Tous ceux qui ont lu avec un peu de recul les sanctions infligées à certains médias privées, ont remarqué que cet organe dit de régulation se présente plutôt comme une institution chargée de traquer la presse privée : voici pourquoi.Le conseil national de la communication vient de publier un communiqué de presse dans lequel il rend compte des résolutions de se dernières assises. Il ressort de ce communiqué que des quatre points qui étaient inscrits à l’ordre du jour, c’est le quatrième point qui portait sur le contenu des organes de presse qui était le plus préoccupant.
Notre très cher conseil sur ce point a décidé de sanctionner des organes de presse. Il s’agit plus précisément de la suppression des programmes et de la suspension des présentateurs de ces programmes. Ces sanctions concernent des chaines de télévisions et de radio privées. L’ensemble de la presse nationale, publique et privée a relayé ces mesures comme si tout allait de soi. Pourtant la lecture du communiqué du conseil impose de la part de tout esprit critique, un minimum de recul. D’abord, on peut s’interroger sur ce choix du conseil à entamer ses activités par des sanctions. Est-ce à penser que le conseil n’ait été mis sur pied que pour traquer la presse privée ? Sinon comment comprendre que le conseil n’ait choisi de s’illustrer que par les sanctions ? N’est-ce pas donner raison à ceux qui considèrent cet organe comme un bras séculier du régime en place ? et même si l’on parlait de sanction liée au contenu des programmes comment le conseil a-t-il pu ignorer une plainte formulée par l’opinion national et qui a fait objet de débat dans les média qui porte sur la générique qui précède le journal au poste national ? Un générique jugé inadapté au contexte démocratique puisqu’il fait l’éloge d’un homme politique.
Du moins quelque soit le bout par lequel l’on analyse ces décisions du conseil, on aboutira toujours à la même observation : ce conseil a pris parti pour le régime en place au détriment de la presse privée. Le conseil a mieux à faire plutôt qu’à s’acharner sur les medias privés. Il y’a entre autre problème : l’établissement de la carte de presse, la question de la gestion des redevance audio visuel et de la répartition des publicités, celui de l’application de la convention collective qui doit mettre fin a la clochardisation des journalistes nom sans oublier l’épineuse question de la condition d’accès et d’exercice du métier de journaliste. Apparemment, ces problèmes ne préoccupent pas notre chaire conseil. Se qui le préoccupe, ces de fustigé la presse privés en annoncent la couleur par des sentions.des sentions toutes aussi curieuse qui se fonde sur la justification de la diffusion des images qui porte atteinte a la sensibilité pour les chaines de télé et des programmes radio don le contenus porte atteinte a la vie privé. Ces sentions son toute étonnante des lords que les mises en cause nom pas étais convoqué pour être entendu. Pourtant le conseil supérieur de la magistrature qui lui aussi inflige des sentions au contrevenant procède tous de même a l’audition des magistrats accuser d’indélicatesse.ces dernier son même souvent accompagné par des avocats qui les assistes pour leurs défenses. Etonnant est don de voir le conseil national de la communication infliger des sentions a des médias et a des individus sans recueillir leur explications ne fut-ce que.
Il va s’en dire que de tels procédés constituent
un signal for à l’endroit de la presse privé. Car en décidant
d’infliger des sanctions sans écouter les mise en cause, et a partir de
ses propres appréciation, le conseil démontre qu’il se constitue
désormais en bourreau de la presse privé. Et ces a ceux niveaux que les
syndicats des journalistes devraient rester vigilant et engager des
maintiennent une riposte a se qui apparais comme le déclanchement du
musèlement des medias privé.
Contrairement au confrère qui on cru juste de relayer ces décision
comme pour nargue les médiats sanctionner, il y a plutôt lieux de se
demande a qui le tour ? Puisque se qui arrive aujourd’hui au autres est
se qui nous arriveras aussi demain. Décidément le conseil le démontre
qu’il est mieux placé pour dire quel émission est validable et la quel
doit être supprimé. La presse écrit na plus qu’a bien se tenir, elle qui
est très souvent virulente dans ces critiques. Le conseil est là et ne
tardera pas a remplir sa véritable mission qui est de ramené l’ensemble
de la presse privé a l’éloge de l’action du régime, cet a dire à
l’adoption de la penser unique.