Cameroun - Exclusif: Ils avaient déja leur place au gouvernement Marafa

YAOUNDÉ - 19 Juin 2012
© MEKOL KPWEM | L'Anecdote

Ces personnalités sont membres de l'actuel gouvernement ou non, Dg des entreprises étatiques, cadres de la haute administration publique, hommes d'affaires, députés, actuellement prisonniers de «luxe» à Kondengui, New-Bell.Incursion dans le paysage des chauves-souris de Paul Biya.


La Une: L'Anecdote - 19/06/2012
Photo: © L'Anecdote


Ces personnalités sont membres de l'actuel gouvernement ou non, Dg des entreprises étatiques, cadres de la haute administration publique, hommes d'affaires, députés, actuellement prisonniers de «luxe» à Kondengui, New-Bell... A l'Elysée, la Maison Blanche, le Kremlin, Berlin, au Palais du Peuple, 10 Downing Street..., la liste des gouvernants du régime en préparation de l'ex-Sgpr et Minatd détenu au Sed qui ambitionne toujours la magistrature suprême est disponible depuis des mois. A quelques exceptions près, ils ont un point commun: celui d'être homosexuel. Incursion dans le paysage des chauves-souris de Paul Biya.


Messengue Avom, premier ministre chef du gouvernement

L'ancien ministre des Travaux publics, chassé du gouvernement au terme des textes présidentiels du 09 décembre 2011, dit-on parce qu'au centre du détournement des fonds de la route Ayos-Bonis, pour avoir été choisi par Marafa Hamidou Yaya comme premier ministre Chef du gouvernement dans le régime du renégat en fin d'élaboration jusqu'à peu avait bénéficié d'un avantage important. Celui d'appartenir originairement au grand Centre (regroupement des régions du Centre, Sud et Est). L'ancien Mi¬natd prévoyant que les peuples de ces zones avaleraient difficilement la pilule de son arrivée au palais de l'unité. Il était donc question d'amadouer les Béti et les autres en leur accordant le poste de premier ministre, chef du gouvernement. Messengue Avom aurait donc frappé un grand coup, lui que des langues voyaient Sg/prc au lendemain du remaniement d'après les présidentielles 2011. S'il ne s'était pas compromis dans les fonds de la route Ayos-Bonis.



Jules Dorêt Ndongo, Délégué général de la sureté nationale

L'actuel ministre délégué auprès du ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation s'attendait à monter d'un cran dans le gouvernement Marafa, lui qui confie avoir trop donné à l'actuel régime mais sans être récompensé à sa juste valeur. Pour remédier à cette injustice, Marafa envisageait nommer Jules Dorêt Ndongo avec qui il partage les mêmes préférences sexuelles Délégué général à la Sureté nationale. Le flic des flics. Des dernières informations, Jules Dorêt Ndongo est depuis samedi dernier du coté de l'Europe avec sa famille. Il devrait entre autres rencontrer l'épouse légitime de Marafa. Qui s'y trouve en occident depuis pour entretenir et maintenir en éveil les lobbies occidentaux pro-Marafa. Objectif: faire le point.


Ekindi Camille, Directeur Général de la Société nationale des hydrocarbures

L'ancien Directeur Général du Crédit foncier, débarqué récemment de cette institution à cause de sa gestion alambiquée avait sa place au soleil dans cette équipe. Camille Ekindi devait être nommé Directeur Général de la Société nationale des hydrocarbures.


Yves Michel Fotso, secrétaire général à la présidence de la République

Sous le règne de Marafa Hamidou Yaya à sa «présidence de la république», Yves Michel Fotso, lourdement et négativement impliqué dans le vaste détournement des fonds publics destinés à l'achat de l'avion présidentiel «Albatros», n'allait pas seulement retrouver sa liberté perdue depuis des mois. Parce qu'en détention préventive d'abord à la prison centrale de Kondengui et depuis peu dans les cellules du secrétariat d'Etat à la défense, le fils du milliardaire de Bandjoun, proche de l'ex Sg/prc et Minatd à plusieurs points était appelé à conduire le prestigieux secrétariat général de la présidence de la république au gouvernement des conspirateurs qui a circulé dans certaines capitales occidentales et ailleurs. L'ex Adg de la défunte compagnie aérienne nationale Camair devenait ainsi, au cas où... le principal collaborateur du président de la république de Marafa Hamidou Yaya.

