Crime rituel: Un sexagenaire décapité à Dschang
DOUALA - 06 AOUT 2013
© Guy Modeste DZUDIE | Le Messager
La dépouille de N. André a été trouvée à proximité de son domicile au quartier Tsinkop. Les agresseurs de ce sexagénaire auraient emporté ses parties génitales.
© Guy Modeste DZUDIE | Le Messager
La dépouille de N. André a été trouvée à proximité de son domicile au quartier Tsinkop. Les agresseurs de ce sexagénaire auraient emporté ses parties génitales.
La dépouille de N. André a été trouvée
à proximité de son domicile au quartier Tsinkop. Les agresseurs de ce
sexagénaire auraient emporté ses parties génitales. Le commissariat du
Ier arrondissement de la ville de Dschang est penché sur un cas délicat
ces jours-ci. En effet, ses fins limiers enquêtent sur les circonstances
du décès de N. André, agent des Travaux publics à la retraite et dont
la dépouille a été trouvée inerte dans la matinée du vendredi 2 août
dernier à proximité de sa maison au quartier Tsinkop à Dschang. Selon
des informations puisées à bonne source, les parties génitales de
l’infortuné qui a été éventré, ont été enlevées par ses bourreaux. Le
médecin légiste est formel : N. André a reçu des coups de machettes et
de gourdins. Avant de voir ses organes génitaux sectionnés.
Un suspect a déjà été interpellé. Il séjourne dans une cellule du commissariat du Ier arrondissement de Dschang. Faut-il noter que les dernières personnes ayant vu N. André affirment que la veille, il ne s’est point empêché de s’offrir du plaisir devant quelques bouteilles d’alcool, avant de rejoindre à pied son domicile. D’où l’hypothèse selon laquelle, il aurait été frappé par des personnes ayant suivi ses gestes à la buvette.
Des faits coutumiers ?
Rappelons que de l’avis de plusieurs commissaires de police en service dans la région de l’Ouest, les crimes dits rituels font partie des fantasmes préférées de certains criminels. Surtout qu’il se dit qu’en plus d’assouvir leur soif diabolique, ils s’en vont proposer les organes humains en question à certains chantres des pratiques mystico-ésotériques. C’est ainsi que l’on se rappelle qu’au mois de décembre 2012, l’élève Libelle Makeu Fongang a été assassinée. Ses effets scolaires, ses sous-vêtements ainsi que son sac, relevaient-on dans la presse locale, avaient été retrouvés sur les lieux du crime. Lors des auditions des parents de Libelle Makeu Fongang, notamment Michel Fongang et Tchoussi Kamdjoua, père et tante de la défunte Makeu, l'on a fait savoir que la jeune fille avait disparu le 22 novembre 2012 et que son corps avait été retrouvé 2 jours plus tard présentant des brûlures et des bulles dues à l'inoculation d'une substance chimique.
«L'état de décomposition avancée du corps n'aurait pas permis aux parents de la victime de le conserver dans une morgue. Des sources concordantes, au moment où les éléments de la division régionale de la police judiciaire programmaient une descente sur Bafoussam, Ndeambou qui n'entendait pas livrer les vrais commanditaires, l’aurait désigné au cours d'une descente en direction de la gare routière de l'Est à Mimboman, un véhicule de marque Rav4, immatriculé Ce 976-El conduit par un certain François Mbukam, comme étant le véhicule appartenant à l'intermédiaire entre le grand patron et les criminels », rapportait à cet effet notre confrère de La Nouvelle Expression.
Un suspect a déjà été interpellé. Il séjourne dans une cellule du commissariat du Ier arrondissement de Dschang. Faut-il noter que les dernières personnes ayant vu N. André affirment que la veille, il ne s’est point empêché de s’offrir du plaisir devant quelques bouteilles d’alcool, avant de rejoindre à pied son domicile. D’où l’hypothèse selon laquelle, il aurait été frappé par des personnes ayant suivi ses gestes à la buvette.
Des faits coutumiers ?
Rappelons que de l’avis de plusieurs commissaires de police en service dans la région de l’Ouest, les crimes dits rituels font partie des fantasmes préférées de certains criminels. Surtout qu’il se dit qu’en plus d’assouvir leur soif diabolique, ils s’en vont proposer les organes humains en question à certains chantres des pratiques mystico-ésotériques. C’est ainsi que l’on se rappelle qu’au mois de décembre 2012, l’élève Libelle Makeu Fongang a été assassinée. Ses effets scolaires, ses sous-vêtements ainsi que son sac, relevaient-on dans la presse locale, avaient été retrouvés sur les lieux du crime. Lors des auditions des parents de Libelle Makeu Fongang, notamment Michel Fongang et Tchoussi Kamdjoua, père et tante de la défunte Makeu, l'on a fait savoir que la jeune fille avait disparu le 22 novembre 2012 et que son corps avait été retrouvé 2 jours plus tard présentant des brûlures et des bulles dues à l'inoculation d'une substance chimique.
«L'état de décomposition avancée du corps n'aurait pas permis aux parents de la victime de le conserver dans une morgue. Des sources concordantes, au moment où les éléments de la division régionale de la police judiciaire programmaient une descente sur Bafoussam, Ndeambou qui n'entendait pas livrer les vrais commanditaires, l’aurait désigné au cours d'une descente en direction de la gare routière de l'Est à Mimboman, un véhicule de marque Rav4, immatriculé Ce 976-El conduit par un certain François Mbukam, comme étant le véhicule appartenant à l'intermédiaire entre le grand patron et les criminels », rapportait à cet effet notre confrère de La Nouvelle Expression.