CODE: "Démenti formel et urgent d'un article mensonger du Messager"
PARIS - 31 JAN. 2013
© Moïse ESSOH | Correspondance
"Je tiens à apporter un démenti formel à cette ignoble désinformation. Il ne s'agit pas de réclamer des faits pour quelque gloire que ce soit, mais de rétablir l'information exacte. Car la désinformation est une arme de manipulation et de déstabilisation du peuple."
Cher M. le rédacteur-en-chef de Cameroon-Info.Net,
Je lis ce matin sur votre site internet la reprise d'un article du journal Le Messager
http://www.cameroon-info.net/stories/0,41035,@,paris-france-le-code-manifeste-a-l-hotel-de-paul-biya-quatre-manifestants-embarq.html
indiquant que:
"Quelques dizaines de minutes après le retour du président camerounais à son hôtel, juste après avoir rencontré François Hollande, une dizaine de personnes se présentant comme leaders du CODE ont assailli l’hôtel Meurice.
Ce groupe de manifestants parmi lesquels le reporter du Messager a pu reconnaître l’ex-commissaire Ebené et Steve Ngando brandissaient des messages hostiles vis-à-vis du chef d’Etat camerounais qu’ils reprochent d’avoir confisqué le pouvoir. Chief Mila Assouté de passage, est venu leur marquer un signe de soutien.
Mais la manif a été brève puisque la police qui bouclait l’hôtel a été secourue par la gendarmerie. Les manifestants ont donc été dispersés et quatre parmi eux ont été embarqués par la gendarmerie.
Aussitôt un déploiement sécuritaire a été effectué à l’ambassade du Cameroun à Paris."
Je tiens à apporter un démenti formel à cette ignoble désinformation. Il ne s'agit pas de réclamer des faits pour quelque gloire que ce soit, mais de rétablir l'information exacte. Car la désinformation est une arme de manipulation et de déstabilisation du peuple.
De "personnes se présentant comme leaders du CODE", il n'y avait que deux personnes, à savoir le commissaire Junior Zogo (et non Ebene), et ma modeste personne. Enre parethèses, pendant mon speech, j'ai utilisé le mot "responsable" qui est plus exact car diriger c'est prendre des responsabilités. Nos compagnons d'action étaient des membres du CCD, emmenés par leur responsable, le "général" Robert Waffo Wanto.
D'un certain Steve Ngando, personne n'en a jamais entendu parler.
De Mila Assouté, nous n'avons pas vu même l'ombre, ni à la manifestation de la rue du Faubourg St-Honoré (près de l'Elysée), ni devant l'Hôtel Meurice.
Je récuse de tels articles qui visent soit à désinformer volontairement le peuple kamerunais pour semer la confusion dans son esprit et occulter à sa connaissance l'identitté de ceux qui mènent de vraies actions (alors que l'information exacte est bien connue du régime, dont la tactique est justement de désinformer), soit à être monnayés pour des candidats réfugiés politiques. si tel est le cas, cela est contraire à notre éthique et mérite dénonciation.
Veuillez donc publier ce démenti que nous adresserons également directement au journal concerné.
Moïse ESSOH
Secrétaire exécutif du CODE
© Moïse ESSOH | Correspondance
"Je tiens à apporter un démenti formel à cette ignoble désinformation. Il ne s'agit pas de réclamer des faits pour quelque gloire que ce soit, mais de rétablir l'information exacte. Car la désinformation est une arme de manipulation et de déstabilisation du peuple."
Cher M. le rédacteur-en-chef de Cameroon-Info.Net,
Je lis ce matin sur votre site internet la reprise d'un article du journal Le Messager
http://www.cameroon-info.net/stories/0,41035,@,paris-france-le-code-manifeste-a-l-hotel-de-paul-biya-quatre-manifestants-embarq.html
indiquant que:
"Quelques dizaines de minutes après le retour du président camerounais à son hôtel, juste après avoir rencontré François Hollande, une dizaine de personnes se présentant comme leaders du CODE ont assailli l’hôtel Meurice.
Ce groupe de manifestants parmi lesquels le reporter du Messager a pu reconnaître l’ex-commissaire Ebené et Steve Ngando brandissaient des messages hostiles vis-à-vis du chef d’Etat camerounais qu’ils reprochent d’avoir confisqué le pouvoir. Chief Mila Assouté de passage, est venu leur marquer un signe de soutien.
Mais la manif a été brève puisque la police qui bouclait l’hôtel a été secourue par la gendarmerie. Les manifestants ont donc été dispersés et quatre parmi eux ont été embarqués par la gendarmerie.
Aussitôt un déploiement sécuritaire a été effectué à l’ambassade du Cameroun à Paris."
Je tiens à apporter un démenti formel à cette ignoble désinformation. Il ne s'agit pas de réclamer des faits pour quelque gloire que ce soit, mais de rétablir l'information exacte. Car la désinformation est une arme de manipulation et de déstabilisation du peuple.
De "personnes se présentant comme leaders du CODE", il n'y avait que deux personnes, à savoir le commissaire Junior Zogo (et non Ebene), et ma modeste personne. Enre parethèses, pendant mon speech, j'ai utilisé le mot "responsable" qui est plus exact car diriger c'est prendre des responsabilités. Nos compagnons d'action étaient des membres du CCD, emmenés par leur responsable, le "général" Robert Waffo Wanto.
D'un certain Steve Ngando, personne n'en a jamais entendu parler.
De Mila Assouté, nous n'avons pas vu même l'ombre, ni à la manifestation de la rue du Faubourg St-Honoré (près de l'Elysée), ni devant l'Hôtel Meurice.
Je récuse de tels articles qui visent soit à désinformer volontairement le peuple kamerunais pour semer la confusion dans son esprit et occulter à sa connaissance l'identitté de ceux qui mènent de vraies actions (alors que l'information exacte est bien connue du régime, dont la tactique est justement de désinformer), soit à être monnayés pour des candidats réfugiés politiques. si tel est le cas, cela est contraire à notre éthique et mérite dénonciation.
Veuillez donc publier ce démenti que nous adresserons également directement au journal concerné.
Moïse ESSOH
Secrétaire exécutif du CODE