Qui a osé nier qu’Yves Michel Fotso est «le préféré» de l'ex Minatd aux pratiques sexuelles inhumaines.


Jean Louis Beh Mengue, Secrétaire général des services du Premier ministre

C'est l'actuel Dg de l'Agence de régulation des télécommunications (Art) de ces notes confidentielles adressées aux chancelleries occidentales et d'ailleurs qui allait être chargé de conduire les services du premier ministre dans le gouvernement l'ancien ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation. Nous révélions récemment les relations entre Jean Louis Beh Mengue et Marafa Hamidou Yaya.


Faï Yengo Francis, Ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation

Pour avoir passé presqu'une décennie au ministère de l'Administration territoriale et de la décentralisation (Ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation), Marafa Hamidou Yaya connaît bien l'importance de ce département ministériel ne dit-on pas que qui maîtrise l'administration territoriale maîtrise tout le pays? C'est certainement pourquoi l'homme jetait son dévolu sur un homme de confiance: Faï Yengo Francis. L'ancien gouverneur de la région du Littoral et Pca du Pad allait être chargé de palper le pouls du pays dans tous les coins et recoins du Cameroun.


Juimo Monthé, ministre du Commerce

La décision du Sdf de Ni Jonh Fru Ndi de mettre à la disposition de Marafa Hamidou Yaya, pour sa défense dans l'affaire Albatros son conseil a surpris plus d'un. Quand on sait que l'ex-ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation, n'a pas seulement mené la vie dure qu'aux autres partis d'opposition. Même le Sdf a laissé les plumes dans les méthodes de Marafa au Ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation. Avec le contenu des documents que l'Anecdote dévoile, on comprend bien que les relations étroites entre l'ex-Sg/Prc et ce parti, dans la perspective de la conquête du pouvoir suprême date de plusieurs mois. A ce sujet, Joshua Oshi, Vice président du Sdf devait conduire le ministère chargé des états généraux et de la réconciliation nationale avec le titre de ministre d'Etat.


Didier Edoa, Ministre des Finances

Celui qui affuble l'actuel ministre des Finances de tous les noms d'oiseaux à la moindre occasion est certes méconnu dans l'opinion publique, malgré son poste de Directeur général du budget du Minfi, figurait parmi les pièces clefs du dispositif Marafa. Didier Edoa attendait sereinement son bombardement au stratégique ministère des Finances du gouvernement de l'ancien secrétaire général de la présidence de la République détenu au Sed du fait de son implication dans l'affaire Albatros. L'originaire du département de la Lekié dans la région du Centre ne cachait pas son antipathie à l'égard de Paul Biya. Reprochant parfois sans vergogne au président de la République d'avoir «mis tout en œuvre pour empêcher le Cameroun de décoller économiquement et de vouloir plonger le pays dans le chaos au crépuscule de son règne en arrêtant des personnalités susceptibles de montrer une voie autre que celle de la léthargie et de la mal-gouvernance au pays».


Christophe Mien Zok, ministre de la Communication

Ceux qui sont au faîte des liens étroits qui existent entre l'ex Minatd, privé de liberté du côté du Secrétariat d'Etat à la Défense (Sed), comme présumé impliquer négativement dans l'affaire Albatros et le maire d'On¬gossa s'effondrent en rires. Quand ils regardent Christophe Mien Zok obligé de dire des méchancetés sur Marafa Hamidou Yaya, en sa qualité de communicateur du comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) d'un plateau de télévision ou de radio à un autre. Pour essayer de tromper le régime de Yaoundé, et donc Paul Biya qu'il est de tout cœur avec la politique d'assainissement de la gestion des fonds publics menée des mains de maître par Paul Biya. Une politique qui annone des jours encore plus sombres pour l'ex-Minatd déchu. Tout observateur vigilant de la gestuelle du Directeur de la Rédaction de l'organe de communication du parti des «flammes», L'Action, dans ces interventions médiatiques pourrait bien observer l'hypocrisie qui se dégage de ces mouvements du corps de Christophe Mien Zok.

