Cameroun/Suisse - Hôtel intercontinental de Genève: Les derniers réglages d'un remaniement avant le 20 mai
Yaoundé, 22 Avril 2014
© Ernest Kouo | L'Epervier
Genève, capitale de la Suisse, est la retraite préférée du Président Biya et généralement, il en ressort suffisamment requinqué pour donner un puissant coup de pied dans la fourmilière.
Le 31 mars dernier, un imprévu a failli déranger le calendrier politique de Paul Biya. L'arrestation-libération de Louis Bapes Bapes, ministre en fonction des Enseignements secondaires en poste depuis 10 ans, avait secoué le sérail et amusé les commentateurs politiques. Certaines personnes n'apprécient pas les retraits de Paul Biya en Suisse. A vrai dire, le Président de la République observe mieux le Cameroun depuis l'étranger. En effet, à l'intérieur du pays, les apprentis sorciers passent le temps à l'envoûter.
L'environnement de Mvomeka'a et Etoudi importune Paul Biya. Des sources dignes de foi révèlent que le Chef de l'Etat ne supporterait plus son entourage encombrant. Cette cour impériale constituée en majeur partie des Nanga Eboko, Babouté et des gens de l'Est aurait pollué mystiquement le milieu et l'espace présidentiel, chacun tirant la couverture de son côté, certaines décisions que voudrait prendre le Président de la République se trouvant gelées par les puissances mystiques et maléfiques.
Entre temps, le pays marque le pas. Certaines personnes trouvent même Paul Biya beaucoup plus réceptif en Europe que lorsqu'il est au Cameroun, à cause d'un protocole qui voudrait tout régenter. Certains hommes d'affaires et investisseurs qui s'intéressent à notre pays sont souvent rabroués, voire arnaqués par l'entourage de Paul Biya sans jamais parvenir à rencontrer le Chef de l'Etat, alors que prêts à investir au pays.
Le Président de la République en Suisse, liquide rapidement le lot des parapheurs, reçoit Camerounais et étrangers qui participent au développement du pays, réfléchit sereinement sur le remaniement et la relance effective de l'opération Epervier.
© Ernest Kouo | L'Epervier
Genève, capitale de la Suisse, est la retraite préférée du Président Biya et généralement, il en ressort suffisamment requinqué pour donner un puissant coup de pied dans la fourmilière.
Le 31 mars dernier, un imprévu a failli déranger le calendrier politique de Paul Biya. L'arrestation-libération de Louis Bapes Bapes, ministre en fonction des Enseignements secondaires en poste depuis 10 ans, avait secoué le sérail et amusé les commentateurs politiques. Certaines personnes n'apprécient pas les retraits de Paul Biya en Suisse. A vrai dire, le Président de la République observe mieux le Cameroun depuis l'étranger. En effet, à l'intérieur du pays, les apprentis sorciers passent le temps à l'envoûter.
L'environnement de Mvomeka'a et Etoudi importune Paul Biya. Des sources dignes de foi révèlent que le Chef de l'Etat ne supporterait plus son entourage encombrant. Cette cour impériale constituée en majeur partie des Nanga Eboko, Babouté et des gens de l'Est aurait pollué mystiquement le milieu et l'espace présidentiel, chacun tirant la couverture de son côté, certaines décisions que voudrait prendre le Président de la République se trouvant gelées par les puissances mystiques et maléfiques.
Entre temps, le pays marque le pas. Certaines personnes trouvent même Paul Biya beaucoup plus réceptif en Europe que lorsqu'il est au Cameroun, à cause d'un protocole qui voudrait tout régenter. Certains hommes d'affaires et investisseurs qui s'intéressent à notre pays sont souvent rabroués, voire arnaqués par l'entourage de Paul Biya sans jamais parvenir à rencontrer le Chef de l'Etat, alors que prêts à investir au pays.
Le Président de la République en Suisse, liquide rapidement le lot des parapheurs, reçoit Camerounais et étrangers qui participent au développement du pays, réfléchit sereinement sur le remaniement et la relance effective de l'opération Epervier.