou est très connue de Tahoc qui en possède d'ailleurs les clés. La description cohérente des lieux avant même que la perquisition n'y est lieu sera tellement cohérente qu'on mettra le grappin sur Tahoc sans autre forme de procès. Une source à Bafoussam indique que la maison d'habitation de Tahoc est véritablement impressionnante et peut être estimée à plus de 100 millions de FCFA. La question reste de savoir d'où lui vient l'argent qui lui permet de vivre ce que d'aucuns appellent à Bafoussam, le luxe insolent, si ce n'est par le truchement d'un homme d'affaires puissant, cité par Ndeambou.
© B.A.M. | La Nouvelle
Il se présente lui-même comme l'homme de main du présumé commanditaire des crimes rituels de Mimboman et de Bafoussam.
Agé de 39 ans, le fils de Mongho Fotso Joseph et de Wonkam Suzanne se présente sous la casquette de cultivateur et éleveur vivant à Bafoussam qui de nos jours ne jouit plus de sa liberté. Et pour cause, il est cité aux crimes crapuleux de Mimboman, quartier désormais tristement célèbre. Selon une source proche de la famille, le lien que les enquêteurs ont pu établir entre le suspect Tahoc jean Luc et les assassins c'est qu'il a travaillé pendant plusieurs années avec Emmanuel Nono soupçonné d'être l'organisateur de tous ces crimes qui continuent à faire des vagues dans la capitale politique du Cameroun. L'assassin Ndeambou Bertrand qui a avoué son forfait a entraîné dans sa déchéance Tahoc Mongho Fotso qu'il indique comme récepteur des colis sépulcraux qu'il a souvent transportés. Cependant il est à noter que lors de la descente de la police avec Ndeambou sur Bafoussam, le suspect a essayé de brouiller les pistes en indiquant une autre personne qui n'était pas Tahoc. C'est après une grande insistance et une menace policière qu'il donnera le nom de Tahoc Mongho. Les recherches des fins limiers montreront plus tard que la maison qu'indiquera Ndeambou est très connue de Tahoc qui en possède d'ailleurs les clés. La description cohérente des lieux avant même que la perquisition n'y est lieu sera tellement cohérente qu'on mettra le grappin sur Tahoc sans autre forme de procès. Une source à Bafoussam indique que la maison d'habitation de Tahoc est véritablement impressionnante et peut être estimée à plus de 100 millions de FCFA. La question reste de savoir d'où lui vient l'argent qui lui permet de vivre ce que d'aucuns appellent à Bafoussam, le luxe insolent, si ce n'est par le truchement d'un homme d'affaires puissant, cité par Ndeambou.