En sus fait que M. le maire peine dans sa pseudo défense du régime à trouver à dire sur la démarche de l'ex-baron du département de la Bénoué. Ce sont les dévoilements du contenu des valises diplomatiques envoyés par Marafa dans certain pays, particulièrement ceux possédant un droit de véto au Conseil de sécurité de l'Onu qui expliquent l'embarras du maire que ses administrés voient rarement sur le terrain. Ces documents martelant que Christophe Mien Zok était sur le point d'être bombardé au poste de ministre de la Communication du gouvernement Marafa.


François Marc Modzom, Directeur Général Crtv

0n comprend bien la débauche d'énergie du rédacteur en chef de la Crtv à défendre les affidés homosexuels de Marafa Hamidou Yaya, mercredi dernier, dans l'édition du 7h 00 de la chaîne nationale publique. Dans ce qu'on appelle du côté de la Crtv-radio «la chronique politique de François Marc Modzom du mercredi», le journaliste débauché a confié «j'ai honte de la presse camerounaise». En ajoutant que le phénomène de la «lithographie» (peut être le journalisme de liste pour lui) a refait surface dans la presse camerounaise. Sans avoir le courage d'indexer les organes de presse dans sa ligne de mire. Dans son discours insipide et fatiguant, l'homme à la promotion «canapé» semblait dire que certaines personnalités sont victimes d'un lynchage médiatique en bonne et due forme à travers l'invective des médias qui n'existent que dans son subconscient. Evoquant dans ses phrasés vie privée et pudeur, L'Anecdote a cru comprendre que le pseudo responsable de notre Crtv s'insurgeait contre nos révélations des obédiences sexuelles contre nature de certaines personnalités chauves-souris du régime de Yaoundé. François Marc Modzom qualifiait à ce sujet de «molle» et sans «conviction» la réaction du Conseil national de la communication de Mgr Befe Ateba, dans les «drames familiaux» que provoque la presse républicaine qui dénonce l'enracinement des pratiques d'homosexualité au Cameroun alors que la constitution interdit formellement ces débordements. La communication est allé jusqu'à appeler à un «aggiornamento» dans la presse camerounaise qu'il prie le bon Dieu de réaliser. Que d'avoir honte de la presse camerounaise, François Marc Modzom devrait commencer par avoir honte de lui-même. Lui le défenseur des causes de ceux qui violent allègrement la loi fondamentale du Cameroun. On comprend bien que ce journaliste des temps de l'obscurantisme veuille bien défendre les intérêts de ses «frères» gays. Mais, pour l'instant, il devrait le faire dans leur chambre de partouze avec les autres dévoyés de Marafa. Parce que la loi est ferme sur ce sujet et les habitudes des sociétés africaines aussi.

Que dire de l'irresponsabilité qui berce la sortie du Rec. L'homme n'a pas eu le courage de pointer du doigt un organe de communication précis. Se fondant en «j'ai honte de la presse camerounaise». Dans le royaume de ces personnalités chauves-souris, François Marc Modzom occuperait une place de choix. Le journaliste des réseaux Marafa, des sources, traite son patron, le Dg de la Crtv, Amadou Vamoulké de tous les noms d'oiseaux inimaginables. Bravo les alliances contre nature! Les voisins de l'employé de la tour de contrôle de Mballa II, du côté de Biteng un quartier de Yaoundé, en plein marécage s'étonne des bougies que ce dernier allume en pleine nuit en invoquant le nom d'Amadou Vamoulké. Des révélations des documents des valises diplomatiques, François Marc Modzom occupait le poste de Dg de la Crtv, au régime de Marafa. On comprend plus cette descente dans les rings du journaliste pour faire corps avec les membres de la «marafanustocratie». Dans la même logique de la traitrise, le nom de François Marc Modzom avait circulé récemment comme faisant partie-. de ceux qui' ont confectionné et procédé à la distribution des tracts pro-Marafa à Douala, Yaoundé et Maroua.


