Cabale contre Paul Biya: La famille dans la nasse des conspirateurs
Yaoundé, 10 Décembre 2012
© Charles Nwé | La Nouvelle
Malgré leur étonnante discrétion et leur détachement pour la gestion de la chose publique, frères, sœurs, neveux, nièces, belles-familles et autres membres de la famille du président de la République ne manquent pas d'être la cible des conspirateurs de l'ombre. Pour un seul dessein: voir le président Paul Biya céder son fauteuil de président de la République acquis pourtant par les urnes.
L'affirmation est plus qu’une maxime: le Cameroun est Etat démocratique. Au moins parce que la dévolution du pouvoir se fait par suffrage universel, au terme d'élections libres et transparentes. Que ce soit aux élections municipales, législatives, présidentielles, c'est le peuple souverain qui est seul maître du choix de ceux qui doivent parler et agir en son nom. Cette avancée irréversible, à moins d’être de mauvaise foi, est l'œuvre d'un homme: Paul Biya, l'homme qui s'est juré, devant Dieu et devant les hommes, de laisser à la postérité l'image de celui qui a apporté à son peuple la Démocratie et la Prospérité. En est-on si éloigné aujourd'hui au Cameroun? La réponse coule de source. Et le chef de l'Etat tient à sa parole, une question d'honneur.
Seulement dans sa volonté ferme d'amener ses compatriotes vers le bon cap, force est de constater que des oiseaux de mauvaise augure ne semblent ne lésiner sur aucun moyen pour ramer à contre courant de la vision prophétique du chef de I ‘Etat. Aussi, alors que sur le plan politique, Paul Biya a plutôt laminé tous ses adversaires, d'autres apparemment moins inspirés semblent avoir décidé de sortir des armes non conventionnelles. C'est ainsi qu’à défaut de s'attaquer de front au président de la République, ces apprentis-sorciers ont choisi de fouiller dans les poubelles de son entourage familial le plus proche. Avec ce que cela charrie comme calomnie, outrage et autres contre vérités qui n'existent que dans leur fertile imagination. Comme quoi, il ne fait pas bon appartenir à la famille de Paul Biya ces derniers temps. Et personne n'échappe à cette cabale. Frères, enfants, neveux et nièces..., c'est chacun qui en prend pour son grade.
Partenaires
Quelques clichés. Depuis quelques temps, une certaine presse fait état des dissensions au sein de la famille présidentielle. Pour se faire convaincante, l'on ressasse à longueur de journée dans les bistrots de quartier de ses croc-en-jambe entre Martin Bilé Bidjang aujourd'hui chargé de mission à là présidence de la République, neveu du chef de l'Etat et Bonaventure Assam Mvondo, non moins fils du grand frère de Paul Biya de regretté mémoire. Dans la foulée, ces mêmes colporteurs de mauvaises nouvelles ne manquaient aucune occasion pour monter en épingle des passes d'armes «inamicales» entre le même Bonivan et Franck Emmanuel Biya. Ce sont les mêmes oiseaux de mauvais augures qui, il y a quelques années, avaient annoncé la grande sœur de Paul Biya dans une affaire d'importation de poisson avec des partenaires indiens. Pour les contempteurs de Paul Biya, ce fut un crime de lèse majesté. Il y a quelques années également, des journalistes, à travers la toile, s'étaient crus le devoir de révéler le coût dispendieux des études de la fille du président de la République, Brenda Eyenga Biya au Léman Collège comme si le haut commis de l'Etat qu'est Paul Biya est incapable de donner à sa progéniture, la meilleure éducation possible dans les établissements de renom.
Plus près de nous, c'est le frère cadet du président de la République, Pierre Meba, qui a fait l'objet d'une cabale au sujet des indemnisations relatives à la construction de la mini-centrale hydroélectrique de Mekin. Votre journal, qui en avait fait écho à son temps a pu s'apercevoir, au terme d'une descente sur le terrain qu'il s'agit ni plus ni moins que d'une cabale savamment instillée pour ternir l'image de la famille présidentielle. L'on se sera d'ailleurs rendu compte que les investissements de Pierre Meba à Mekin avaient été minorés à un tel point qu'il n'aurait pas été frère du chef de l'Etat que cela aurait été plus qu'un scandale. En définitive, force est de constater que, dépassés par les évènements, les contempteurs de Paul Biya estiment que pour le fragiliser, il faut aussi attaquer les membres de sa famille, Et pourtant, ces derniers, de par leur discrétion ont depuis des lustres su faire le distinguo entre les fonctions régaliennes de président de frère et leur statut de Camerounais à part entière.