Youssouf Adidja Alim, présidente du Conseil économique et social

Dans une de nos précédentes publications, nous dévoilons déjà les relations étroites entre Marafa Hamidou Yaya et l'actuel ministre de l'Education de base malgré l'interpellation de l'ancien ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation et de dévoilement de l'ambition présidentielle, avec pour racine «l'anustocra¬tie». L'Anecdote révélait également la haine, que nourrit Youssouf Adidja Alim à l'égard de Paul Biya, l'accusant d'avoir ordonné l'exécution d'un de ses parents impliqué dans la tentative de coup d'Etat d'avril 1984. Les documents exclusifs top secrets qu'à pu parcourir votre hebdomadaire affirme que Youssouf Adidja Alim avait choisi d'aller se reposer, loin des bruits des ministères au conseil économique et social. Les 1ers décrets du « président Marafa » devaient faire de cette originaire du Grand-nord la présidente de cette institution.


J. Emmanuel Pondi, Ministre des Relations extérieures

L'actuel secrétaire général de l'université de Yaoundé 1 avait certainement la certitude que son masque ne tomberait pas. Lui qui est un membre actif de la «Marafanustocratie». Des informations des chancelleries occidentales, Jean Emmanuel Pondi occupait le poste de souveraineté de ministre des relations extérieures dans le gouvernement Marafa. Si le bagage académique et l'expérience dans l'analyse des relations internationales ont également contribué à son choix par le peuhl à ce ministère, le popotin de l'agrégé de Droit aura pesé dans la balance. L'homme étant réputé dans le milieu homosexuel maître dans la maltraitance des derrières de ses étudiants qui aimeraient pousser un peu plus leurs études supérieures. On imagine comment il aurait été facile pour les lobbies homosexuels occidentaux, avec Jean Emmanuel Pondi au Ministère des Relation Extérieures de pousser à la légalisation de l'homosexualité au Cameroun. «Monsieur le Minrex de la shadow cabinet de Marafa...», le temps des chauves souris est désormais terminé!


Yaou Aïssatou, Secrétaire Général du Comité central du Rassemblement démocratique pour le redressement du Cameroun

La formation politique de Marafa Hamidou Yaya, le Rassemblement démocratique pour le redressement du Cameroun (Rdpc), dans les rêves présidentiels du déchu du gouvernement le 09 décembre 2011 allait simplement utiliser la même structuration que le Rdpc et son fichier de militants. Pour conduire ce «grand» parti, Yaou Aïssatou dont les accointances sont de notoriété avec Marafa devait être nommée Secrétaire général du comité central du Rdrc. Certainement son expérience en sa qualité de présidente nationale de l'Ofrdpc devrait beaucoup l'aider à s'acquitter de ses missions nouvelles.


Joshua Oshi, ministre d'Etat chargé des états généraux et de la réconciliation nationale

La décision du Sdf de Ni Jonh Fru Ndi de mettre à la disposition de Marafa Hamidou Yaya, pour sa défense dans l'affaire Albatros son conseil a surpris plus d'un. Quand on sait que l'ex-ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation, n'a pas seulement mené la vie dure qu'aux autres partis d'opposition. Même le Sdf a laissé les plumes dans les méthodes de Marafa au Ministre de l'Administration territoriale et de la décentralisation. Avec le contenu des documents que l'Anecdote dévoile, on comprend bien que les relations étroites entre l'ex-Sg/Prc et ce parti, dans la perspective de la conquête du pouvoir suprême date de plusieurs mois. A ce sujet, Joshua Oshi, Vice président du Sdf devait conduire le ministère t:shargé des états généraux et dei réconciliation nationale avec le titre de ministre d'Etat.