© Charles Nwé | La Nouvelle
Malgré leur étonnante discrétion et leur détachement pour la gestion de la chose publique, frères, sœurs, neveux, nièces, belles-familles et autres membres de la famille du président de la République ne manquent pas d'être la cible des conspirateurs de l'ombre. Pour un seul dessein: voir le président Paul Biya céder son fauteuil de président de la République acquis pourtant par les urnes.
L'affirmation est plus qu’une maxime: le Cameroun est Etat démocratique. Au moins parce que la dévolution du pouvoir se fait par suffrage universel, au terme d'élections libres et transparentes. Que ce soit aux élections municipales, législatives, présidentielles, c'est le peuple souverain qui est seul maître du choix de ceux qui doivent parler et agir en son nom. Cette avancée irréversible, à moins d’être de mauvaise foi, est l'œuvre d'un homme: Paul Biya, l'homme qui s'est juré, devant Dieu et devant les hommes, de laisser à la postérité l'image de celui qui a apporté à son peuple la Démocratie et la Prospérité. En est-on si éloigné aujourd'hui au Cameroun? La réponse coule de source. Et le chef de l'Etat tient à sa parole, une question d'honneur.
Seulement dans sa volonté ferme d'amener ses compatriotes vers le bon cap, force est de constater que des oiseaux de mauvaise augure ne semblent ne lésiner sur aucun moyen pour ramer à contre courant de la vision prophétique du chef de I ‘Etat. Aussi, alors que sur le plan politique, Paul Biya a plutôt laminé tous ses adversaires, d'autres apparemment moins inspirés semblent avoir décidé de sortir des armes non conventionnelles. C'est ainsi qu’à défaut de s'attaquer de front au président de la République, ces apprentis-sorciers ont choisi de fouiller dans les poubelles de son entourage familial le plus proche. Avec ce que cela charrie comme calomnie, outrage et autres contre vérités qui n'existent que dans leur fertile imagination. Comme quoi, il ne fait pas bon appartenir à la famille de Paul Biya ces derniers temps. Et personne n'échappe à cette cabale. Frères, enfants, neveux et nièces..., c'est chacun qui en prend pour son grade.
Partenaires
Quelques clichés. Depuis quelques temps, une certaine presse fait état des dissensions au sein de la famille présidentielle. Pour se faire convaincante, l'on ressasse à longueur de journée dans les bistrots de quartier de ses croc-en-jambe entre Martin Bilé Bidjang aujourd'hui chargé de mission à là présidence de la République, neveu du chef de l'Etat et Bonaventure Assam Mvondo, non moins fils du grand frère de Paul Biya de regretté mémoire. Dans la foulée, ces mêmes colporteurs de mauvaises nouvelles ne manquaient aucune occasion pour monter en épingle des passes d'armes «inamicales» entre le même Bonivan et Franck Emmanuel Biya. Ce sont les mêmes oiseaux de mauvais augures qui, il y a quelques années, avaient annoncé la grande sœur de Paul Biya dans une affaire d'importation de poisson avec des partenaires indiens. Pour les contempteurs de Paul Biya, ce fut un crime de lèse majesté. Il y a quelques années également, des journalistes, à travers la toile, s'étaient crus le devoir de révéler le coût dispendieux des études de la fille du président de la République, Brenda Eyenga Biya au Léman Collège comme si le haut commis de l'Etat qu'est Paul Biya est incapable de donner à sa progéniture, la meilleure éducation possible dans les établissements de renom.
Plus près de nous, c'est le frère cadet du président de la République, Pierre Meba, qui a fait l'objet d'une cabale au sujet des indemnisations relatives à la construction de la mini-centrale hydroélectrique de Mekin. Votre journal, qui en avait fait écho à son temps a pu s'apercevoir, au terme d'une descente sur le terrain qu'il s'agit ni plus ni moins que d'une cabale savamment instillée pour ternir l'image de la famille présidentielle. L'on se sera d'ailleurs rendu compte que les investissements de Pierre Meba à Mekin avaient été minorés à un tel point qu'il n'aurait pas été frère du chef de l'Etat que cela aurait été plus qu'un scandale. En définitive, force est de constater que, dépassés par les évènements, les contempteurs de Paul Biya estiment que pour le fragiliser, il faut aussi attaquer les membres de sa famille, Et pourtant, ces derniers, de par leur discrétion ont depuis des lustres su faire le distinguo entre les fonctions régaliennes de président de frère et leur statut de Camerounais à part entière.