Maurice Kamto, ministre de la justice, des droits de l'homme et des libertés

Sa démission du gouvernement Yang Philémon, à quelques semaines du remaniement du 09 décembre 2011 et l'arrogance de l'agrégé de Droit envers le régime de Yaoundé avait fini par laisser interrogateur plus d'un observateur de la scène politique camerounaise. Le dévoilement des valises diplomatiques éclaire désormais tout le monde sur ce zèle de l'ancien ministre délégué auprès du Ministre de la justice. Dans ces documents top secrets, Maurice Kamto était appelé à conduire les destinées d'un ministère reformé baptisé «ministère de la Justice, des droits de l'Homme et des libertés». Le Pr Kamto, averti, s'enthousiasmait, des révélations de jouer les 1ers rôles et non plus les 2e dans les prochains jours avec Marafa Hamidou Yaya. Nos enquêtes sur les orientations sexuelles de l'intellectuel sont suffisamment avancées. Nous ne manquerons pas de les dévoiler à nos lecteurs. Avec l'échec confirmé de l'ex Minatd dans son entreprise, Maurice Kamto voit certainement s'éloigner davantage une perspective d'installer au Cameroun un régime homosexuel.


Célestin Bedzigui, ministre de la Fonction publique et de la réforme de l'Etat

L'agitateur politique basé tantôt aux Usa, tantôt en France et pourfendeur en chef du régime Biya allait, avec son accord de principe à Marafa Hamidou Yaya occuper un grand ministère. Celui de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat. Ce département ministériel aurait pour mission de nettoyer en profondeur l'administration camerounaise on ne sait de quoi. A côté de ce porte feuille ministériel, Célestin Bedzigui aurait eu droit au titre de ministre d'Etat.


Amadou Sali, ministre des Transports

L'un des hommes clefs du dispositif Marafa, originaire du Grand nord, n'allait plus seulement, avec son actuel poste de président du Conseil d'administration de Camail, être les yeux et les oreilles de celui dont les ambitions présidentielles s'effondrent comme du beurre sur le soleil dans le secteur névralgique du transport ferroviaire. Devait être confié au député Amadou Sali le département ministériel des Transports, ces documents confidentiels.


El Hadj Baba Danpullo, ministre des Mines

L'homme d'affaires que des langues disent très proches de l'ex-Sg/prc et Minatd n'allait pas certainement mettre ses buisines en berne, après cette promotion. Au contraire. Elle lui aurait permis une spécialisation juteuse dans tout ce qui concerne Mines au Cameroun. El Hadj Baba Hamadou Danpullo que des informations lâchent multimillionnaire voire milliardaire en FCFA, dans la liste des ministres de Marafa Hamidou Yaya devait trôner au ministère des Mines.


Emmanuel Ngafesson, délégué général à la Gendarmerie

Emmanuel Ngafesson, ex-secrétaire d'Etat au ministère de la justice, chargé de l'administration pénitentiaire , chassé du gouvernement au terme des textes présidentiels du 09 décembre 2011, à cause de son implication directe dit-on, dans le scandale des Sms entre certains prisonniers de «luxe» de la prison centrale de Kondengui et des ministres, Dg et autres allait effectuer une entrée fracassante au gouvernement Marafa. Il lui était destiné le poste de Délégué général à la Gendarmerie, institution qui remplacerait le Secrétariat d'Etat à la Gendarmerie.


Dr Raphaël Okalla Abodo, ministre de la Santé

L'ancien secrétaire permanent du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) qui croupit à la prison centrale de Kondengui, happé par l'Epervier dans le cadre du détournement des fonds destinés à la lutte contre cette pandémie au Cameroun, octroyés par les bailleurs de fonds internationaux avait un grand destin dans le gouvernement Marafa. Dr Okala dans cette équipe gouvernementale devait diriger le ministère de la santé publique. Une manière pour le peuhl de redresser l'honneur qu'il juge bafoué de ce fonctionnaire.



19/06/2012
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